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L'immensité de l'Univers se trouve dans nos cœurs, nos prières… Les Anges les prennent dans leurs ailes, les mènent à Dieu, en offrant sur l'Autel d'Or JESUS et MARIE qui sont devant le Trône du PERE ETERNEL avec le parfum de nos prières. Et si notre prière est pure et acceptable devant Dieu, le Seigneur envoi tout de suite un ange pour la prendre dans son encensoir et la faire monter comme l'odeur d'encens vers LUI…

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 LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeVen 12 Fév - 19:34

EXCEPTIONNEL !



The views from the top of a pyramid

A tourist has captured spectacular views from the top of a pyramid he illegally scaled in Egypt. (Video credit: Caters TV.)

Posté par The Telegraph sur mercredi 27 janvier 2016

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Dernière édition par Ange Gabriel-Dan le Sam 23 Avr - 14:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeJeu 17 Mar - 13:42

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Eypte10

ET A L'INTERIEUR DE KEOPS : UN CRANE DE CRISTAL non encore découvert à ce jour !!!!

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Crane10


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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeJeu 17 Mar - 21:16

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Toutan10

Il est presque certain qu'il y a deux chambres cachées dans le tombeau de Toutankhamon


Il y a 90% de chances qu'il y ait deux chambres cachées derrière les murs du tombeau du pharaon Toutankhamon à Louxor en Egypte, a annoncé jeudi le ministre des Antiquités en faisant état des résultats préliminaires d'une analyse au moyen de radars sophistiqués.

Cette quasi-certitude alimente la thèse de l'archéologue et égyptologue britannique Nicholas Reeves, qui assure qu'il s'agirait de la sépulture de la légendaire reine Néfertiti, datant de plus de 3 300 ans.

Le ministre égyptien des Antiquités Mamdouh al-Damati penche plutôt, lui, pour celle d'une autre épouse du pharaon Akhenaton, père de Toutankhamon, voire d'une de ses filles.

Les résultats préliminaires d'une étude au radar menée par l'expert japonais Hirokatsu Watanabe révèlent qu'il y a "90% de chances qu'il y ait deux chambres cachées derrière le tombeau de Toutankhamon", a déclaré le ministre lors d'une conférence de presse au Caire. "Il y a des espaces vides" derrière deux murs, "mais pas totalement vides, ils contiennent des matériaux organiques et métalliques", a-t-il ajouté.

Le ministre a précisé que des recherches plus poussées seront menées à la fin mars dans le tombeau situé dans la vallée des Rois sur la rive du Nil face à Louxor.

Contrairement aux nécropoles d'autres pharaons qui ont quasiment toutes été pillées, celle de Toutankhamon, découverte en novembre 1922 par l'archéologue britannique Howard Carter, recelait plus de 5.000 objets intacts, vieux de 3.300 ans, dont bon nombre en or massif.

Akhenaton était le père de Toutankhamon. Néfertiti était son épouse principale à la beauté légendaire mais n'était pas la mère de Toutankhamon. Elle exerça une forte influence durant le règne de son époux.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/03/17/tombeau-toutankhamon-chambres-cachees_n_9484180.html

http://www.msn.com/fr-ca/actualites/science-et-techno/la-lame-de-la-dague-de-tout%C3%A2nkhamon-est-en-m%C3%A9tal-extraterrestre/ar-BBtIu76?li=AAggPNd

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeJeu 21 Avr - 17:05



LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Alien_12



On croit que le Papyrus de Tulli est la meilleure preuve de soucoupes antiques dans un passé lointain, et pour une raison quelconque, les historiens ont mis en doute son authenticité et sa signification. Comme beaucoup d'autres textes anciens, ce document ancien raconte une histoire incroyable, qui pourrait changer la façon dont nous regardons notre passé, notre avenir et le présenter.


On croit que ce document ancien, qui en fait n'est pas un papyrus réellement, offre la plus ancienne citation de soucoupes volantes sur la planète. Le Tulli « papyrus » est une traduction d'une transcription moderne d'un document égyptien antique.


Selon ce texte antique, le Pharaon qui régna sur l'Egypte était Thoutmosis III quand cette masse d'OVNIS a atteri et  s'est passé autour de 1480 avant JC. Il a été enregistré dans l'histoire comme un jour de grande importance, un jour que quelque chose d'inexplicable s'est produit.


Avant d'aller plus loin sur le sujet, voici la traduction du texte d'après R. Cedric Leonard :

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Scrybe10

"En l'an 22, du troisième mois de l'hiver, la sixième heure de la journée [...] Parmi les scribes de la maison de la vie, il a été constaté qu'un étrange disque Fiery allait venir dans le ciel. Il n'avait aucuns  tête. Le souffle de sa bouche émis une odeur nauséabonde. Son corps était une tige de longueur et d'une tige en largeur. Il était sans voix. Il est venu vers la maison de sa Majesté. Leur cœur est devenu confus à travers elle, et ils tombèrent sur leur ventre. Ils [ont] au roi, de le signaler. Sa Majesté [ordonné ce qui suite] consulter les manuscrits [situés] dans la maison de la vie. Sa Majesté méditait sur tous ces événements qui se déroulaient à ce moment.



Après le passage de plusieurs jours, ils sont devenus plus nombreux dans le ciel que jamais. Ils ont brillé dans le ciel plus que la luminosité du soleil et étendu jusqu'aux limites des quatre supports du ciel [...] Puissante était la position des disques Fiery.


L'armée du roi regardait, avec sa Majesté, au milieu d'eux. C'est après le repas du soir, lorsque les disques sont monté encore plus haut dans le ciel vers le sud. Poissons et autres composés volatiles fait pleuvoir du ciel : une merveille jamais vue depuis la Fondation du pays. Et sa Majesté a apporté l'encens pour apaiser le coeur d'Amon-Rê, le Dieu des deux terres. Et il a été [] ordonné ce qui suit l'événement [sont comptabilisées pour] sa Majesté dans les annales de la maison de la vie [à retenir] dans tous les siècles. »

***********************************************************************

Cet événement incroyable et historique a été décrit comme étant silencieux, mais avec une vue incroyable sur les disques volants mystérieux hautement réfléchissants, brillants comme le soleil. Selon ce texte antique, le départ des visiteurs surnaturels a été marqué par un événement mystérieux, comme des poissons  pleuvant du ciel.


Même si ce texte ancien ne mentionne pas que si les anciens Egyptiens n'ont en fait pas établi de contact avec les visiteurs d'un autre monde, c'est néanmoins un jour très important dans l'histoire, aussi bien pour l'humanité et la civilisation égyptienne antique.


Il est important de mentionner qu'il est très improbable que les anciens Egyptiens aient mal interprété ces « disques de feu » comme étant une sorte de phénomènes astronomiques ou météorologiques. Les anciens Égyptiens sont des astronomes doués..., et en l'an 1500 avant J.-C., ils étaient déjà experts dans le domaine, ce qui signifie qu'ils aurait vu ce phénomène astronomique de manière bien différente. Aussi, dans ce documents anciens, les « disques fougueux » sont décrits comme ayant changé de sens dans le ciel, donc nous savons que ces objets n'ont pas atterit, mais  restés dans le ciel égyptien.


Pour comprendre cette histoire ancienne, l'ancien texte devraient être étudiées, malheureusement, aujourd'hui, le papyrus original a disparu. Le chercheur Samuel Rosenberg a demandé au Musée du Vatican la possibilité d'examiner ce document précieux pour ce qu'il  obtienne la réponse suivante  :

« le Papyrus Tulli pas la propriété du Musée du Vatican. Maintenant c'est perdu et plus traçable. »


Est-il possible que le Papyrus de Tulli se trouve en fait dans les archives du Musée du Vatican ? Caché sur le but de ne pas le partager avec le peuple ? Dans l'affirmative, pourquoi ?


Est il possible qu'il s'agisse d'un des meilleurs enregistrements UFO antique de rencontre  dans l'histoire ?

Et si oui, est-il possible que ces visiteurs d'un autre monde aient influencé la civilisation égyptienne antique, comme d'ancien astronautes théoriciens le croient ?

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeSam 23 Avr - 3:08

PARTAGE AVEC Papy J-pierre







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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeSam 23 Avr - 15:58

Les scientifiques révèlent qu'Atlantis était sur Mars et que les Égyptiens faisaient affaire avec eux...!!!


Scienziati rivelano che Atlantide era su Marte e gli Antichi Egizi trattavano con loro!!!


Certains scientifiques suisses affirment que que la cité perdue d'Atlantis est sur Mars et que ses astronautes ont échangée avec l'Égypte antique pour un laps de temps significatif !


Encore plus étonnant, ils affirment avoir des preuves afin de  prouver que le légendaire « RE Tut », est mort dans un accident spectaculaire d'une navette spatiale avec équipage extraterrestre....


" La civilisation martienne a été détruite par une météorite, tandis que l'Egypte était encore à ses débuts..."  

a déclaré le Dr. Stephan Weisz lors d' un rassemblement de journalistes et de scientifiques à Berne, en Suisse.

"Mais,  les atlantes ont occupés aussi bien sur terre, que Mars.

« Top secret » :

photographies prises sur Mars de l'américain, montrant clairement les vestiges de temples sur la surface de la planète rouge (qui n'est pas rouge !).


"Les pyramides d'Egypte et  la capacité de momifier le corps sont sans aucun doute le résultat d'une technologie qui n'est pas apparue sur terre, mais plutôt sur Mars.

C'est notre conviction....

Les atlantes ont fait don de ces technologies aux Égyptiens pour la posssession utile pour eux de l'or !!!! "

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Visibl10

Le dr. Weisz et son associé, l'égyptologue Conrad Vetsch, ont fait valoir dans un livre qu'ils ont écrit, qu'un parchemin égyptien récemment déchiffré, leurs a amené à croire que l'Atlantide était situé sur Mars.

Il  dépeint une civilisation technologiquement avancée qui existait au-delà de notre planète « dans le vaste océan noir de l'espace.

Ils font aussi allusion aux voyages dans l'espace et a l'utilisation d'un service de navette pour transporter des étrangers sur un vaisseau spatial  mère liée à la surface de la terre.

Des oposants à cette théorie se sont manifestés à la conférence...

Le Dr Seth Rausch, un historien allemand, pense que les chercheurs suisses ont été trop loin, en appelant la civilisation martienne Atlantis :

« Je n'ai aucun doute que les égyptiens soient en contact avec des extraterrestres, » dit l'expert, "mais jusqu'à ce que nous inspectons les ruines sur Mars, il n'existe aucun moyen de savoir si elles sont les vestiges de l'Atlantide. À mon avis, si l'Atlantide a existé, elle existerait ici sur terre."

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Temple10


L'astronome norvégien Elling Gade, a décidé que :

« Atlantis pourrait avoir été la colonie par une civilisation extraterrestre, mais se trouvait très certainement  sur cette planète terre ! ».


Comment se fait-il, que ces scientifiques, qui connaissent  l'interaction de l'Egypte antique avec les extraterrestres... ne soient pas surpris par le fait que des temples existent sur Mars ?

http://blog.luniversovibra.com/non-tutti-i-presenti-alla-conferenza-ha-concordato-con-le-teorie-degli-esperti-dr-seth-rausch-uno-storico-tedesco-pensa-sono-andati-troppo-in-la-chiamando-la-civilta-marziana-atlantide-non/

alien  alien  alien

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le webmaster :

MAIS... C'EST BIEN SUR... MON CHER WACSON !!!!!!! UNE AFFAIRE DE GROS SOUS... COMME D'HABITUDE... C'est bien les congrès... Voyage, hotel, restaurant  Like a Star @ heaven  Like a Star @ heaven  Like a Star @ heaven  Like a Star @ heaven  Like a Star @ heaven ASSURES... etc... C'EST TOUJOURS BON A PRENDRE...

REGARDONS PLUTOT ICI : https://unioncosmiqueen5d.forumactif.com/t157-le-soleil-retrouve-la-crete-berceau-de-l-humanite-cite-atlante

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Chine10


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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeDim 8 Mai - 18:06

NON... BIEN SUR.... ATLANTIS... N'A JAMAIS ETE SUR MARS.... NI MEME EN CRETE...

Voyons ce que j'ai placé sur mon Facebook :

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Montag10

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeDim 8 Mai - 20:14


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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeMar 10 Mai - 16:38

De gigantesques blocs de pierres pesant plusieurs tonnes déplacés et ajustés au centième de millimètre, de mystérieuses techniques de sculpture, et une précision mathématique rivalisant avec tout ce que nous sommes capables de faire aujourd'hui... Les outils et les techniques qui ont permis la construction des plus magnifiques bâtiments anciens au monde, venaient-ils d'une technologie d'origine extraterrestre ?




ils n'ont pas déplacé les pierres... ils les ont liquéfié ! ou plutôt utilisé un matériaux pateux... ET POUR DEPLACER LES MATERIAUX : DES ENGINS VOLANTS !

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeMer 1 Juin - 18:42

PHILIPPE WILLIAM SAINCLAIR de Facebook et canadien (propriétaire de CRANES DE CRISTAL) NOUS APPORTE CETTE INFORMATION :

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Dague10


Toutânkhamon, le 11e pharaon de la 18e dynastie, qui régnait sur l’Egypte il y a plus de 3000 ans, avait une dague très précieuse. Tellement précieuse qu’elle était enterrée avec lui. Imaginez un peu, la dague a un fourreau en or, la poignée se termine par un cristal de roche et la lame est en fer. Du moins c’est ce qu’on croyait jusqu’à ce qu’une étude prouve que le fer utilisé de la lame est d’origine extraterrestre.

En utilisant une technologie non-destructive (la spectrométrie de fluorescence des rayons X), une équipe de chercheurs italiens et égyptiens a confirmé que le fer de la dague qui se trouvait contre la cuisse du jeune pharaon avait des origines météoritiques.

L’équipe qui inclut des chercheurs de l’école de Polytechniques de Milan, de l’Université de Pise et du Musée égyptien du Caire, a publié ses résultats dans la revue Meteoritics and Planetary Science.

L’arme est actuellement exposée au Musée du Caire. Elle est faite d’un métal homogène non rouillé. Le fourreau est orné d’un motif floral et d’un motif de plumes .

Daniela Comelli, du département de Physique de Milan Polytechnic, a déclaré a Discovery News que : « Le fer météoritique est clairement indiqué par la présence d’un haut pourcentage de nickel ». Puisqu’en effet, les météorites ferreuses sont principalement composées de fer et de nickel avec de faibles quantités de cobalt, de phosphore, de souffre et de carbone.

Les autres artefacts en fer affichaient 4% de nickel au mieux, alors que la dague du Pharaon en contenait près de 11%. Mais ce qui a permis de confirmer l’origine météoritique de la lame, c’est le cobalt. Les taux de cobalt et de  nickel dans la lame sont cohérents avec ceux trouvés dans les météorites de fer.

Comelli et son équipe ont même essayé de retrouver la source possible de la lame en fer. « Nous avons cherché toutes les météorites répertoriées dans un périmètre de 2000 km autour de la Mer Rouge, et nous avons fini avec 20 météorites de fer. Il n’y en a qu’une, nommée Kharga, qui est possiblement cohérente avec la composition de la lame. »

Ce fragment de météorite a été retrouvé en 2000 sur un plateau de Marsa Matruh, un port maritime à plus de 250 km d’Alexandrie.

L’étude montre que les Égyptiens apportaient une grande valeur au fer météoritique pour produire des objets précieux. Il pensaient peut-être que ces morceaux de fer qui tombaient du ciel étaient divins.
 
Les plus anciens artefacts égyptiens en fer, neuf petites perles trouvées dans une tombe sur la rive droite du Nil et datant de 3200 avant JC, étaient aussi en fer de météorite.
   
Et la dague n’est pas le seul élément d’origine céleste trouvé dans le tombeau de Toutankhâmon. Son pectoral présente une amulette en forme de scarabée qui est en verre. Ce verre n’a pas les caractéristiques verdâtre ou jaune de la calcédoine. Il proviendrait de verre de silice naturel que l’on ne trouve que dans les déserts lointains et inhospitaliers proches de la Libye. Ce verre était produit par l’impact sur le sable d’une météorite ou d’une comète.
   


http://www.msn.com/fr-ca/actualites/science-et-techno/la-lame-de-la-dague-de-tout%C3%A2nkhamon-est-en-m%C3%A9tal-extraterrestre/ar-BBtIu76?li=AAggPNd


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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeJeu 2 Juin - 4:04

LES GALERIES SOUTERRAINES SOUS LES PYRAMIDES DE GYSEH


EL-KAHF EL-HATIM (LA GROTTE DU SERPENT).... 2008-2009] ANDREWS COLLINS....



LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Andrew10


MERCI A NELLO NICOLOSI pour m'avoir branché sur ce sujet !

Una scoperta che ha fatto impallidire gli archeologi della cd,"scienza ufficiale": una rete sotterranea esplorata da Andrew Collins nel sottosuolo della piana di Giza. Fu scoperta il 3 marzo del 2008, ma subito fu posta in un assurdo accantonamento, come se non fosse mai stata scoperta. Si tratta, perciò, di un caso ancora in attesa di spiegazione. Ormai sono trascorsi molti anni da questa clamorosa scoperta. Sarebbe toccato agli archeologi specialisti trovare una risposta, nella speranza che lo avessero fatto senza preconcetti. Perché non lo hanno ancora fatto? Forse perché avrebbero dovuto rivedere intere biblioteche, fatte di indiscutibili certezze.




Sous les mensonges des pyramides de Gizeh, un réseau de grottes naturelles perdu depuis presque 200 ans. Il a été redécouvert le 3 mars 2008, par une équipe dirigée par l’écrivain et explorateur Andrew Collins, en collaboration avec le chercheur égyptologiques Nigel Skinner-Simpson et ingénieur britannique Rodney Hale. Le système de grottes naturelles  était réputé... modifié et fut exploré en profondeur par l’explorateur britannique et diplomate Henry Salt et explorateur italien Giovanni Caviglia en 1817. Ils publièrent  tous les détails de leurs découvertes. On pense maintenant que les grottes peuvent suivre le cours de failles locales et prendre la direction de la deuxième pyramide, le site du tombeau légendaire de Hermes. Pour plus d’informations, allez à www.andrewcollins.com et de lire l’article complet dans le livre de Andrew Collins sous les pyramides (4th Dimension Press, 2009).

************************************

RAPPORT DE Andrew Collins

Je suis heureux de voir que Richard a dessiné un plan approximatif des galeries souterraines et chambres situées sous la tombe des oiseaux, qui ont été déminés et exploré par le Dr Zahi Hawass et son équipe en 2009. Ce que je n’avais pas réalisé, c’est que le Nord-Sud orienté galeries se rejoignent sous le couloir principal du niveau du sol de la tombe par une série d’arches ensemble entre les piliers en pierre, quelque chose qui n’était jamais indiquées dans le plan du site réalisé par l’ingénieur britannique John Shae Perring c. 1839-1842. En effet, Nigel Skinner Simpson et moi-même avons écrit à Richard demandant si il peut concilier les différences entre le plan de Perring et sa propre mémoire de mise en page du complexe souterrain. L'ingénieur technique Rodney Hale a fusionné le plan rugueux de Richard avec un coup vers le haut d’original de Perring (visualiser ci-dessous). J’ai envoyé cela à Richard pour le commentaire, à qui il a répondu :

"je pense que vous l’avez deviné juste, bien que mon croquis ait besoin d’être revus à la baisse. (envoyez à AC 29 avril 2010)"


Richard dit que dans la partie ouest des galeries est un puisard dans le sol qui pourrait bien conduire à un niveau plus profond, peut-être même des grottes naturelles. Cela est possible. Il dit aussi que les trous dans les murs sud et ouest de cette même Galerie, pénétre dans le substrat naturel. Si l'on examine le plan de Perring nous pouvons voir ces mêmes trous dans les murs sud et ouest des chambres positionnés dans le coin sud-ouest du complex souterrain. Ils permettent l’accès à des tunnels qui sont reliées avec deux chambres plus grandes, deux des quatre aligné Nord-Sud et le décalage à l’ouest des principales galeries souterraines. D'autres trous similaires ailleurs dans la même Galerie doivent associer les tunnels menant à deux autres chambres dessiné par Perring et montrées comme connectées par l’intermédiaire est-ouest en cours d’exécution les tunnels à cette même Galerie.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Plan10

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Plan_y10

Une grande chambre sur le plan de Perring, qui doit encore être identifiés....

Placé dans le coin sud-ouest et correspond à la position de la grande chambre en partie taillé dans le roc, pénétrée par l’intermédiaire de la zone au niveau du sol de la tombe (ce que nous avons baptisé « le dôme » ou la « chambre d’ouverture » après notre redécouverte du site en mars 2008). Ceci permet d’accéder aux grottes naturelles proprement dits, qui ne sont nulle part  vues sur le plan de Perring.



Gourdes et Pots de chambre


Dans une photo des galeries souterraines, Richard met en évidence une fissure verticale dans les murs de roche, qui est « empilés haut avec des calebasses  devenues beaucoup calcifiées », dit-il. Malheureusement, j’ai du mal à voir ce qu’il voit sur cette photo.  Est-ce correct ? Mon collègue,  Nigel Skinner Simpson affirme que c’est exactement ce qu’on s’attendrait à voir encastrés dans les murs d’une nécropole d’animaux/oiseaux. Comme il l’affirme: "les anciens Egyptiens auraient fait des galeries latérales et niches et empilés des  sépultures et puis les auraient scellées. Les niches et les galeries pourraient être de n’importe quelle taille, grande ou petite. » Cela dit, il ne dit que ce que Richard Gabriel identifie comme gourdes peut-être pas ce qu’il semble. En revanche, sur des images tout à fait distinctes offertes par Richard de l’intérieur de la grotte, Nigel souligne qu’il existe des exemples de parchemins dans des pots scellés contenant probablement des sépultures oiseau ou animal, convaincu que les grottes furent utilisées en effet comme nécropoles pour des oiseaux et des animaux.

Profil de trou de clé dans les grottes

Montrant une image de trou de la grotte en forme de profil dans un domaine du complexe, Richard demande si ce que nous voyons est « naturelle ou non? ». Je peux affirmer catégoriquement que cette forme et la finesse des murs vu dans de nombreuses photos, indique clairement que les grottes sont d’origine naturelle.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Grot10

Richard Gabriel photo showing the key-hole profile of this section of the cave, suggesting both phreatic (circular) and vadose (v-shape) creation through the presence of rainwater (credit: Richard Gabriel).


Le calcaire, comme celui présenté dans le substrat rocheux de Gizeh, s'est dissout au fil du temps par la teneur en CO2 des eaux de pluie, et devint moins  résistant, par le biais de failles naturelles dans la roche.

Lorsque l’eau qui coule à travers des failles passe réellement sous la conduite d’eau de la nappe phréatique locale, il se déplace plus lentement et se dissout en réalité (par opposition à éroder) la roche, en agrandissant les fentes et les fissures dans le processus. Les passages de la grotte qui en résultent sont circulaires dans profil et tube en forme en apparence. Ce type de grotte est décrite sous le nom de nappe phréatique.


Où les deux types de cave - nappe phréatique (circulaire) et non saturée (forme en v) est trouvé ensemble, l’un au-dessus de l’autre, créant un trou en forme de profil (comme dans la photo de Richard), cela signifie que les deux types de création de la cave ont été impliqués. Au départ, l’eau de pluie a traversé les fissures sous la nappe phréatique, sculpture circulaires grottes. Puis par la suite, lorsque la nappe phréatique diminue, si l’eau continue de couler à travers les grottes, il creuse une cuvette en forme de v à la base du profil circulaire, produisant un parfait trou en forme de profil, qui est ce que nous voyons dans l’image.


Étant donné que cela se voit dans les grottes à Gizeh, cela implique que dans un premier temps l’eau de pluie doit avoir coulé sous le niveau de la nappe phréatique, mais alors à un certain moment cette nappe phréatique abaissée, création du profil que nous voyons aujourd'hui. Ainsi certaines parties de la grotte de Gizeh sont phréatiques et vadose dans la nature.


Le fait que les murs de la grotte sont souvent lisses, en particulier dans les zones plus profondes, est encore confirmation de leur création par l’eau de pluie, pour comme un correspondant au sujet de la formation de la grotte à Gizeh a noté :


"Les couches noirs lisses [vus dans les photos] sont magnétite [Iron(II,III) oxyde (Fe3O4) ou oxyde de fer ferreux], Notez que la magnétite forme facilement lorsque le fer s’oxyde sous l’eau. Ce fait plus la finesse des couches confirme que ces passages ont été initialement inondés, c'est-à-dire de nappe phréatique dans leur formation. »


« Pour résumer le plateau était à la fois complètement saturée, soit sous l’eau ou des pluies en permanence soumis à des pluies torrentielles. Cette eau a coulé à travers les lignes de fracture naturelle créant des grottes et passages de nappe phréatiques. Comme les précipitations soulagé la nappe phréatique est tombé et passages est devenu vadoses en forme.


"Cette baisse de la nappe phréatique est suffisamment lente pour permettre la magnétite à se former dans les passages inférieurs.


"Gros événements parallèles peuvent être vu dans les systèmes de grottes de Cheddar bien plus intense qu’il y avait aussi la glace fondre ainsi que des précipitations."



Glaces et Resurgences


Ce même correspondant, bien au fait l’objet d’une formation de cave, va jusqu'à suggérer que nous recherchons « glaces » et « resurgences », les trous par lesquels l’eau de pluie initialement trouvé entrée dans la formation de failles pour créer les grottes en premier lieu. Ceux-ci, qu’il pense, très probablement sera inactives maintenant, les entrées cachées par le sable. La glace, dit-il, se trouve principalement sur les collines, tandis que les resurgences se trouvent généralement à la base des collines.


Le swallet plus évidente, comme un point d’entrée pour l’eau de pluie qui a créé les grottes à Gizeh, doit avoir occupé une position maintenant prise par l’entrée de la tombe des oiseaux, qui se trouve près du point le plus élevé sur le plateau. Il est probable que, à un moment donné à l’époque dynastique, la fente ou fissure menant dans les grottes, a été élargi afin de créer les structures rectilignes observées aujourd'hui à l’intérieur de la tombe. Ce faisant, les anciens Égyptiens ont créé un point d’accès dans le système de la grotte, qui a été fermé par la suite, peut-être, à l’aide de pierres et mortier.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Grot_10

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeJeu 2 Juin - 4:29

SUITE ANDREWS COLLINS


Dans un courriel personnel qu'il m'adressa, le Dr Hawass a fait allusion à la tombe de NC2 comme étant une vieille construction du Royaume. Si cela est correct et surtout ses affirmations antérieures que la tombe est bien d' origine dynastique, alors cela signifie que les grottes étaient certainement accessibles pendant l’ère des pyramides. Pourtant si le tombeau des oiseaux a commencé comme un swallet,  il suggère que les grottes aurait pu être accessibles depuis longtemps avant cette époque.


Une des plus évidentes resurgences trouvée en association avec la grotte de Gizeh complexes ressort à l’extrémité sud-ouest du plateau. Situé aujourd'hui dans le cimetière local sous le regard de Gebel Gibli, le Mont du Sud, il est dit par les habitants de l’el à proximité du village de Nazlet-Samman, que c'est une entrée de tunnels souterrains. Nous avons même parlé à une personne qui a effectivement vu sa base loin vers l’est et l’Ouest.


Sans connaître l’existence de ce puits, appelée Bir el-Samman, mon correspondant géologique a écrit: « à Gizeh si il y a une sortie  au pied du plateau il doit être une source d’eau dans les passages de cave inférieurs, soit les infiltrations ou une véritable filet sur le fond de la grotte.


« Pour vérifier une connexion, il faut ajouter un colorant fluorescent à l’eau, un colorant inoffensif et très visible, puis regarder pour voir si cela apparaît dans l’eau de source. »


Tout cela apporte un éclairage nouveau sur la formation des grottes de Gizeh, qui semblent incontestablement être naturelles à l’origine, encore utilisées par l’homme quand exposées. Quant à leur âge, c’est difficile de dire : elles auraient pu se former n’importe quel moment entre le début de l’ère paléolithique moyen et la fin de l’âge paléolithique, ainsi entre il y a 250 000 ans et il y a 12 000 ans.



Le Tube de Pierre


Page 4 de l’article passionnant de grotte de Richard, où il se concentre sur ce que nous appelons le tube de pierre dans le compartiment plus éloigné atteint par nous-mêmes en avril 2008 et par Richard et sa compagne Judith en novembre 2009. Il est orienté nord-sud, semble être d’environ 3-4 mètres de longueur et n’est plus qu’un 70-80 cm de diamètre. Nos spéculations, c’est qu’il se connecte avec une plus loin est-ouest orientée chambre juste après sa sortie. Dans l’affirmative, alors ce pourrait être le début de la prolongation proposée du sud-ouest des grottes  dans la direction de la deuxième pyramide. Certes, c’est ce que j’ai proposé dans mon livre sous les pyramides de l’an dernier et c’est ce que Richard croit.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Bird10

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Bird_y10

Richard Gabriel a répondu à notre demande de renseignement sur les courges et les niches de la dissimulation de la manière suivante :



J’ai accepter la possibilité que Nigel a suggéré, que l’apparente branché entrées peut-être pour dissimuler les chambres funéraires de côté [c'est-à-dire cachés niches]. Cela soulève une autre question cependant comme le très clair (encore scellées) entrées sont disponibles directement dans la niche à gauche de là où commence l’entrée du tube final. Je ne pus m’empêcher se demandant pourquoi ils ont choisi faire là avec tout le reste des chambres au choix.



J’ai moi-même répondre en disant « Pourquoi ne pas? »... mais si ils l’ont fait, je dois tenir compte du fait qu’il semble exister une révérence particulière avec les représentations du serpent intense [simulacres] alors que nous approchons de l’entrée du tube. Un compromis serait peut-être que si ceux branché dernière entrées « sont » fermés niches funéraires, qu’ils contiennent quelque chose (animal?) du statut suffisamment important à donner la meilleure position juste avant le tube... (en supposant toujours que le tube en fait conduire sous terre...)

Il n’y a aucun doute, des serpents et courges etc. qui ont été suspendues dans le milieu de la toiture en particulier zones... et il est sans doute de beaucoup d’autres petits objets non identifiés incorporé trop.

Aussi de répondre à question de Nigel ici au sujet de la mise en page sous l’entrée du tombeau. Je dirais que « certains » de ce que nous avons observé des liens avec sa description, mais j’ai étudiera le vieux croquis plus et se nourrissent revient avec plus de précision plus tard (courriel à Acre le 20 avril 2010).

Ceux-ci sont très intéressantes observations et d’accroître mes sentiments (comme la diffusion d’ici et d’ailleurs) que les grottes ont un lien particulier avec les serpents.


Le parcours de la grotte de Tunnels

Sur la page d’ouverture de son long métrage, Richard montre une carte satellite du plateau, marqué avec son cours proposé des tunnels grotte au-delà du point que lui et son partenaire a atteint en novembre 2009, près de 20 mois après que nous avons atteint le même point en avril 2008. Il offre la perspective qu’au-delà de là les grottes veer sud-est vers la deuxième pyramide. De là, dit-il, ils suivent le cours d’une « ligne de faille géologique centrale » qui se poursuit en direction est jusqu'à l’angle sud-ouest de la grande pyramide. Richard a fait remarquer que « vieux sondages photos » montrent l’ampleur de la faille de la tombe des oiseaux (NC2), situé dans la falaise nord de formation du plateau du Mokkatam  vers la deuxième pyramide.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Vers10

Richard Gabriel's satellite image of the Giza plateau, with the Tomb of the Birds (NC2) marked. Note his projected route of the cave tunnel after the 100 metres or so explored by ourselves in March and April 2008, and he and his partner Judith in November 2009. Note also the inclusion of alleged geological faulting in the vicinity of the western cemetery (pic credit: Richard Gabriel, 2010).

Comme j’ai ont révélé ailleurs (et inclure dans une fonction séparée ci-dessous), une image de satellite radar haute résolution du plateau de Gizeh, prise par une entreprise allemande satellite en juillet 2007 apparaît pour indiquer la présence de failles géologiques qui coïncide avec l’orientation nord-sud des grottes explorées jusqu'à présent (Voir photos ci-dessous). Lignes d’ombre noire indiquent encore des failles qui continuent sud-est jusqu'à ce qu’il atteigne l’angle nord-ouest de la deuxième pyramide, où il est perdu de vue. Preuve des failles locales et des cavités dans la roche sous la deuxième pyramide a été créé en 1977 par une équipe parrainée par le Stanford Research Institute (SRI) et l’Université Ain Shams, au Caire et dirigée par Lambert T. Dauphin.


Cette faille présumée indiquerait le cours des grottes, alors je soupçonne que c’est en ce sens qu’en 1817 diplomate britannique et explorateur Henry Salt et l’italien Giovanni Caviglia se sont rendus « plusieurs centaines d'années » avant de venir dans des chambres spacieuses, de quels autres passages labyrinthiques. Cela, me semble-t-il, se trouvait quelque part dans le voisinage de la deuxième pyramide.


Concernant les déclarations de Richard propre sur la route des grottes, je suis curieux d’entendre que « vieux pics de sondage » révèlent les détails des failles géologiques locales à Gizeh et plus particulièrement sa présence entre le tombeau des oiseaux et de Khafre pyramide. Publication de ces photos devrait contribuer à étayer nos propres spéculations publiées au sujet de l’étendue des grottes. Je serais également intéressé pour en savoir plus de ce qui précède « ligne de faille géologique centrale », à proximité de la grande pyramide, une connaissance qui m’a échappé jusqu'à ce jour.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Platau10

Art rupestre et « Or » dans les grottes ?


J’ai lu avec intérêt d’identifier de Richard proposée rupestres, gravures et objets identifiés par les flash photos prises à l’intérieur des grottes. Bien qu’il soit clair que simulacre existe dans les tunnels de la grotte, comme il le ferait dans une grotte, mon imagination n’est pas assez forte pour voir ce qu’il voit dans ces images, autre que le simulacre de tête magnifique serpent trouvé dans la section la plus profonde explorée à ce jour (voir page 3 de son long métrage). Je pourrais être défaillant voir ce qui est évident, mais il convient de rappeler que rien ne peut être vu, là-bas dans la nuit noire, et même flash lumières révèlent très peu en raison de l’immensité des cavernes. Le seul moyen de glaner plus de ce qui peut être vers le bas qu’il faut examiner les photos qui en résultent.


Richard identifie des objets de « or » vers le bas sur le sol de la grotte. Nous avons fait exactement la même chose après nos deux premières visites en mars 2008. En effet, nous avons pensé que nous avions identifié la partie de stave doré ou post lit funéraire, appuyé contre le mur de la grotte. Nous avons amélioré la photo du mieux possible et fut convaincus que c’était là. Toutefois, lors de nos visites de retour en avril 2008 nous avons recherché pour l’objet en question, qui souhaitent faire usage de sa présence à convaincre le SCA de l’importance du lieu, mais jugé que c'était tout simplement un grand os animaux.

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeJeu 2 Juin - 4:31

SUITE ANDREWS COLLINS

Richard, à la page 2 de son long métrage, semble s’inscrire dans le même piège, en montrant un os de la jambe animale et il sonne comme un élément de l’or. Il faut être très prudent, identification d’objets simplement à partir de photos au flash, qui ont tendance à déformer ce qui est vu par eux blanchiment dehors, en leur donnant de fausses couleurs, et créant la confusion des ombres autour d’eux.


Je ne nie pas qu’il n’y a archéologie intacte redescendre dans les grottes, bien que sans revenir à la position où n’importe quel objet a peut-être été identifié et la vérification pour savoir ce que c’est vraiment, cette spéculation peut être très dangereuse.


Il doit de même pour l’identification de Richard rupestre apparent dans les grottes. Il n’y a rien qu’il a fait remarquer dans ses photos qui me convainc que c’est vraiment authentique rupestres des serpents ou autre. Croyez-moi, j’aimerais bien c’est le cas, mais je reste sceptique. À mon avis, la plupart de l’art rupestre proposé est tout simplement les ombres formées par les fractures de la roche, ou changements entre les strates rocheuses différentes, incluent des coutures d’oxyde de fer, peut-être sidérite ou, moins probable, hématite (tous deux exploités dans le passé comme l’ocre rouge).


Cette substance rouge visibles sur les murs des grottes Richard, cependant, dans certains cas identifie comme une preuve de « sable plâtre ». La forme plus ancienne et la plus populaire de plâtre utilisé pour les murs intérieurs dans l’Égypte antique a été faite de gypse calciné, qui est semblable à du plâtre de Paris, encore utilisé aujourd'hui. À l’époque gréco-romaine, les Grecs n’a ajouté sable de gypse pour créer un mortier qui a été utilisé comme une forme de plâtre, même si je pense qu’il est peu probable que ce que l'on voit dans le flash tir photos examinée ici. Il s’agit plus susceptible de se former naturellement d’oxyde de fer. Toutefois, la preuve que certaine forme de plâtre ou stuc a été utilisé sur les murs des grottes serait une découverte intéressante. Il sonne également plus de fonctionnalités plus pâles, avec des lignes parallèles incisés, citant ceci comme sable plâtre, même si je me souviens effectivement examiner cette même fonctionnalité et décider que c’était le substrat naturel, qui avait été coupé avec un ciseau pour créer l’effet observé. Ce fut l’une des rares choses que j’ai réussi à repérer dans les grottes simplement en utilisant une lampe de poche.


Araignées chameau


Page 4 de fonction de Richard comprend également quelques photos incroyables de chauves-souris volant le long de la grotte tunnel. Il y a des colonies entières d’eux là-bas, et ces photos, mieux que nos propres aperçus des chauves-souris capturés sur le film, peuvent enfin aider à identifier les espèces présentes. Richard, sur une autre page, souligne que ces « Cavernes de the Bats » abritent également un éco-système qui inclut les grands insectes et araignées. Il a identifié les araignées qu'il a photographié comme les araignées chameau, qui bien que non mortelle pour l’homme, peuvent être très dangereuses.


Au cours de nos visites des grottes, nous avons identifié la présence d’une espèce d’araignée nommée Latrodectus pallidus, la veuve blanche. Cette espèce pousse à environ un pouce de taille, montrant qu’ils ne sont pas l’espèce photographiée par Richard. Ce sont beaucoup plus gros, peut-être autant que quatre à cinq pouces de taille.



El-kahf el-hatim (la grotte du serpent)


Richard émet l’hypothèse que les grottes ont été et qu’il sont a en effet, les royaumes de Agathodaimon, le démiurge de Sabéens gnostique et plus tard, qui a créé le monde physique. Ce nom signifie le « bon esprit » et il y a que des éléments de preuve qu’il était adoré sous la forme d’un serpent géant en Egypte à l’époque gréco-romaine (il est représenté en relief en qualité de tuteur de serpent à l’entrée des catacombes de Kom El Shouqafa à Alexandrie}. Il y a des légendes que Agathodaimon et son fils Hermes se trouvent enfouies dans ou sous une pyramide de Gizeh. Mes propres recherches ont indiqué que Agathodaimon était associée à la grande pyramide et le tombeau d’Hermès-grotte avec la deuxième pyramide.


La connexion entre Agathodaimon et le plateau de Gizeh est explorée dans mon livre sous les pyramides, suite de notre découverte que, dans les traditions folkloriques locales, les grottes pénétrés par l’intermédiaire de la tombe des oiseaux sont pensés pour être le domaine d’el-Hatim, un grand serpent qui protège leurs secrets. J’avance dans le livre que les anciens Egyptiens associe des serpents avec un pègre de la grotte vu sur le plan de la Douat, ou l’enfer, à travers laquelle le défunt devait passer sur son chemin vers l’au-delà parmi les étoiles.


Comme je l’ai dit dans les messages récents, je suis persuadé que les grottes de Gizeh ont toujours été considérées comme étant l’apanage d’une certaine sorte d’esprit, celui qui a été pensé pour garder ce domaine caché ou de serpentine. Il est même possible que ceci est confirmé par l’existence des simulacres de serpent du genre photographiée par Richard à l’intérieur des grottes.


J’ai proposé également que l’existence des grottes influencé le développement de la pensée égyptienne antique sur la nature de la Douat, en particulier la section associée à Memphis et Gizeh, ancienne Rostau, dans le texte de l’Am-Douat, qui était l’apanage de la tête de faucon Dieu Sokar. Il est représenté dans les représentations de ce standing Royaume sur un grand serpent à plusieurs têtes. Pourtant, je dis aussi en dessous de la Py

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeJeu 2 Juin - 4:49

SUITE ANDREWS COLLINS

L’HISTOIRE COMPLÈTE DE L’IMAGE RADAR DU SATELLITE...

CELA SEMBLE ETRE UN MERVEILLE GÉOLOGIQUE, UNE FAILLE SUR LE PLATEAU QUI POURRAIT BIEN MARQUER LE CHEMIN DES
GROTTES


LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Satell10

Imagerie satellite radar du plateau de Gizeh, créé par le satellite TerraSAR-X, lancé en 2007 et exploité conjointement par Astrium GmbH et le Centre aérospatial allemand (DLR), montre une ligne d’ombre, allant de la proximité de la tombe des oiseaux vers le sud-ouest, ce qui correspond assez bien avec le positionnement sous le sol des grottes explorées jusqu'à présent. Rien n’est visible sur le terrain dans l’image satellite correspondante de Google pris, comme par hasard, vers la même époque en 2007, rendant cette ombre ligne un mystère, autant que le programme satellite TerraSAR-X est promu comme étant capable de détecter des entités souterraines.


Plus incroyable est le fait que la ligne d’ombre sur l’image de satellite radar TerraSAR-X semble se connecter avec une autre ligne d’ombre plus large qui démarre à une position correspondant à un ravin dans la falaise nord du plateau, juste à l’ouest de la tombe d’oiseaux et courbes vers la deuxième pyramide, où il est finalement perdu de vue sur le côté nord de la base carrée du monument. Une fois de plus, il n’y a aucune caractéristique visible sur la carte correspondante de satellite de Google pour expliquer cette anomalie (en fait, une ligne de la deuxième, plus plus faible, l’ombre est également vu sur l’image satellite radar. Il débute à proximité des grottes explorées jusqu'à présent et courbes vers la deuxième pyramide, où il est perdu, enfin, comme il rapproche du côté ouest de la pyramide).


Il serait bien de considérer que cette anomalie ombre courbe, tracée à partir de la zone des cavernes atteint par nous-mêmes à la proximité de la deuxième pyramide, montre le parcours des grottes. C’est en effet possible, bien que les opérateurs du satellite TerraSAR-X ont été incapables de formuler des observations sur l’anomalie, disant seulement qu’à ce jour, ils ont une compréhension relativement limitée d’à quel point leur technologie de radar est capable de Records caractéristiques de surface ou souterraines.


Si les lignes d’ombre décrits ici ne marquent pas le cours des cavernes réelles, je pense toujours qu’ils représentent des caractéristiques physiques sur le plateau. Selon moi, qu'ils tracent le parcours des failles locales, qui se marquerait la voie plus probable de grottes souterraines creusées par l’action de l’eau à travers des dizaines voire des centaines de milliers d’années.


Si elle est correcte, alors le fait que les lignes d’ombre disparaissent dans les environs de la deuxième pyramide est en effet très intéressant. Non seulement avez-vous la deuxième pyramide marquer l’emplacement de la grotte cachée-tombe d’Hermès dans la tradition médiévale de Sabéens, mais en 1977 une étude scientifique menée conjointement par le Stanford Research Institute (SRI) et l’Université Ain Shams, au Caire, terrain pénétration radar (GPR) Matériel BTP occasion pour rechercher des structures souterraines sous le plateau de Gizeh. Mis à part quelques découvertes intéressantes dans le domaine du Sphinx, l’équipe, sous la direction de géophysicien Lambert T. Dauphin, a détecté la présence des chambres jusqu’alors inconnus dans le voisinage de la deuxième pyramide. Un, au moins, était situé en dessous chambre de Belzoni à l’intérieur de la structure, tandis que l’autre a été trouvée sous l’angle nord-ouest du monument sur le côté ouest (Dauphin, 1977). En outre, l’équipe a noté la présence de failles localisée sur le côté nord de la deuxième pyramide, ajoutant du poids à la conclusion que les lignes d’ombre apparaissant sur les images de satellite radar TerraSAR-X vraiment enregistrer la présence des caractéristiques géologiques de surface ou souterraines.


Le tombeau des oiseaux étant environ de 517 ans (473 m) du coin nord-ouest de la deuxième pyramide, je pense maintenant que c’est dans ce domaine que sel et Caviglia a voyagé sous terre en 1817, cette distance qui constitue les « plusieurs centaines années » ils ont voyagé avant d’arriver aux chambres spacieuses signalés, que qui a d’autres passages. Si oui, alors c’est une réalisation très intéressante lorsque nous rappelons la croyance de Sabéens que la deuxième pyramide marquée de la position de la grotte-tombe d’Hermès.



Est-il possible que le culte de l’oiseau une fois associé à ce site honoré Hermes, la forme Greco-égyptienne du Dieu égyptien Thot, le gardien des archives anciennes et gardienne de la sagesse immémoriale ? Si correct puis fouilles futures à l’intérieur de la tombe et les grottes pourraient bien révéler que les momies oiseau prétendument laissées ici en offrandes rituelles comme (et trouvé par Vyse et Perring en 1837) contenaient les restes d’Ibis, un oiseau sacré de Thot-Hermes. Si les oiseaux trouvés ici n’étaient pas Ibis, mais des oiseaux de proie, tels que les buses et faucons, puis le culte ici était probablement celui de Sokar, le gardien de la Douat de Memphis, ou Rostau, l’ancien nom de Gizeh. Ou l’autre solution contribuera à prouver que le tombeau des oiseaux était considéré comme une entrée dans un monde souterrain de la grotte.


Selon des sources médiévales arabes et européenes, la cave-tombeau d’Hermès (Idris, ou Enoch, comme il a été appelé en arabe) abritait non seulement les cendres de son propriétaire, mais aussi la tablette d’émeraude  (également connu sous le nom la Tabula Smaragdina, la « table de pierre verte »).... la tablette d’Emeraude aurait été découverte ici à un moment donné dans le passé.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Tablet10

References

Dolphin, Lambert T., A. H. Moussa et al, Applications of Modern Sensing Techniques to Egyptology, SRI Institute, Menlo Park, CA, September 1977

Thanks go out to Ian for his help in attempting to determine the forces behind the creation of the Giza caves; Robin Rix for putting us in contact; also for Richard Gabriel, Larry Hunter, Nigel Skinner Simpson and Rodney Hale for their help in putting their piece together.

Des remerciements vont à Ian de son aide pour tenter de déterminer les forces derrière la création de la grotte de Gizeh ; Robin Rix pour nous mettre en contact ; aussi pour Richard Gabriel, Larry Hunter, Nigel Skinner Simpson et Rodney Hale pour leur aide à rassembler leur pièce.




Pour plus d’informations sur la vérification des découvertes grotte Giza dans ce site Web régulièrement, abonnez-vous à la newsletter de Andrew Collins, ou voir le livre de Andrew Collins sous les pyramides, disponible maintenant. Voir ci-dessous pour les détails de l’achat.

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeSam 18 Juin - 16:27

VOILA COMMENT SE PRESENTAIT LA PYRAMIDE DE KEOPS AVANT SA DEGRADATION.... et le pyramidion était composé de 3 métaux précieux.... !



LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Pyrami10



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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeSam 25 Juin - 19:40

EGYPTE. L'énigme du tombeau d'Akhenaton bientôt élucidée?


Des recherches en cours devraient pouvoir mettre un terme à l'énigme concernant l'occupant de la tombe KV55, dans la Vallée des rois. Épilogue d'une controverse de plus de 100 ans.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Aka10

FEUILLES D'OR. C'est un mystère vieux de plus de 110 ans que les égyptologues s'apprêtent à résoudre. Et pour y parvenir, l’American Research Center (ARCE) vient de débloquer 28500 dollars pour financer l’étude de 500 feuilles d’or, à la demande des responsables du Musée du Caire et du ministère des Antiquités égyptiennes. Mais en quoi ces feuilles d'or peuvent-elles aider à démêler un imbroglio archéologique? C'est que selon le ministère, ces précieuses dorures pourraient avoir un lien direct avec l’identification du tombeau d’Akhenaton (Amenhotep IV) (1346-1329 av. notre ère), le célèbre pharaon de la XVIIIe dynastie, père de Toutankhamon! La tombe supposée de ce souverain est en effet l'une des sépultures les plus controversées de l’Egypte antique.

Le dénouement de ces nouveaux travaux devrait permettre de prouver que l’occupant de la mystérieuse tombe KV55, découverte dans la vallée des Rois, au cœur de la nécropole thébaine, au début du XXe siècle, est bien Akhenaton, le pharaon «hérétique». Celui qui en moins de deux décennies avait rompu avec deux millénaires de croyances, en décidant d'abandonner le culte d'Amon-Rê, pour aller fonder, au milieu du désert de moyenne-Egypte, une cité, en imposant un nouveau culte au dieu solaire Aton.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Feuill10

Caisse aux feuilles d'or récemment découvertes au Musée du Caire. Elles proviendraient de la tombe KV55 de la Vallée des rois (©ministry of Antiquities).


"Il y a quelques mois, les conservateurs et restaurateurs du musée de la place Tahrir, au Caire, ont mis la main sur une caisse en bois qui contenaient plusieurs centaines de feuilles d’or, un fragment d’os crânien et d’autres éléments organiques et minéraux", explique l’égyptologue Marc Gabolde, de l’université Paul Valéry-Montpellier III.

Une première analyse de ces objets dirigée par Elham Salah, a permis aux conservateurs égyptiens de mettre en rapport ces feuilles d'or avec l’admirable sarcophage incrusté de pierres fines retrouvé dans la tombe KV 55 par Edward Russel Ayrton et Theodore M. Davis, en 1907. "

D’autres feuilles d’or provenant de l’intérieur de la cuve du cercueil et de son couvercle, avec notamment des textes, avaient déjà été identifiés par le passé au Musée du Caire, et en partie étudiées",

ajoute Marc Gabolde. De plus, quelques-autres feuilles d’or avaient aussi été transmises au Metropolitan Museum of Art de New York (Etats-Unis) par Theodore M. Davis lors du partage du contenu de la sépulture, comme cela se faisait à l’époque entre l’Egypte et les nations découvreuses.

Alors qu'un ensemble important, restitué depuis à l'Egypte, s'était retrouvé à Munich (Allemagne).

"Le lot récemment retrouvé serait donc le complément de ces éléments et il devrait permettre de reconstituer une très grande partie du décor et des inscriptions de l'extérieur et, surtout, de l'intérieur du cercueil", poursuit l’archéologue.


Or il se trouve que dans l’Antiquité, ce cercueil aujourd’hui exposé au Musée du Caire, a été modifié pour accueillir la dépouille d’un roi… (A l’origine, il était destiné à Kiya, une épouse secondaire d’Akhenaton).

"Depuis sa découverte, de nombreuses hypothèses ont été formulées sur l’identité du dernier occupant du cercueil ainsi que de sa momie, très abîmée, et réduite à l’état de squelette", déclare Marc Gabolde.

Dans l’Antiquité, après son inhumation dans le tombeau KV 55 dans de la Vallée des rois, cette sépulture a été profanée, et ses cartouches (titulatures), ainsi que le visage en or du cercueil ont été volontairement mutilés, rendant l’occupant anonyme… Or quel puissant personnage avait-il pu de son vivant déclencher autant de ressentiment, pour qu’une fois mort, certains aient voulu le défigurer pour l’éternité ?

"Pendant un temps, les égyptologues ont favorisé le nom du mystérieux roi Smenkhkarê, précise Marc Gabolde. Mais aujourd’hui, les scientifiques sont plutôt enclins à considérer qu’il s’agit de la dépouille d’Akhenaton, ce qui est également mon avis après avoir examiné en détail les inscriptions figurant sur les vases canopes retrouvés avec le cercueil", conclut l'égyptologue

Des tests ADN pratiqués sur cette momie en 2010, sous la direction de Zahi Hawass, avaient déjà établi que cet individu mâle était le fils d’Amenhotep III et de la reine Tiyi, ainsi que le père de Toutankhamon, et donc Akhenaton. "L’examen de ces fragments de feuilles d’or et cette nouvelle étude pourraient désormais permettre de clarifier l’histoire de ce sarcophage, et –c’est l’espoir de tous–, d'identifier définitivement le défunt inhumé dans la tombe KV55", espère Marc Gabolde.

KV55, une tombe problématique
Découverte en 1907, la tombe KV55 contenait une grande quantité de matériel funéraire royal appartenant à la XVIIIe dynastie, dont un grand cercueil en bois doré, des vases canopes (dans lesquels étaient conservés les viscères embaumés du défunt). Cet hypogée aurait servi de cachette à des membres de la famille royale ramenés de la nécropole d'Amarna, la cité éphémère qu'avait fait bâtir loin de Thèbes, Akhénaton, le pharaon du Nouvel Empire.

En 1992-1993, lors d'une nouvelle étude, Lyla Pinch Brock, une archéologue canadienne, y avait mis au jour un ostracon peint (fragment de céramique), sur lequel figurait une partie du plan originel du tombeau antique.




Bernadette Arnaud


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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeJeu 14 Juil - 8:25


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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeVen 19 Aoû - 10:57



Une nouvelle étude génétique suggère que les Pharaons de l’Ancienne Egypte étaient des Extraterrestres Hybrides



LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Extra10

Certains diraient que c’est une preuve concluante que les bâtisseurs des pyramides étaient intimement liés à des êtres venus d’ailleurs dans l’univers.

Stuart Fleischmann, professeur adjoint en génomique comparative à l’institut Suisse du Caire et son équipe ont récemment publié les résultats d’une étude de 7 ans qui a cartographié les génomes de 9 anciens pharaons égyptiens. Si elle s’avère être correcte, leurs résultats pourraient potentiellement changer les livres d’histoire du monde.

Fleischmann et son équipe ont soumis les précieux échantillons d’ancien ADN à un processus appelé réaction en chaîne par polymérase (PCR). Dans le domaine de la biologie moléculaire, cette technique est souvent utilisée pour répliquer et amplifier une seule copie d’un morceau d’ADN, offrant aux chercheurs une image claire de l’empreinte génétique de quelqu’un.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Extra_10

Huit échantillons sur neufs ont présenté des résultats intéressants mais banals. Le neuvième échantillon appartenait à Akhenaton, l’énigmatique figure féministe et révolutionnaire du 14ème siècle avant JC et père de Toutânkhamon.

Un petit fragment de tissu cérébral desséche avait été à l’origine de l’échantillon d’ADN et le test a été répété en utilisant des tissus osseux, mais les mêmes résultats ont été obtenus.

L’un des coupables est un gène appelé CXPAC-5, qui est responsable pour la croissance du cortex.

Il semble que cette augmentation d’activité dans le génome d’Akhenaton suggère qu’il avait une capacité crânienne bien plus importante que la moyenne, en raison de la nécessité de loger un cortex plus imposant. Mais quelle mutation humaine aurait permis au cerveau de grandir à ce point? Nous n’avons toujours pas découvert une telle technique malgré des années d’avancées scientifiques en génétique.

Cette preuve vieille de 3300 ans signalerait-elle une manipulation génétique dans l’Antiquité? Était-ce l’œuvre d’êtres extraterrestres avancés ?

La mythologie Égyptienne est-elle bien plus qu’une simple collection de fables allégoriques? Le professeur Fleischmann explique que:

La télomérase (une enzyme en génétique) est seulement utilisée dans deux processus: un vieillissement extrême ou une mutation extrême. Les données archéologiques et génétiques suggèrent que Amenhotep IV/Akhenaton a vécu jusqu’à sa 45ème année. Cela suffit pour épuiser toute la télomérase chromosomique, laissant derrière elle une explication gênante, mais plausible.

Cette hypothèse est également soutenue par le fait que l’analyse au microscope électronique a révélé des signes de cicatrices nucléotidiques, qui est un signe révélateur de la guérison de l’hélice de l’ADN après avoir été exposée à de forts mutagènes.

Cette hypothèse prouverait-elle qu’Akhenaton, l’un des pharaons égyptiens les plus mystérieux, a été l’objet d’une modification génétique durant sa vie? Si cela est avéré, cela prouverait les allégations de la théorie que des anciens « astronautes » extraterrestres ont rendu visite à la civilisation égyptienne et ont vécu sur les rives du Nil.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Akena10

Une autre preuve intéressante qui soutient cette hypothèse. L’image ci-dessous montre deux photographies au microscope de tissus osseux prélevés sur le crâne d’Akhenaton et d’une autre momie du même âge.

egypteextraterrestres 4L’un des coupables est un gène appelé CXPAC-5, qui est responsable pour la croissance du cortex. L’anomalie est visible dans l’image ci-dessous.

Le tissu osseux à gauche est nettement plus dense et fondamentalement différent à l’échelle microscopique. Cette augmentation de la résistance des os du crâne pourrait-il être un indicateur d’un développement cérébral accru ?

« C’est une découverte très palpitante, pour abréger, » a dit Fleischmann à la presse. « Mon équipe et moi-même avons soumis les documents de l’étude à des paires et avons reproduit les tests suffisamment de fois et sommes certains qu’ils sont justes. »

« Je n’ai pas idée de l’importance de nos découvertes et ce qu’elles impliquent, mais je crois certainement qu’elles vont dans une direction que la communauté scientifique aurait immédiatement rejetée il y a plusieurs décennies de cela. »

Si cette étude est correcte, elle provoquera un changement de paradigme sans précédent. Si les extraterrestres étaient activement impliqués dans la vie de puissants individus il y a des milliers d’années, cela voudrait-il dire qu’ils reviendront? Ou peut-être qu’ils ne sont jamais partis.

Mais l’aspect le plus intéressant serait l’existence d’individus, les descendants directs de la lignée royale Égyptienne, qui possède les gènes extraterrestres implantés dans les génomes de leurs ancêtres.

Source: Humans Are Free via Lock Lip, le 30 mai 2015

————————

Un archéologue égyptien admet que les pyramides contiennent de la technologie extraterrestre… »

On affirme que, le 28 novembre 2010, dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen aurait dit devant auditoire : « qu’il pourrait y avoir une théorie comme quoi les extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh.




http://www.elishean.fr/une-nouvelle-etude-genetique-suggere-que-les-pharaons-de-lancienne-egypte-etaient-des-extraterrestres-hybrides/


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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeSam 20 Aoû - 18:22



http://homme-et-espace.over-blog.com/2015/11/la-mysterieuse-porte-des-etoiles-secrete-de-gizeh.html#

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeMer 14 Sep - 12:46




HISTOIRE INTERDITE :

Il y avait une quatrième pyramide noire à Gizeh !!!!!!!!!!!!!


LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Captur10

Selon un capitaine de la marine danois et explorateur, il y avait une quatrième pyramide noire à Gizeh. Pendant les années 1700, Frederic Norden prend de nombreuses notes, observations et dessins de tout autour de lui, y compris les personnes, les monuments pharaoniques, architecture, installations, cartes, etc., ce qui ont été publié dans le Voyage d’Égypte à titre posthume et de Nubie.

Nous avons tous été complètement fascinés par les anciens Égyptiens et leur longue histoire et iles ncroyables réalisations architecturales de milliers d’années d'âge.

Chaque fois que vous parlez de l’Egypte ancienne, vous ne pouvez pas éviter de penser aux pyramides situées sur le plateau de Guizeh et les mystères de ces structures antiques fascinantes.

Alors que nous savons aujourd'hui qu'il y a trois principales pyramides sur le plateau de Gizeh, la vérité est que, selon les textes anciens, il y avait une quatrième pyramide située au plateau de Gizeh, faite de «.. une pierre plus noire que le granit commun et au moins aussi dur... »...

Pendant les années 1700, Frederic Norden, un capitaine de la marine danois et explorateur, prend de nombreuses notes, observations et dessins de tout ce qu'il vit autour de lui, y compris les personnes, les monuments pharaoniques, architecture, installations, cartes, etc., ce qui a été publié dans le Voyage d’Égypte à titre posthume et aussi de Nubie.

Dans ce livre fascinant sur ce site antique, l’explorateur danois décrit une quatrième pyramide principale à Gizey, qu'il dessina spécifiquement sur la carte.

À la page 120 de son livre Voyage d’Égypte et de Nubie (voyages en Égypte et en Nubie) Norden décrit la pyramide mystérieuse :

« les pyramides principales sont à l’est, au sud-est de Gizey... Il y en a quatre d'entre elles qui méritent la plus grande attention pour les curieux... Nous pouvons voir aussi sept ou huit autres pyramides dans le quartier, mais qui ne sont rien en comparaison des anciennes. ……. …….. Les deux pyramides plus au nord sont les plus grandes et ont cinq cents pieds de hauteur perpendiculaire. Les deux autres sont beaucoup moins hautes , mais ont quelques particularités qui rendent leur examen très intéressant ! »

Une, sans revêtement, fermé et qui ressemble aux deux autres.. Il a cependant, une remarque qui mérite notre attention ; qui est, que son sommet se termine par une grande pierre, qui semble avoir servi de piédestal... la quatrième pyramide a été contruite en hauteur, en pierre noire...d’une pierre plus noir que le granite commun et au moins aussi dure. Son sommet est d’une pierre jaunâtre. Je parlerai ailleurs de son sommet, qui se termine dans un cube. Elle est, en outre, hors de la ligne des autres, plus à l’Ouest... Elle fait une série avec les trois autres. »

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Pyrmid10

Chercheurs et égyptologues, cependant, ont tendance à rejeter l’idée d’un quatrième pyramides noires à Gizeh suggérant qu’il (le témoin de l'an 1700) aurait pu par erreur prendre une des pyramides de Menakure ce que l'on appelle « fumeur » comme une quatrième pyramide.

Cependant, c’est contradictoire avec ce que dit Norden, car il décrit précisément la pyramide comme étant faite d’une pierre Bonin et plus difficiles à activer que le granit. Les pyramides satellites sont tous faites de grès.

Fait intéressant, la description et les illustrations de Norden sont d’une qualité exceptionnelle, et placent la pyramide noire, quatrième à une certaine distance des trois pyramides de Gizeh.

Dans son livre, Norden a également décrit et indique l’existence de sept (peut-être huit) plus petites pyramides sur le plateau de Gizeh.

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Pyrami11

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Pyrami10



OU SONT PASSEES LES PIERRES NOIRE EN GRANIT ???? QUI CONSTITUAIENT CETTE PYRAMIDE ???


Historia prohibida: había una cuarto negro pirámide de Giza!

Según un capitán de mar danés y Explorer, había una cuarto negro pirámide de Giza. Durante la década de 1700, Frédéric Norden toma copiosas notas, observaciones y dibujos de todo alrededor ...Voir plus

Greenteace Seb : Les chercheurs et les égyptologues, cependant, ont tendance à rejeter la notion d'un quatrième BLACK Pyramides de Gizeh suggérant qu'il aurait pu à tort pris une des pyramides de la soi-disant «satellise» de Menakure comme une quatrième pyramide.

Toutefois, cela est contradictoire que Norden décrit précisément la pyramide étant faite d'un BLACKER en pierre et plus dur que le granit. Les pyramides satellites sont tous faits de grès.

Fait intéressant, la description et les illustrations de Norden sont d'excellente qualité, et ils positionnent le quatrième, pyramide noire à une certaine distance des trois pyramides de Gizeh.

Dans son livre, Norden décrit et indique l'existence de sept (peut-être même huit) moindre des pyramides sur le plateau de Gizeh aussi.
James Nave Norden : (en réponse à une personne sceptique...) is not the only source that says there was a 4th, black, pyramid. You can even find it on other old maps. You can also find the time frame when it was apparently disassembled. Quit whining and do your research. And no, the other 3 are NOT in perfect alignment to Orion's belt. Again, do your research.

Norden : Ce n'est pas la seule source qui dit qu'il y avait un 4ème pyramide noire... Vous pouvez même la trouver sur d'autres vieilles cartes. Vous pouvez également trouver le laps de temps quand cela a apparemment été démontés. Arrêtez de chialer et faites vos recherches. Eh non, les 3 autres ne sont pas en parfait alignement sur la ceinture d'Orion. Encore une fois, faire vos recherches....

And so here we are in a beautiful awareness! We are indeed in a field of ruins... a place of plundering of antiques! This black stone would have disappeared completely from the site... interesting to know what she would become! This revelation is troubling and deserves a better (and more accessible) study !

Nous voila dans une belle prise de conscience ! Nous sommes bien là dans un champ de ruines... un lieu de pillage d'antiquités ! Cette pierre noire aurait complètement disparu du site... intéressant de savoir ce qu'elle serait devenue... Cette révélation intéressante mériterait une meilleure (et plus accessible) étude !

http://www.ewao.com/a/forbidden-history-fourth-black-pyramid-giza/

PIERRE NOIRE :

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Pierre10

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OU SONT PASSEES LES PIERRES NOIRE EN GRANIT ???? QUI CONSTITUAIENT CETTE PYRAMIDE ???

Historia prohibida : había una cuarto negro pirámide de Giza!

Según un capitán de mar danés y Explorer, había una cuarto negro pirámide de Giza. Durante la década de 1700, Frédéric Norden toma copiosas notas, observaciones y dibujos de todo alrededor ...Voir plus

Greenteace Seb : Les chercheurs et les égyptologues, cependant, ont tendance à rejeter la notion d'un quatrième BLACK Pyramides de Gizeh suggérant qu'il aurait pu à tort pris une des pyramides de la soi-disant «satellise» de Menakure comme une quatrième pyramide.

Norden décrit précisément la pyramide étant faite d'un BLACKER en pierre et plus dur que le granit. Les pyramides satellites sont tous faits de grès.

Fait intéressant, la description et les illustrations de Norden sont d'excellente qualité, et ils positionnent le quatrième, pyramide noire à une certaine distance des trois pyramides de Gizeh.

Dans son livre, Norden décrit et indique l'existence de sept (peut-être même huit) moindre des pyramides sur le plateau de Gizeh aussi.

James Nave : (en réponse à une personne sceptique...) is not the only source that says there was a 4th, black, pyramid. You can even find it on other old maps. You can also find the time frame when it was apparently disassembled. Quit whining and do your research. And no, the other 3 are NOT in perfect alignment to Orion's belt. Again, do your research.

Ce n'est pas la seule source qui dit qu'il y avait un 4ème pyramide noire... Vous pouvez même la trouver sur d'autres vieilles cartes. Vous pouvez également trouver le laps de temps quand cela a apparemment été démontés. Arrêtez de chialer et faites vos recherches. Eh non, les 3 autres ne sont pas en parfait alignement sur la ceinture d'Orion. Encore une fois, faire vos recherches....

And so here we are in a beautiful awareness! We are indeed in a field of ruins... a place of plundering of antiques! This black stone would have disappeared completely from the site... interesting to know what she would become! This revelation is troubling and deserves a better (and more accessible) study !

Nous voila dans une belle prise de conscience ! Nous sommes bien là dans un champ de ruines... un lieu de pillage d'antiquités ! Cette pierre noire aurait complètement disparu du site... intéressant de savoir ce qu'elle serait devenue... Cette révélation intéressante mériterait une meilleure (et plus accessible) étude !






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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeMer 28 Sep - 3:33

Les troublants secrets extraterrestres des pyramides, seront révélés avant la fin 2016


LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Py10

Un archéologue égyptien admet que les pyramides contiennent de la technologie extraterrestre…

Le 28 novembre 2010, dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen dit à un auditoire : qu’il pourrait y avoir une théorie comme quoi les extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh.

Interroger par M. Marek Novak, un délégué de la Pologne lui a posé la question est ce que la pyramide pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI ?

Le Dr Shaheen, rerstant vague a répondu : « Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui « n’est pas de ce monde ».

Les délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur l’ovni ou les extraterrestre.

Michael Cohen
Source: http://www.allnewsweb.com/page1199999458.php

Or, fait étrange, il y a plusieurs années, en 1961, les russes avaient lancés un projet, le projet Isis, afin de récupérer les connaissances cachées dans la grande pyramide. Ces connaissances auraient été stocker dans une bibliothèque appelé la chambre des connaissances.

Finalement les équipes russes auraient récupéré des documents ainsi que le corps d’un extraterrestre.

Beaucoup d’entre vous ont sans doute déjà visionné ce reportage :




On sait aussi, mais beaucoup moins, qu’il existe également sous les pyramides un vaste complexe, et des vestiges gênants d’une science très avancée, comme le prouve le Nexus n° 33.

Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg.

De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, de lacs, et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité.

L’information relayée par les médias jusqu’ en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.

L’histoire oubliée des pyramides…

Pour bien saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle des équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements de l’Ecole de Mystères.

Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières années le confirment.

Le district de l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les “maîtres des chasses royales”, pêchaient et chassaient au boomerang.

Le Lac Moeris avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme “une infinie merveille”. Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer.

Selon les prêtres du Labyrinthe, “les passages étaient déroutants et complexes”, destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les salles souterraines. Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérentielle :

Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes. Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre blanc de façon exquise, etait entourée d’une colonnade.

Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de grands portraits sculptés d’ animaux dont l’entrée s’effectuait par un souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les passages souterrains la reliaient aux pyramides de Memphis. Ces dernières étaient celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à l’origine “

Gizeh anciennement Memphis”, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Egypte et en Nubie, 1757, page 152.

gizehBeaucoup d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages souterrains reliant les pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Egypte présentée traditionnellement.

Crantor (300 av. J.C.) déclarait que certains piliers souterrains en Egypte offraient un récit de la préhistoire gravé dans la pierre et relataient les voies reliant les pyramides.

Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx :

Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée.

Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.

Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.

Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué. Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.

La tradition locale arabe du 19ème siècle affirmait qu’il existait des salles souterraines sous le Sphinx, renfermant des trésors ou des objets magiques. Cette croyance fut étayée par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien, selon lesquels, profondément en-dessous du Sphinx, est dissimulée la “tombe d’un dirigeant appelé Harmakhis qui contient un grand trésor” et, de façon assez étrange, le Sphinx lui-même fut appelé autrefois “Le Grand Sphinx Harmakhis qui montait la garde depuis le temps des Descendants d’Horus”.

Ammianus Marcellinus, autre historien latin du quatrième siècle fit des découvertes supplémentaires au sujet de l’existence de caveaux souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de la Grande Pyramide.

Des inscriptions, dont les Anciens soutenaient l’existence, étaient gravées sur les murs de certaines galeries souterraines et des passages furent construits dans l’obscure profondeur pour empêcher la sagesse ancienne d’être perdue dans les inondations.

Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une “étrange chose” bloquant l’entrée, côté fleuve. Il rapporte l’épisode suivant :

A l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant : “Ne me suivez pas et ne me cherchez pas”, avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé. Apprenant que d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit : “elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau”.

Si l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire.

Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide.

Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre “La Guerre des Etoiles”.

Massoudy raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout “sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être admis”.

Massoudy prétendait que “les manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les comprendre”.

C’est une information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des personnes “dignes” aient vu les mystérieuses salles souterraines. Massoudy avoua : “J’ai vu des choses impossibles à décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais cependant je les ai vues”.

Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un passage étroit sous la terre de Gizeh. Un groupe de personnes fut horrifié de voir un de ses membres mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à l’entrée du passage et ferma le couloir devant eux.

Hérodote affirme que les prêtres égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de “l’organisation de salles souterraines” par les créateurs originels de Memphis.

Les plus anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993.

La nouvelle fut annoncée publiquement dans un documentaire intitulé “Le Mystère du Sphinx”, vu par 30 millions de téléspectateurs sur NBC fin 2003. L’existence de salles en dessous du Sphinx est bien connue. Les autorités égyptiennes rendirent compte d’une autre découverte en 1994, sa révélation fut annoncée dans un article de journal sous le titre :

Mystérieux Tunnel dans le Sphinx :

Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux.

Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien. Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ? Pourquoi ? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.

L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages souterrains en étoile.

Ces plans furent dressés à partir d’informations découvertes à l’origine par le fondateur présumé de l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on prétend, s’introduisit dans “une salle secrète au-dessous du sol” et y trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.

Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes de l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes. (Ces plans sont inclus dans la section “Le Plan Principal” à la fin du livre.)

En 1935, la connaissance des Ecoles des Mystères fut renforcée par une série de découvertes remarquables qui fournirent la preuve de souterrains et de salles supplémentaires s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal.

Le complexe de Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.

Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.

Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.

Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.

Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.

L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.

De gros titres d actualités…

Chez les mystiques ou les membres des écoles de mystères Egyptiens, la tradition enseignait que la Grande Pyramide était importante à plusieurs titres. En dépit du fait que l’on n’y pénétra pas avant l’an 820, les écoles secrètes de l’Egypte pré-chrétienne maintenaient qu’elles en connaissaient bien le tracé intérieur. Elles n’avaient de cesse de prétendre que ce n’était en aucun cas un tombeau ou une chambre funéraire, à l’exception d’une pièce pour l’inhumation symbolique faisant partie du rituel initiatique.

Selon les traditions mystiques, on pénétrait progressivement à l’intérieur à des niveaux variés grâce à des passages souterrains. On dit qu’il y avait différentes pièces à la fin de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé représenté par ce que nous appelons maintenant la Chambre du Roi.

Peu à peu, les découvertes archéologiques vérifièrent les traditions des Écoles des Mystères, et il fut établi en 1935 qu’il existait une connexion souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le Temple du Sphinx).

En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées.

Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre. L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte.

Il déclarait : …

Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales.

A peu près au même moment, les médias internationaux publiaient davantage de détails concernant la découverte. Le complexe de connexions souterraines fut construit à l’origine entre la Grande Pyramide et le Temple des hommes-Solaires, car la Pyramide de Khephren fut une structure plus tardive et superficielle.

Le souterrain et ses salles adjacentes furent excavés dans le substratum rocheux ; une prouesse véritablement extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut construit il y a des milliers d’années…

Il y a davantage à ajouter à l’histoire des salles souterraines de Gizeh, car les bulletins de presse décrivirent la découverte d’un passage souterrain entre le Temple des hommes-du-Soleil sur le plateau et le Temple du Sphinx dans la vallée.

Le passage avait été dégagé quelques années avant l’autorisation de publier cet article particulier. Les découvertes conduisirent le Dr Selim Hassan et d’autres à croire et à affirmer publiquement que, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.

Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khephren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif. Ces puits portent le nom de “Tombeau de Campbell”, sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et “ce complexe”, dit le Dr Selim Hassan, “se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres.”

Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut.

La découverte avançait et, dans l’une des sept chambre, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc.

Elle fut appelée “Tombeau d’Osiris” et présentée par un montage documentaire télévisé de Mars 1999 comme étant “ouverte pour la première fois”. Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds…

Lors du déblaiement de la partie sud du souterrain, on a trouvé une très fine tête de statue, dont chaque détail rend le visage très expressif.

Selon un autre article de l’époque, la statue était un admirable buste sculpté de la Reine Néfertiti, décrite comme “un bel exemple d’un style artistique rare apparu sous le règne d’Amenhotep.”

Aujourd’hui personne ne sait où se trouve cette statue.

L’article décrit aussi d’autres salles et chambres souterraines, toutes reliées par des passages secrets très décorés. Le Dr Selim Hassan révéla non seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une pièce, qu’il baptisa “Chapelle de l’Offrande”, creusée dans un énorme affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide.

Au centre de la chapelle, trois piliers verticaux décorés forment un triangle. Ces piliers sont des points d’une haute importance dans cette étude car la Bible signale leur existence.

On peut en conclure qu’Ezra, qui a compilé la Torah en 397 av. JC, connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh ou était en possession d’écrits plus anciens …


Ce modèle souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel central des loges maçonniques. Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au premier siècle, écrivit qu’Enoch, figure de l’Ancien Testament, construisit un temple souterrain constitué de neuf salles. Dans un profond caveau à l’intérieur d’une des salles avec trois colonnes verticales, il plaça un lingot d’or de forme triangulaire portant l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu).

La description des salles d’Enoch était identique à la celle de la Chapelle de l’Offrande sous le sable, juste à l’est de la Grande Pyramide.

Une antichambre ressemblant beaucoup à une chambre funéraire, mais “sans l’ombre d’un doute une pièce d’initiation et de réception” fut découverte plus haut sur le plateau, plus près de la Grande Pyramide, à l’extrémité supérieure d’un passage en pente, taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de l’Offrande (entre la Chambre de l’Offrande et la Grande Pyramide).

Au centre de la salle se trouve un sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de Turah et une accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs sont admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).

On découvrit d’autres pièces souterraines, des salles, des temples et des couloirs, certains avec des colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de sculptures murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues.

Le rapport du Dr Selim Hassan décrivait d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux splendides couleurs. On prit des photos et un auteur et chercheur qui les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis se souvint qu’il fut “profondément impressionné” par les images. On ne sait pas où sont aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais selon la rumeur, des collectionneurs privés les passèrents en fraude hors d’Egypte.

Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes). Cependant, il ne représente qu’un fragment des édifices présents sous le terrain des Pyramides.

Pendant la dernière année du désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus surprenante découverte qui fut relatée par les médias internationaux.

Les archéologues responsables de la découverte furent “déroutés” par ce qu’ils avaient sorti de terre : Une cité la plus merveilleusement organisée qu’ils eussent jamais vue. Elle est remplie de temples, de scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres bâtiments y compris un palais.

Pourvu de voies navigables hydrauliques souterraines, son parfait système de drainage rivalise avec d’autres équipements modernes.

L’intrigante question qui en découle est : où est aujourd’hui cette cité ?

gizeh citéSon emplacement secret fut récemment révélé à un petit groupe de personnes qui obtint la permission d’explorer et de filmer la cité. Elle est située au coeur d’un immense réseau de cavernes naturelles du plateau de Gizeh s’étendant loin en direction de l’est sous le Caire. Son accès principal s’effectue par des escaliers taillés dans la roche à l’intérieur du Sphinx descendant jusqu’à la caverne sous le lit du Nil.

L’expédition fit descendre des groupes électrogènes et des radeaux pneumatiques et circula le long d’une rivière souterraine qui menait à un lac d’un kilomètre de large.

La cité, blottie sur les rives du lac, est en permanence éclairée par de larges sphères de cristal présentes aux murs et au plafond de la caverne. On découvrit une seconde entrée de la cité au niveau de l’escalier qui mène aux fondations de l’Eglise Copte du vieux Caire.

D’après les récits d’habitants “vivant sous Terre”, relatés par les livres de la Genèse, d’Asher et d’Enoch, il est possible que cette cité se soit anciennement nommée Gigal.

On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon confidentielle. Au départ, il était prévu de présenter les séquences au grand public, mais, pour certains motifs, cela fut différé…

Un objet sphérique en cristal, à plusieurs facettes, de la taille d’une balle de base-ball, fut rapporté de la cité, et son caractère surnaturel fut prouvé lors d’une conférence récente en Australie. Profondément à l’intérieur de l’objet solide, divers hiéroglyphes tournent lentement comme les pages d’un livre quand celui qui tient l’objet en mains en fait mentalement la demande.

Cet objet remarquable révéla une forme inconnue de technologie et fut récemment envoyé à la NASA aux USA à des fins d’analyse…

Des recherches historiques du 20ème siècle relatent que de stupéfiantes découvertes eurent lieu à Gizeh et dans le Sinaï, dont on ne parle plus aujourd’hui, et des rumeurs égyptiennes abondent au sujet de la découverte d’une autre cité souterraine dans un rayon de 45 km autour de la Grande Pyramide.

En 1964, on découvrit plus de 30 énormes cités souterraines dans l’ancien royaume turc de Cappadoce. Une seule de ces cités contenait d’immenses cavernes, des salles et des couloirs que les archéologues estiment avoir appartenus à 2.000 propriétaires, offrant des conditions d’existence à 8.000 ou 10.000 personnes.

Leur existence même prouve de façon évidente que beaucoup de mondes souterrains attendent d’être découverts sous la croûte terrestre.

Les fouilles de Gizeh ont révélé des passages souterrains, des temples, des sarcophages et une cité souterraine qui leur est reliée, et la preuve que les passages souterrains reliaient le Sphinx aux Pyramides est une autre étape vers la confirmation que le complexe a été soigneusement et spécifiquement conçu dans sa totalité.

Démentis officiels…

Grâce aux fouilles du Dr Selim Hassan et aux techniques modernes de surveillance spatiale, les récits et traditions des anciennes écoles de Mystères d’Egypte qui prétendaient conserver la connaissance secrète du Plateau de Gizeh atteignirent tous le plus haut degré de vraisemblance.

Toutefois, l’aspect le plus énigmatique de la découverte des installations souterrainnes de Gizeh est le démenti répété de leur existence par les autorités égyptiennes et les institutions universitaires. Celui-ci fut si obstiné que les affirmations des Ecoles de Mystères furent mises en doute par le public et suspectées d’avoir été créées de toutes pièces aux fins de mystifier les touristes.

Le comportement formaliste est caractérisé dans une déclaration publique de l’Université de Harvard en 1972 :

‘’ Personne ne doit prêter la moindre attention aux revendications saugrenues concernant l’intérieur de la Grande Pyramide ou les corridors supposés ainsi que les temples, les salles sous le sable entourant la Pyramide, faites par ceux qui s’associent aux soi-disant cultes secrets ou sociétés occultes d’Egypte et d’Orient.

Ces choses existent seulement dans l’esprit de ceux qui cherchent à attirer les amateurs d’énigmes, et plus nous démentons l’existence de ces éléments, plus le public est conduit à supposer que nous cherchons à cacher volontairement ce qui constitue un des grands secrets de l’Egypte.

Mieux vaut ignorer toutes ces prétentions plutôt que de simplement les démentir. Toutes nos fouilles dans le secteur de la Pyramide ont échoué quant à la révélation de quelques passages ou salles souterraines, temples, grottes, ou autres choses du genre que ce soit, à l’exception du seul temple jouxtant le Sphinx.’’

Cette ligne stratégique aurait pu suffir à contenir l’opinion intellectuelle mais des déclarations officielles démentant formellement l’existence de temples jouxtant le Sphinx avait déjà été émises les années passées.

L’affirmation que chaque pouce de terrain autour du Sphinx et des pyramides avait été exploré en profondeur fut contredite quand le temple proche du Sphinx fut découvert dans le sable et finalement ouvert au public.

Sur des sujets échappant à la politique officielle, il devint évident qu’un haut niveau élevé de censure était appliqué de façon à protéger les religions et conceptions historiques tant occidentales qu’orientales.

Lampes perpétuelles…

En dépit de découvertes sensationnelles, l’absolue vérité de l’histoire primitive Égyptienne demeure méconnue dans une large mesure, d’où un territoire non cartographié.

Il est dès lors impossible de préciser le nombre de kilomètres de passages souterrains et de salles sous le Plateau de Gizeh qui furent éclairés, mais une chose est sûre : à moins que les anciens aient eu la faculté de voir dans l’obscurité, ces vastes espaces le furent forcément. La même question s’applique à l’intérieur de la Grande Pyramide, et les égyptologues s’accordent sur le fait que l’on n’utilisa pas de torches ardentes car les plafonds ne sont pas noircis.

D’après ce que l’on sait aujourd’hui, il est possible d’estimer à au moins cinq kilomètres de passages sur 10 à 12 étages. Le Livre des Morts et les Textes des Pyramides font tous deux des allusions frappantes aux “Constructeurs de Lumière”, et cette extraordinaire description peut s’appliquer à un corps de métier responsable de l’éclairage des zones souterraines de leurs complexes.

Jamblique rend compte d’un fascinant récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu d’une mosquée du Caire. Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de notre ère, comptant l’exploration d’un groupe de personnes qui parvint à l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh.

Ils décrivirent leur expérience :

‘’ Nous arrivâmes à une salle. Quand nous entrâmes, elle s’éclaira de manière automatique grâce à la lumière d’un tube de la hauteur d’une main d’homme étendue (environ 15 cm), situé à la verticale dans un angle. Comme nous approchions du tube, il brillait davantage…

les esclaves furent effrayés et s’enfuirent en courant dans la direction d’où nous étions venus ! Quand nous le touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre possible pour que le tube brilla de nouveau, mais il ne donnait plus de lumière. Dans quelques salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans d’autres, non.

Nous brisâmes l’un d’entre eux qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes (du mercure ?).

Au fil du temps, les tubes lumineux commençèrent progressivement à s’éteindre et les prêtres les enlevèrent pour les entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au sud-est du plateau.

Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les rallumer.’’

Une pratique courante des Egyptiens de l’antiquité consistait à sceller des lampes allumées dans les sépultures de leurs défunts comme offrandes à leur divinité ou pour accompagner les décédés sur la voie les menant à “l’autre rive”.

Parmi les tombes proches de Memphis (ainsi que dans les temples de l’Inde brahmanique), on découvrit des lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients hermétiquement scellés, que la soudaine exposition à l’air libre éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible.

Plus tard les Grecs et les Romains maintenirent cette tradition et même la consacrèrent; non seulement avec de réelles lampes, mais aussi par des reproductions miniaturisées de terre cuite, ensevelies avec les morts. Quelques lampes furent protégées dans des récipients cylindriques, et il existe des exemples pour lesquels l’huile d’origine fut retrouvée parfaitement conservée après plus de 2.000 ans…

Il existe des preuves évidentes, confirmées par témoins oculaires, que les lampes éclairaient tant que les sépultures étaient scellées, d’autres rapportant qu’elles brûlaient encore quand les caveaux furent ouverts des centaines d’années plus tard.

La capacité à composer un combustible qui se renouvelait de lui-même aussi rapidement qu’il était consumé fut source d’un différend considérable parmi les auteurs médiévaux, et de nombreux documents existent, avec des ébauches d’arguments.

Après avoir dûment constaté l’évidence même, il semble bien que les anciens prêtres-chimistes égyptiens possédaient, dans l’éventail de leurs compétences, celle de manufacturer de leurs mains des lampes qui brûlaient indéfiniment ou du moins pendant des périodes considérables.

De nombreuses autorités ont écrit sur le thème des lampes perpétuelles, et W. Wynn Wescott estime le nombre d’auteurs ayant pris ce sujet en considération à plus de 150 et H. P. Blavatsky à 173.

Bien que les différents auteurs parviennent à des conclusions variées, une majorité admet l’existence des lampes prodigieuses. Seuls quelques uns soutenaient que les lampes brûlaient éternellement, mais beaucoup voulaient bien admettre qu’elles pouvaient rester allumées plusieurs siècles, sans renouvellement du combustible.

On pensait généralement que les mèches de ces lampes perpétuelles étaient faites d’asbeste tressée ou enroulée, que les premiers alchimistes appelaient ” laine de salamandre”. Il sembla que le combustible fût un produit de la recherche alchimique, peut-être fabriqué dans le temple du Mont Sinaï.

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeMer 28 Sep - 3:37



Plusieurs formules de préparation de ce combustible pour les lampes furent sauvegardées. Dans l’œuvre profonde d’H.P. Blavatsky, Isis Dévoilée, l’auteur recopie deux formules compliquées, empruntées aux auteurs primitifs, d’un combustible qui “une fois fabriqué et allumé, brûlera d’une flamme perpétuelle en tout lieu de votre choix”.

Certains croient que les prétendues lampes perpétuelles des temples étaient des dispositifs mécaniques truqués, et l’on colporta des explications bien peu sérieuses.

Il existe en Egypte d’importants gisements souterrains d’asphalte et de pétrole et certains en concluent que les prêtres reliaient les mèches d’asbeste à un gisement pétrolifère par un conduit secret qui reliait une ou plusieurs lampes.

D’autres pensent que la croyance selon laquelle les lampes brûlaient indéfiniment dans les tombes s’explique par certains cas de vapeurs ressemblant à de la fumée qui se déversaient à l’entrée des caveaux nouvellement dégagés.

Des groupes qui y sont entrés par la suite, ayant découvert des lampes répandues au sol, assurèrent qu’elles étaient la source des vapeurs. Il y eut quelques histoires bien documentées au sujet de la découverte des lampes perpétuelles non seulement en Egypte mais aussi en d’autres parties du monde.

Montfaucon de Villars fit ce récit fascinant de l’ouverture du caveau de Christian Rosenkreuz. Quand les Frères entrèrent dans le tombeau de leur illustre fondateur 120 ans après son décès, ils trouvèrent une lampe perpétuelle éclairant brillamment dans une suspension au plafond. “Une statue en armure (un robot ?) détruisit la source de lumière quand on ouvrait la salle.”

Cela se rapproche étrangement des récits des historiens arabes qui affirmaient que des automates gardaient les galeries sous la Grande Pyramide.

Un récit du 17ème siècle donne une autre version de ce robot. Dans le centre de l’Angleterre, on découvrit un tombeau étrange contenant un automate qui bougeait quand un intrus marchait sur certaines dalles du sol du caveau. A cette époque, le différend Rosicrucien était à son apogée, aussi décida-t-on que le tombeau était celui d’un initié Rose-Croix.

Un campagnard découvrit le tombeau et trouva l’intérieur brillamment éclairé par une lampe suspendue au plafond. Comme il marchait vers la lumière, son poids fit glisser les pierres du sol et, instantanément, une silhouette assise dans une lourde armure commença à bouger. Elle se dressa de façon mécanique et frappa la lampe avec une baguette de fer, la détruisant et empêchant ainsi la découverte de la substance secrète entretenant la flamme.

On ignore combien de temps la lampe avait brûlé, mais le compte-rendu fait état d’un nombre d’années considérable…

gizeh nexusPar Tony Bushby ” 2003 d’après le Chapitre 8 de son livre The Secret in the Bible publié par Stanford Publishing Group et Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australia. Site web : http://www.joshuabooks.com

Un mur autour des pyramides …

En 2002, de manière presque inaperçue par le public mondial, un vaste mur de béton, surmonté d’une grille, a été érigé autour du terrain de Gizeh. Dès le début, Armin Risi a observé la construction. Voici son premier rapport de la situation.

En mars 2002, j’ai entendu pour la première fois parler qu’un mur serait construit autour du plateau des pyramides et le terrain environnant. Des amis de retour d’Egypte, avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du mur. Quand le petit groupe privé de touristes voulait suivre la ligne des fondations qui conduit jusqu’au désert, il en a été empêché par des gardiens armés.

On leur a interdit de faire d’autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux. Qu’est-ce qui se passait ici ?

Un mur mystérieux, une cadence élevée de travail…

Apparemment, tout d’abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ ½ mètre dans le sol, entremêlées d’une suite d’une double rangée de tiges en acier (avec tous les 10 cm deux des tiges en face). Pourquoi ce mur en béton doit-il être tellement renforcé ? Et pourquoi sur une longueur de plusieurs kilomètres ?

Et pourquoi les premières parties du mur, ont-elles été érigées à des angles très éloignés du plateau ou ni des touristes ni même les gens du pays se rendent ? Est-ce que l’on voulait cacher le plus longtemps possible ce que l’on recherche par ici ?

La visite suivante en juillet 2002 montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante. Ici, on travaillait 24 heures par jour ! Et au sommet du mur d’une hauteur d’environ 4 mètres, se dressaient des tiges en fer de 3 mètres.

Lors des visites en décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce que cette construction signifiait : entre-temps le mur avait atteint le plateau des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été fixées.

En avril 2002 j’avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak, de cette construction. A cette époque, il n’en avait pas encore entendu parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena de nombreuses photos. Sur son site web, le professeur Hurtak publia l’estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d’environ 8 km2.

De plus, il relata que « l’installation du mur est tellement gigantesque que dans ce but quelques bâtiments et logements de village ont certainement dû être démolis et enlevés. De ce fait, il faut supposer que ce n’est pas seulement l’intérêt des touristes qui est en jeu.

Ce que nous avons ici est un plan plus grand, bien réfléchi qui inclut également les sites environnants et doit sécuriser probablement des tombes souterraines, tunnels et couloirs…etc

Le financement de ce mur viendrait des USA, il est question, entre autre, de « Stanford University“

Quelles sont les motivations ? On sait que pendant les dernières années, de nombreuses fouilles ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été « radiographié » par sonde acoustique et les pyramides étaient plusieurs fois fermées quelques mois. En février 2003, les trois pyramides étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de rénovation !

Serait-on en train de faire des recherches à l’intérieur ? Ou les rumeurs concernant des souterrains et espaces sous le plateau sont-elles fondées ? Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit rien savoir ?

Ce ne sont que des spéculations, mais en tout cas cela vaut la peine de garder sous surveillance cette région dans un proche avenir surtout par des chercheurs indépendants.

Armin Risi

Selon plusieurs témoins, que depuis la construction de ce mur, les excavations en sous-sol vont bon train sur le site fermé et isolé des curieux, des bruits de grosses machineries sont également entendu, mais nul ne sait de quoi il s’agit réellement !

Une zone ou personne n’avait accès jusqu’à présent, a été découverte également, les États-Unis exercent une surveillance accrue sur une structure interne de la pyramide.

La chose la plus étonnante est que dans cette salle découverte il y avait une signature thermique importante, de la chaleur … Et on mentionne la présence d’une «entité».

Des forces spéciales ont été déployées aux alentours, et aux environ des 22, 23 avril cette entité inconnue est apparut, très grande, et étant vêtue d’or, portant une coiffe d’oiseaux. En consultant nos amis de la Geomatrix Gizeh, il semblerait que ce soit Thoth !

Thôt :

Dans la mythologie égyptienne, Thot est le dieu lunaire. Représenté comme un ibis au plumage blanc et noir ou comme un babouin, Thot capte la lumière de la lune, dont il régit les cycles, à tel point qu’il fut surnommé « le seigneur du temps ».

Inventeur de l’écriture et du langage, il est la « langue d’Atoum » et le dieu des scribes. Incarnation de l’intelligence et de la parole, il connaît les formules magiques auxquelles les dieux ne peuvent résister. Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules magiques du Livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux.

Le respect que Thot inspire lui vient de son savoir illimité. Toutes les sciences sont en sa possession : Il connaît tout et comprend tout. En tant que détenteur de la connaissance, il est chargé de la diffuser. C’est pourquoi il a inventé l’écriture. Les anciens égyptiens pensaient que le savoir et la connaissance leur avaient été transmis par des livres et des écrits que Thot avait volontairement abandonnés dans des temples.

Il préside à l’audition des morts au tribunal d’Osiris, et c’est Anubis qui pèse et juge les âmes en les comparant au poids d’une plume. Lors de son combat avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire de l’ordre (légitime, Horus étant l’héritier du défunt Osiris) sur le chaos (Seth, qui perturbe l’ordre dynastique, et par conséquent l’ordre du monde).

On ne peut également s’empêcher de re-penser aux écrits et aux dires d’ Edgar Cayce !

Edgar Cayce, né en 1877 et mort en 1945, son oeuvre est considérable. Elle se compose d’environ 14 256 lectures, c’est à dire, de consultations et d’analyses données au cours d’une sorte de sommeil très spécial, apparenté à une transe médiumnique.

« Bientôt viendra le temps des grands changements ; et dans trois endroits différents, on exhumera les archives atlantes. Le Temple de l’Atlantide surgira à nouveau. C’est alors qu’on mettra à jour le temple, ou plutôt la salle des archives en Egypte, ainsi que les archives qui avaient été cachées au coeur du pays atlante : elles pourront y être retrouvées (…) Ces archives forment un tout »

A propos de la découverte de cette salle des Archives en Egypte à Gizeh, Cayce dit encore:

« En ce qui concerne les archives (géo)physiques, il sera nécessaire d’attendre que s’accomplisse le temps de la désintégration de ce qui a été fait par les volontés égoïstes du monde. Car rappelez-vous que ces archives ont été réunies dans l’optique des changements mondiaux ».

Un autre homme, Giordano Bruno, fut lui aussi l’un des premiers à oser dire que l’univers était infini et qu’il existait d’innombrables mondes habités …

Giordano Bruno est le premier à postuler, contre la doctrine de l’Église de l’époque, résultat : Il fut brulé par l’église !!

À la lecture de sa condamnation au bûcher, Bruno commente : « Vous éprouvez sans doute plus de crainte à rendre cette sentence que moi à la recevoir. ». Le 17 février 1600, il est mis nu, la langue entravée par un mors de bois l’empêchant de parler et de crier, sur le Campo Dei Fiori et supplicié sur le bûcher devant la foule des pèlerins venus pour le Jubilé.

Tout semble lié au final, et tous les mystères et secrets qui nous entourent, aussi bien sur terre que sous terre, et même dans l’espace, seraient tous reliés par un fil mystèrieux…

Il n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets cachés par les autorités, nous vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde, sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifiée et mensongère… Mais jusqu’à quand ?

La plus ambitieuse exploration des pyramides jamais entreprise… !

gizeh scan pyramidesLe ministre des Antiquités égyptiennes annonce que l’institut français HIP et la faculté des ingénieurs du Caire vont organiser la campagne de thermographie infrarouge dans les pyramides.

Les technologies de Scan Pyramids pourront également étudier l’hypothèse de Nicholas Reeves dans le tombeau de Toutankhamon. Une fois les résultats obtenus, ce sera aux égyptologues de les interpréter.






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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeMer 28 Sep - 3:39

« Quand on commence à utiliser ces technologies, c’est sans fin, a conclu Mamdouh Eldamaty. Nous allons les utiliser pour les pyramides, pour la sépulture de Toutankhamon, et si nous les validons, pour quantité d’autres monuments ! »

La Grande Pyramide a été pillée de nombreuses fois depuis l’Antiquité : l’accès actuel se fait d’ailleurs par une entrée creusée sur la face nord par des profanateurs, traditionnellement appelée galerie d’Al-Mamoun du nom du calife qui fit explorer l’édifice en 820 de notre ère.

Elle n’a livré aucun décor intérieur, ni vestige de mobilier funéraire. Et surtout pas le corps de son illustre propriétaire. A tel point que certains spécialistes se sont demandés s’il l’avait jamais occupé. Une problématique qui se pose pour l’ensemble des pyramides de l’Ancien Empire, toutes découvertes vides de mobilier funéraire et de dépouille royale. Il est toujours impossible, aujourd’hui, de décrire avec précision comment elle a été construite.

Le projet, est de dimension internationale, et réunira des chercheurs japonais, canadiens et français. Il mettra en oeuvre des techniques dites « non invasives et non destructives ». Toutes informations importantes à décrypter. Car au-delà de leur intérêt archéologique, les géantes antiques sont un symbole pour le pays.

Pas question d’aller y voir de trop près. Surtout pour des missions étrangères. Et interdiction formelle d’y faire le moindre accroc. « Percer un trou dans les pyramides, c’est percer le cœur de l’Egypte », disait en son temps l’archéologue Zahi Hawass, qui fut jusqu’à la chute d’Hosni Moubarak en 2011, le tout puissant patron des Antiquités Egyptiennes, et dont les fouilles furent les dernières menées dans Kheops.
La plus ambitieuse exploration des pyramides jamais entreprise… !

Les 5 grands mystères de la grande pyramide…

gizeh keopsCette exceptionnelle mission permettra peut-être de répondre – enfin ! – à des questions récurrentes. Car le « mystère des pyramides », qu’on se le dise, n’est pas qu’un cliché pour scénaristes en mal d’inspiration ! C’est aussi, depuis des décennies, un casse-tête pour les scientifiques.

Première énigme : leur construction. Particulièrement celle de Kheops, la plus grande de toutes.

Aujourd’hui encore, aucun archéologue, aucun architecte de bonne foi ne saurait dire avec certitude comment, à une époque où l’on ne connaissait pas la roue pour le transport, où l’on disposait seulement d’outils de pierre et de cuivre pur, ses bâtisseurs ont pu élever en vingt-cinq ans environ ce colosse aux mensurations impressionnantes : 146 mètres de haut, une superficie de 5 hectares, 2,5 millions de blocs, parmi lesquels des dalles de granit de 63 tonnes, qui ont été montées à 60 mètres de hauteur au-dessus de la chambre dite du Roi.

Les différentes théories à base de machines ou de rampes avancées ces dernières décennies ont toutes leurs limites, comme le reconnaît Rainer Stadelmann. L’archéologue allemand a procédé à de nombreuses expérimentations à Dahchour, à une quinzaine de kilomètres au sud de Saqqarah, où le roi Snefrou (2575 – 2551) a élevé la pyramide Sud, dite rhomboïdale, et la pyramide Nord, dite pyramide rouge : « Nous n’avons jamais réussi une démonstration absolue », dit–il.

Autre mystère : la structure interne des pyramides. Leurs plans, tels qu’on les connaît, révèlent d’inexplicables anomalies. Ainsi, la rhomboïdale présente deux entrées menant chacune à une chambre funéraire, dont l’une est située non sur la face nord mais sur la face ouest, fait unique dans l’Ancien Empire.

Quant à Kheops, elle est la seule à posséder trois chambres étagées dans son massif de pierre : une chambre souterraine abandonnée; une chambre dite de la Reine qui n’a jamais abrité la moindre sépulture d’épouse royale, et dont la fonction reste discutée; une chambre dite du Roi, ouverte aux visiteurs, où se trouve un sarcophage vide. Mais aucune antichambre…

Autre innovation : quatre énigmatiques conduits, dits de ventilation, la traversent. C’est d’ailleurs dans l’un d’entre eux que Zahi Hawass a conduit ses dernières missions d’exploration à l’aide de robots équipés d’une fibre optique.

izeh entreprise explorationLa plus ambitieuse exploration des pyramides jamais entreprise… !

Dernière demeure des pharaons de l’Ancien Empire (2575 – 2134), selon la théorie en vigueur, les pyramides se devaient d’être inviolables. Les constructeurs ont donc multiplié fausses pistes et obstacles pour protéger les dépouilles et les trésors de leurs souverains. Lors des premières fouilles scientifiques, au 19e siècle, elles ont pourtant été retrouvées vides. Pillées ?

Reste que les diverses missions de détection, menées jusque-là, ont capté d’étranges fantômes dans ces massifs inviolables. De là à imaginer la présence de pièces secrètes…

Source : sciencesetavenir.fr

Des techniques inspirées de l’industrie aérospatiale…

La mission internationale commencera début novembre 2015 pour se terminer fin 2016.

Sera scannée la pyramide dite rhomboïdale, du pharaon Snefrou, au fin parement de calcaire en partie conservé, et dont l’angle de pente a été modifié à mi hauteur. La pyramide rouge du même Snefrou suivra ; haute de 104 m, contre 146 à l’origine, elle mesure 220 m de côté.

Puis la mission, qui compte vingt-cinq personnes, étudiera ensuite les deux plus hautes pyramides du plateau désertique de Guizeh, dominant le Caire : la monumentale Khéops, 137 m aujourd’hui, contre 146 à l’origine et 230 m de côté, avant d’étudier sa jumelle Khéphren, 138 m sur 215 m de côté.

Plusieurs technologies d’exploration se succéderont, sans toucher aux édifices eux-mêmes. Deux missions de thermographie infrarouge – technique utilisée dans l’industrie aérospatiale -, l’une de courte durée menée par le spécialiste Jean-Claude Barré de LedLiquid, l’autre, d’une année au moins, conduite par l’université Laval de Québec, permettront d’établir une carte thermique des quatre monuments pour analyser la « peau » de la pyramide et détecter les vides intérieurs proches de la surface de calcaire.

« L’essentiel est d’avancer en mettant en œuvre de nouvelles approches, souligne Mehdi Tayoubi, président de HIP Institut. Beaucoup de missions précédentes ont tenté de percer les mystères des pyramides et si elles n’y sont pas parvenues, elles ont chacune fait progresser la connaissance comme ce fut le cas, par exemple, il y a tout juste trente ans, de la mission de la Fondation EDF, qui a décelé une anomalie de sous-densité en forme spiralée dans Kheops.

Notre objectif est d’apporter notre pierre à l’édifice et de préparer, en toute humilité, le chemin pour de futures missions de recherche scientifiques. »

gizeh explorationC’est cette fameuse rampe intérieure en spirale qui pourrait être révélée par les images produites. Et apporter un début de réponse à l’énigme de la construction de ces monstres comme la pyramide de Khéfren, composée de 2,3 millions de blocs de pierre montés en gradins, d’un poids moyen de 2,5 tonnes chacun et pouvant atteindre les 200 tonnes pour les plus massifs.

L’opération Scan Pyramids, d’un million d’euros, financés par des mécénats de compétence et financiers, accompagne les grands chantiers culturels lancés par l’Egypte. Deux musées colossaux sont annoncés à Guizeh, au pied des pyramides.

Le Musée national égyptien des civilisations (NMEC) – de la préhistoire à aujourd’hui –, doté d’un centre culturel avec cinéma et commerces, ouvrira début 2016. Le Grand musée égyptien (GEM), qui devrait être terminé en 2018, présentera tous les vestiges et l’histoire du jeune Toutankhamon. Tandis que le musée national du Caire, place Tahrir, recélant les trésors de l’ancienne Egypte sera entièrement restauré dans son jus, comme s’il venait d’ouvrir en 1902.

gizeh dronesLes pyramides d’Egypte sous les yeux inquisiteurs des drones…

Des annonces prometteuses qui devraient raviver l’intérêt international pour la terre des pharaons. La fréquentation touristique est en berne. Les 14,8 millions de visiteurs de 2010 seront moins de 9 millions en 2015. La manne du tourisme représente le tiers du PNB. La Haute Egypte souffre. Les sites y sont quasi déserts…



‘Scan Pyramids’ : une mission pour découvrir le secret des constructions des pyramides sur wat.tv

Le monde.fr / Lci tf1

On peut supposer que comme par trop souvent, si de grandes découvertes sont faites, nous n’en saurons rien avant plusieurs années !

SOURCE : http://homme-et-espace.over-blog.com

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer l’auteur, la source et le site : http://www.elishean.fr/

Copyright les Hathor © Elishean/2009-2015/ Elishean mag

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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeMer 5 Avr - 13:59

UN TEXTE TRES INTERESSANT....

La structure majestueuse du Sphinx a plus de 800.000 ans !!!!!!!!!!!!

et non pas 12 500 ans comme l'affirment certains égyptologues !!!! drunken  drunken

Le Grand Sphinx précède le Pliocène

texte de Louis De Jonghe d'Ardoye

1 - L’Incroyable Énigme du Sphinx de Gizeh

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Sphinx10

La véritable énigme du Sphinx touche essentiellement à son origine lointaine que les “égyptoqués” ne veulent admettre, tout d’abord de peur de voir trop de vérité sur une partie du passé remarquable de l’Égypte Ancienne qu’une vraie science tient à recadrer dans un contexte de réalité, ensuite aussi de peur de perdre la manne du privilège de l’intérêt touristique qui pourtant ne pourrait que s’amplifier…

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Doteur10 No  No  No

Le Dr Zahi Awass qui a la haute main sur les fouilles est un personnage très contestable imposé par les américains, outre ses dissimulations, calomnies et détournements d’objets, il bloque et dénie des réalités qu’il a lui même reconnu en 1996. Ceux qui prétendent qu’une civilisation disparue aurait laissé quelques secrets enfouis dans tunnels et de chambres creusées sous le Sphinx doivent se taire,  jusqu’à ce que la grande révélation soit faite….

Les travaux d'un ancien égyptologue français, Emile Amelineau (1850-1915) qui se consacra aux premières dynasties et qui excava pour la première fois des tombes de pharaons de la première dynastie (officielle) mettent en évidence les traces avérées du peuple ANU, j’y consacre au chapitre 12 plus de détails...

La gigantesque statue du Grand Sphinx garde les yeux rivés sur l'est de l'Égypte, dans l'axe du 30° parallèle. Ce monolithe sculpté d’une pièce (!) dans le soubassement calcaire du plateau de Gizeh est rongé par l'érosion, mutilé, fissuré, il se délite peu à peu. Pourtant, aucun monument antique ne rivalise avec lui, fût-ce de loin, en puissance, en grandeur, en majesté et en mystère. Son regard vigilant, ténébreux et hypnotique demeure sans égal. Jadis, on le considérait comme un dieu. Puis, l'amnésie l'a pris dans ses filets et, sous l'effet d'un sortilège, il a sombré dans le sommeil. Le temps s'est écoulé. Des milliers d'années. Les climats, les cultures, les religions, les langues et même la configuration des étoiles dans le ciel ont changé. Mais le Grand Sphinx est resté, imposant, songeur, drapé dans le silence. Les dunes ou la mer l'ont englouti plus d'une fois. Les millénaires se sont succédé et, parfois, des souverains bienveillants l'ont fait désensabler. A l'époque islamique, le désert l'avait enseveli jusqu'au cou et il avait reçu un nom nouveau, ou peut-être très ancien : « À un peu plus de la portée d'une flèche de ces pyramides, relatait Abd Al-Latif au XIIe siècle, on voit la colossale figure d'une tête et d'un cou qui sortent de terre. On nomme cette figure Abou ’l-Hol.» Au XIVe siècle, El-Makrizi rapportait ainsi l'histoire d'un dénommé Saïm ed-Dahr : « Voulant remédier à certaines erreurs religieuses, il s'est rendu aux Pyramides et a défiguré Abou 'l-Hol, qui est resté depuis lors dans cet état. A dater de ce temps, le sable a envahi les terres cultivées de Gizeh, et l'on impute ce phénomène au défigurement d'Abou 'l-Hol.» Des souvenirs tenaces. …

La structure majestueuse du Sphinx a plus de 800.000 ans, avec le sanctuaire de Kailasa c’est l’un des monuments les plus mystérieux de la Terre. Il n’a aucune inscriptions d’origine, il y a des tunnels, des passages et des salles qui attestent d’une vie souterraine, sujet traité au § 4 . Voici quelques images rares prises avant la plupart des restaurations modernes du Sphinx.
Kailasa ==>https://www.facebook.com/notes/louis-de-jonghe-dardoye/le-boomerang-de-lanthropologie-contrôlée/901713069851596
                           Photo Sphinx vers  1840  ==>

LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 Sphinx10

Le Grand Sphinx de Gizeh est l’un des monuments les plus interpellant, aussi mystérieux que beaux. D’un point de vue archéologique, c’est le plus énigmatique jamais trouvé, puisque les savants n’ont absolument aucune idée de qui l’a construit et quel était son but initial, cela ne fait qu’amplifier le mystère du Grand Sphinx, qui a déjà été le centre d’innombrables spéculations le reliant aux civilisations perdues, voir aux Atlantes !

Avec sa longueur de 73,5 mètres et une hauteur de 20,10 mètres, le Grand Sphinx de Gizeh détient le record de la plus grande statue monolithique. A l’exception de Kailasa qui a été façonné en creusant dans le stuc, il n’y a aucun monument d’une seule pièce de cette taille…; de nos  jours,  une réalisation de cet ordre  poserait des problèmes insurmontables… Alors, qui étaient les génies il y a plus de 800.000 ans…?  Le Grand Sphinx a été redécouvert en l’an 1817, lorsque la première fouille archéologique moderne, dirigée par Giovanni Battista Caviglia a réussi à découvrir la poitrine du Sphinx.  


Cette incomparable pièce d’architecture demeure une énigme qui dérange l’orgueil des compétence actuelles à moins que ce ne soit des vérités à ne pas toucher... Une analyse plus approfondie  s’imposait, hélas, ce vénérable monument fait partie de l’archéologie interdite…

2 - Approche géologique d’une datation du Grand du Sphinx Égyptien
(traduction de Geoarchaeology and Archaeomineralogy - 2008)

La thèse d’un constat géologique

Le fait de dater le Grand Sphinx reste toujours d’actualité, malgré l’outrage d’une très ancienne recherche de son histoire.  L’approche géologique avec d’autres méthodes naturelles scientifiques donne réponse à la question de l'âge relatif du Sphinx.  L'enquête visuelle effectuée sur le Sphinx a permis de conclure le rôle important de l'eau dans une grande masse d'eau qui a partiellement inondé le monument avec la formation de cavités par le ressac sur ses faces latérales. La morphologie de ces érosions a une analogie semblable aux cavités faites par la mer dans les zones côtières. La ressemblance génétique des formes comparées d’érosion, la structure géologique et la composition pétrographique des complexes de roches sédimentaires mènent à une conclusion que le facteur décisif de la destruction du monument historique est l'énergie des vagues plutôt que l'abrasion de sable avec le processus éolien. La volumineuse littérature géologique confirme le fait de l'existence de longue durée de lacs d’eau douce dans diverses périodes du quaternaire du pléistocène inférieur à l'holocène. Ces lacs étaient répartis dans les territoires proches du Nil.

La trace indéniable de la grande cavité supérieure d'érosion du Sphinx correspond au niveau extrême de la surface de l’eau, elle a eu lieu dans le premier Pléistocène. Le Grand Sphinx Égyptien existait déjà sur le plateau de Gizeh à cette époque géologique (historique).

Ces dernières années on a vu une croissance d’intérêt concernant l’âge du grand Sphinx Égyptien (GS), lequel est assuré d’une remise en question considérable , vu les facteurs géologiques qui ont affecté sa sécurité.  Au regard d’une interprétation inédite de facteurs géologiques et géographiques, la méthode historico-géographique pour déterminer l’âge du GS (environ 5000 années) pourrait s’avérer inexacte. Analysant cette question, les auteurs du rapport ont un tout autre point de vue. Nous avons pris l’âge du GS comme la théosophique Yelena Blavatskaya l’a suggéré dans un de ses travaux de base (1937)..., elle précisait : « Constatez l’indestructible témoin de l'évolution des races humaines, d’origine Divine et spécifiquement Androgyne, le Sphinx Égyptien cette énigme des siècles »   Selon Blavatskaya la période de la construction de GS devrait dépasser 750.000 ans. Y a il des indications géologiques qui attestent une telle vieillesse du Sphinx ?   Analysons la brève préhistoire de cette question.

L'abrasion de sable qui a eu pour conséquence la formation de cavités horizontales profondes partout dans le contour du monument (Fig. 1 - 2) est déterminante pour estimer les facteurs qui ont affecté le GS. La profondeur maximum de ces cavités atteint 8 pieds ( à 2 mètres). Les géologues qui ont étudié le Sphinx sont sûrs que les cavités sont formées aux détriment de roches friables tandis que les saillies entre elles sont faites de roches dures résistantes à l'influence des vents. Ils pensent que la période de 5000 ans est suffisante pour créer de telles cavités par le processus éolien. L'abrasion de sable qui a eu pour conséquence la formation de cavités horizontales profondes partout dans le contour du monument (Fig. 1 - 2) est déterminant pour estimer les facteurs qui ont affecté le GS. La profondeur maximum de ces cavités atteint 8 pieds ( à 2 mètres). Les géologues qui ont étudié le Sphinx sont sûrs que les cavités sont formées aux détriment de roches friables tandis que les saillies entre elles sont faites de roches dures résistantes à l'influence des vents. Ils pensent que la période de 5.000 ans est suffisante pour créer de telles cavités par le processus éolien. Mais ils ne peuvent pas répondre à l'absence de telles formes d’altération externes par les agents climatique sur la partie supérieure de la tête.

Un nouveau point de vue, au sujet de l'âge du sphinx, est apparu récemment. Il appartient au géologue R. Schoch (2005) ; il a trouvé des traces d'eau au sommet du GS.  Il suppose que le problème résulte de l'eau de pluie. Des conditions climatiques caractérisées par une humidité élevée et des pluies diluviennes ont pu avoir eu lieu 13000 ans ACN. Mais cet âge reculé, ne peut être la date de sa construction, puisque le sphinx était déjà sur le plateau de Gizeh au début de la période des pluies diluviennes.  Afin d'étudier l’état géologique et spécifier le rôle possibles de facteurs de détérioration du GS, un des auteurs de ce rapport a fait une enquête visuelle du monument sur place (Égypte).

Après qu'une analyse minutieuse de la morphologie de la surface du GS ainsi que la lecture des antécédents écrits, nous sommes arrivés à la conclusion que l'influence d’une abrasion de sable sur la texture des roches du monument est exagérées.
Dans nos expéditions géologiques dans différentes montagnes et zones littorales de la Crimée et du Caucase nous avons souvent observé des traces de désagrégation éolienne dont la morphologie diffère considérablement de la désagrégation ayant lieu sur le GS. La plupart des traces naturelles de désagrégation sont d’un caractère doux, indépendant de la structure lithologique des roches.  Notre expérience personnelle d'enquête scientifique sur la géologie des côtes confirme une analogie d’état avec le GS et de suggérer un autre mécanisme pour sa détérioration.

Les spécialistes-géologues qui travail dans le domaine de la géomorphologie des côtes identifient ces différenciations de relief pour des cavités provoquées par le ressac de vagues (Morskaya Geomorfologiya, 1980).
Elles peuvent être unique ou superposées.  Elles sont disposées horizontalement à la surface de l'eau de mer, si la côte fait un mur vertical (falaise). Des cavités particulièrement profondes sont creusées par le ressac sur falaises abruptes de strates de roches carbonifères.

De telles déformations des falaises de côtes sont bien connues et étudiés en détail en Mer-Noire aux côtes du Caucase et de la Crimée (Popov, 1953 ; Zenkovich,1960).
Le modèle de la formation par le ressac de cavités dans les roches du flysch caucasien est données par Popov (1953,162 ; Fig. 3).
Dans la dynamique du processus du ressac avec la formation des cavités on peut constater une caractéristique pour l’énergie de la vague qui est dirigé vers la strate de roche au niveau de la surface de l’eau.   En outre, salin et eau douce peuvent dissoudre la roche.
Tseiner (1963) a établi que les niveaux de ressac des murs côtiers avec la formation des cavités est une indication importante d'érosion qui peut être utilisée pour définir les anciens niveaux . Le niveau des cavités est significatif du niveau de la mer à l’époque ou elle ont été formées. La cavité supérieure peut également correspondre au niveau d'eau le plus élevé. Dans des conditions naturelles les niveaux des cavités creusées par l'eau peuvent être au-dessus et au-dessous du niveau de l’eau. L’érosion des cavités est formée, en règle générale, sous la transgression, c.-à-d. avec la marée. Le flux horizontale de l'eau de mer en surface se produit graduellement et de manière discontinue, et la formation de cavité dure des centaines et même des milliers d’années.  En conformité avec le ressac les cavités donnent des raisons de croire que la formation des cavités du GS ont eu lieues durant sa longue immersion sous un haut niveau d’eaux. Les inondations saisonnières du Nil n'ont pu avoir la moindre influence.

Les calcaires ou calcaires de dolomites avec de petites couches intermédiaires d'argile (Rushdi, 1965) d'âge éocène sont présent dans la structure géologique du GS. Ces roches possèdent différent degré de résistance à l'effet des vagues. Si la formation des cavités étaient dues à l'abrasion de sable seulement, les cavités auraient dû correspondre aux strates de certaine composition lithologique. Les cavités du GS ont été formées en fait à plusieurs strates différentes, ou établies dans certaine partie de la strate d’une composition homogène.

La formation de cavités d’érosion dans le massif des roches du GS a été un processus initié du fond vers le dessus, ce qui signifie que la plus haute et dernière cavité correspond au taux maximum de l'immersion du monument. La partie arrière de la tête et la surface de corps étaient hors de portée des vagues bien que des vagues y ont laissé leurs traces même là (des traces de pluie, selon Schoch).
La situation du territoire de la zone du plateau de Gizeh (149 m au-dessus du niveau actuel de la mer suivant des données de la carte géographique de l’Égypte, 1965) aussi la trace de la cavité la plus élevée du GS étant prise en compte; ce serait environ 160 m au-dessus du niveau actuel de la mer. Là surgit à cet égard une question, quand le GS aurait-il été submergé et quel genre d’eau c’était.

Les géologues de la République de l’Égypte (Rushdi, 1965) et d'autres pays ont établi, en étudiant la série sédimentaire touchant le plateau de Gizeh, qu’à la fin du Pliocène des dépôts lacustres composés d’alluvions se sont souvent produits là. Ils ont eu une épaisseur considérable dans la carte géologique des sections, couvrant de vastes territoires.
Des investigations sur la composition des roches dans la zone de la section géologique Il découle qu’il y avait des reliquats d’eau fraiche assurée par les lacs alimentés par les crues du Nil. Le Nil fonctionnait à un niveau bien plus élevé à cette époque. Les lacs du pléistocène ont occupé au moins dix fois le site de l’actuel Lac Birket-Karun (Rushdi, 1965, 89).

Des outils de ces peuples anciens ont été trouvés dans ces dépôts lacustres.  Chumakov (1965 ; 1967) dans ses travaux consacrés aux dépôts pliocènes et pléistocènes de la vallée du Nil arrive également à cette conclusion pour un large développement des dépôts lacustres. Il souligne que vers la fin du Pliocène les eaux de mer ont commencé à pénétrer la vallée du Nil et son niveau a monté. Cela a conduit à la formation de dépôts lacustres qui sont au niveau de 180 m au-dessus du niveau actuel de la mer Méditerranéenne. Les dépôts lacustres sont également présent dans la dépression de Fajum.
Dans son ouvrage de récapitulation Tseiner (1963) présente des conclusions de l’analyse des niveaux des terrasses côtières de la côte africaine de la Méditerranée, régulièrement réparti par période du pléistocène à l'holocène. Basé sur les données obtenues, l'auteur a fait un choix spécifique en analysant les phases qui ont correspondu aux traces évidentes des niveaux de la mer à leur époque respective.

Comme le schéma le démontre, la trace la plus élevée du niveau de la mer Méditerranée a eu lieu pendant la phase du Calabrien, elle était au-dessus de 160 m par rapport au niveau actuel de la mer. courbe du changement de niveau de l’océan pendant le Pléistocène sur base des traces des terrasses de la mer Méditerranée (Tseiner, 1963).
courbe du changement de niveau de l’océan pendant le Pléistocène sur base des traces des terrasses de la Méditerranée Niveaux : I – Calabrien, II – Sicilien, III – Milan, IV – Tirranien, V – Monastère.
Signes conventionnels : axe vertical -milliers d’années  ; axe horizontal - mètres

Toutes les phases suivantes ont différé par l'abaissement onduleux des marques de niveau de la mer. C'est le niveau de la mer pendant la phase du Calabrien qui correspond à la trace actuelle avec la cavité la plus élevée du GS. Le haut niveau de l'eau de mer a également causé le débordement du Nil, créant  pour longtemps les méandres de son delta.

Quant au temps, cela correspond à 825.000 ans.

Après la fin de la période lacustre (eau douce) de la vie du GS d'autres processus naturels confirment le profil absolu du GS affecté par l'eau, particulièrement au moment de l'étape du climat désertique. L'abrasion de sable (Éolien au sens large) a eu pour effet de lisser les formes de contraste et provoquer encore une plus grande destruction du monument.

L'hypothèse suggérée au sujet d’une estimation de datation pour la construction du GS est basée sur l'analogie avec des processus naturels connus dans la géologie marine démontrant que la formation des cavités sur le Sphinx résulte du ressac. Ultérieurement, la nécessité de suggérer une étude de la composition de la substance des roches du GS avec pour but de définir un relevé précis des composants lithologico-minéraux

Si la science géologique du monde réussira à analyser tous les aspects contestables de GS liés à sa période de construction et à prouver un âge plus vieux de construction que la vieille civilisation de l’Égypte, cela mènera à une nouvelle compréhension de l'histoire, et en conséquence, indiquer de véritables lignes de forces pour un développement intellectuel de la civilisation.
Conclusion
L’analyse comparée des cavités de ressac sur les côtes avec les structures d’érosion sous formes de cavités constatées sur la surface du Grand Sphinx établit une similitude de mécanisme de formation. C’est lié à une activité de l’eau dans un vaste environnement d’eau avec immersion du Sphinx durant une longue période.
Les données géologiques des sources scientifiques peuvent suggérer une immersion du Sphinx au début du Pliocène, et sa construction initiale semble devoir remonter à une époque de notre passe bien plus ancienne.

Traduction de la thèse de  Vjacheslav I. Manichev1, Alexander G. Parkhomenko2
1 Institute of Environmental Geochemistry, National Academy of Sciences of Ukraine
2 Institute of Geography, National Academy of Sciences of Ukraine - geo-ins@kiev.ldc.net
http://mgu.bg/geoarchmin/naterials/64Manichev.pdf
3 - Érosion marine et découverte de fossile sur le plateau de Gizeh

Depuis 25 ans Antoine GIGAL collecte des évidences d’érosion marine avec forte saturation d’eau sur le dessus du plateau de Giza. Sa théorie ( publiée en 2007 en France !) est que le dernier grand Déluge ( et sans doute d’autres auparavant) a été jusqu’à recouvrir le plateau de Giza et que les très anciens égyptiens avec leur génie incomparable ont aménagé ce plateau depuis le début pour protéger leur population et leur science en dessous.

Érosion Tafoni due a  saturation par eau de mer sur la première  rangée de pierres lisses des blocs de  la Grande  Pyramide. Le creusement tafoni prend des  millénaires avec d’autres millénaires d’abrasion par le vent pour  les réduire  jusqu’à disparition quasi totale. Une perte de 25 cm de  surface en calcaire à cause de cette érosion se calcule en 10.000 ans.

La grande fosse à bateau du sud Est avec cavités horizontales  montrant les turbulences de l’eau jaillissante durant la montée et la  descente des eaux. Les trouées tafoni des côtés sont symétriques, stigmates du flux du ressac, elles ont été érodées par le  vent durant des millénaires.


Atteignant le niveau maximum d’inondation, nous voyons un type différent d’érosion due à la  mécanique des vagues et au retrait de la marée qui ont crée un ancien  marnage de 2m. Cet ancien rivage s’étend depuis l’enclos de Chéphren  jusqu’au temple de Mykhérinos. L’érosion  est si importante que la plupart des blocs ont presque disparu perdant  leur masse et sculptés en formes grotesques. Cette défiguration est due  au choc des vagues, aux embruns et à l’habitat marin

Pendant les prises de vues de cet ancien rivage Antoine Gigal trébuchait sur un  deuxième niveau de bloc du temple.

“A ma surprise l’aspérité qui avait  failli me faire tomber était un exosquelette pétrifié de ce qui semblait  être un échinide (oursin marin) qui est une créature des fonds marins  bas. La coïncidence d’avoir trouvé cette créature pétrifiée des fonds  marins bas, reposant au sommet d’un bloc du temple qui est juste en  dessous de l’ancienne zone de marnage est une bénédiction. C’est là sans  doute la preuve que le nécropole actuelle de Giza à été inondée par  une montée maritime. L’échinide pétrifié et le bloc ravagé du temple  sont ensemble  et nous dépeignent fortement l’existence d’un ancien  lagon au temple de Mykherinos pendant une haute mer ayant inondé la   zone de la nécropole.”


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MessageSujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES    LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES   - Page 2 I_icon_minitimeMer 5 Avr - 14:33

Nous pouvons voir les conditions d’origine et les détails des  perforations minuscules de l’exosquelette ce qui indique que cette  créature marine a pétrifiée depuis des temps relativement récents. Ce  n’est pas un fossile datant de 30 millions d’années mais elle a été  pétrifiée par les dépôts sédimentaires qui ont rempli son creux.

Le calcaire de Mokkatam est formé avec de minuscules fragments de  coquillages de mer  comme des numilites et des échinides datant de  l’Éocène il y a près de 30 millions d’années, des géologues et des  archéologues essayent de discréditer cette découverte pensant que cette  créature marine pétrifiée est sortie d’une inclusion dans le bloc de calcaire.

Antoine Gigal n’approuve pas, pour les raisons suivantes :

1)  l’exosquelette de la créature marine pétrifiée est dans un excellent  état jusqu’aux détails minuscules  des perforations de la coque  démontrant clairement qu’elle a existé à une date beaucoup plus récente  comme le Pléistocène ou le début de l’Holocène.
2) Cette créature marine pétrifiée repose à plat dans sa position naturelle de repos sur la surface du bloc.  
3) Elle vit dans son environnement naturel qui est une zone de marnage dans un lagon avec un lit de sédiments.  
4) Ce n’est pas des minuscules fragments comme les fragments de  coquillages composant les formations calcaire, mais un grand spécimen en  conditions d’origine.

Cet oursin ou créature marine a pétrifié dans son habitat qui est un  lagon peu profond ayant existé pendant l’inondation du temple de  Mykhérinos. Le raz de marée a du maintenir sans doute sa hauteur  au dessus de notre niveau de mer actuel plusieurs millénaires  ou  à cause de la  quantité de sédiments et de dépôts d’alluvions  qui reposent au dessus  des blocs du temple. Pour un échinide atteindre la taille de 8cm de  diamètre demande au moins 15 ans. L’érosion intense de la zone de  marnage vue sur les blocs prend aussi des milliers d’années. Nous  pouvons bien voir la brisure au sommet de la créature maritime pétrifiée  …cette brisure est sans doute due à une descente brutale des eaux  pendant laquelle l’ouverture a été remplie de sédiments et d’alluvions  comme sur la surface des blocs du temple. La pétrification équivaut à  une cimentation quand les sédiments durcissent avec le temps laissant  l’organisme intact dans sa forme d’origine. Nous pouvons voir clairement  les sédiments cimentés dans l’exosquelette pétrifié qui ont gardé la  forme de l’épaisse coque de calcite qui semble avoir été pelée.

Crédit texte et photos: Shérif El Morsi, 2010. copyright: AntoineGigal 2011
Source - http://www.gigalresearch.com/decouverte-plateau-giza.php

4 - Nos Ainés, les Shebtiw avec Thot pour les « Dieux Immortels »

Dans le sanctuaire d’Isis proche  de Chéops, se trouva la stèle de « l’Inventaire » dans laquelle il est précisé que le Sphinx et la grande pyramide existaient bien avant le règne des dirigeants de la 4ème dynastie, donc bien avant 2575 av J.C..

Le texte précise que :

« Durant le... règne de Chéops celui-ci ordonna la construction d’un monument le long du Sphinx ».

En toute logique cela implique que le Sphinx était déjà là, bien avant !

Des hiéroglyphes prouvent que le temple adjacent au Sphinx (lequel a les mêmes stigmates d’érosion !) existait avant le règne de Chéops.

D’une pièce du musé de Boulak, il apparait que le scribe du pharaon Chéops note une dédicace qu’il a lui-même relevée sur un document antérieur.

Cette dédicace prétend que le soleil en personne présida à la gigantesque construction, dont « l’origine se perdait dans la nuit des Temps ». sunny sunny sunny

Lorsque Caviglia désensable en 1817 la partie avant du Sphinx, il trouve sur l’orteil de la patte gauche un texte de 13 lignes en Grec, daté de 166 PCN, sous le règne de Marc-Aurèle, pour commémorer la restauration des murs entourant le sphinx par les romains.

« Cette structure est l’œuvre des Dieux immortels.

Placée de façon à dominer le sol de cette Terre de récolte, érigée au centre d’une cavité dont ils ont retiré le sable, comme une île de pierres au voisinage des pyramides, pour que nous puissions le voir,non pas comme le sphinx tué par Œdipe, mais comme un servant sacré de Leto, qui garde avec vigilance, le Guide Sacré de la Terre d’Égypte...»

La référence par les romains aux Dieux Immortels comme créateurs du Sphinx est intéressante, nous voyons par ce texte que le sphinx était considéré comme un gardien ( de nos jours Bel-Hit en copte )
« Le Livre de la Construction » se trouve gravé dans l’enclos du temple d’Horus, le faucon à Edfu dans le sud de l’Égypte. Or quand vous lisez sur place celui-ci, il y a dedans des références à d’autres textes perdus comme : « Les Livres Sacré des Temples » qui rassemblent une description de l’histoire des lieux de pèlerinage le long du Nil.

Et que dit ce texte?

Il dit que ces lieux furent établis par un groupe « d’entités créatrices » les « Shebtiw » associés à Thot.

Il est dit que ceux-ci que l’on appelle aussi les « Ainés », les « Faucons », se sont installés dans un premier endroit sur Terre et que ce premier endroit est…Rostau ! C’est à dire Giza !

Toujours selon ce texte, les livres sacrés et objets de pouvoir furent scellés dans une place secrète sous terre par les « Shebtiw » et ils construisirent au dessus une immense enceinte et des piliers pour le protéger.

Ce lieu s’appelle : Bw-Hmr, la place du trône de l’âme.

D’autre part toujours dans ce texte il nous est suggéré que le monde souterrain de Giza est un modèle microcosmique du passage du temps et du processus de la première création dans notre univers physique…

vous comprenez mieux maintenant sur quoi le Sphinx veille, ce n’est pas rien !

Les anciens Égyptiens nommaient aussi Giza/Rostau dans leurs descriptions :

« La Splendide Place du Premier Temps » et : « La Place secrète » et il est vrai que tout le plateau de Giza est bien truffé de milliers d’entrées souterraines, de cheminées d’aération, de puits sans fond. Tout cela prouve la présence d’un réseau souterrain impressionnant

***********************

5 - Du sinistre Zahi Hawass...à une technologie antédiluvienne

La véritable énigme du Sphinx touche essentiellement à son origine lointaine que les “égyptoqués” ne veulent admettre, tout d’abord de peur de voir trop de vérité sur une partie du passé remarquable de l’Egypte Ancienne qu’une vraie science tient à recadrer dans un contexte de réalité, ensuite aussi de peur de perdre la manne du privilège de l’intérêt touristique qui pourtant ne pourrait que s’amplifier…


Le Dr Zahi Awass qui a la haute main sur les fouilles est un personnage très contestable imposé par les américains, outre ses dissimulations, calomnies et détournements de fonds, il bloque et dénie des réalités qu’il a lui même reconnu en 1996.

pirat  pirat  pirat

Ceux qui prétendent qu’une civilisation disparue aurait laissé quelques secrets enfouis dans tunnels et de chambres creusées sous le Sphinx doivent se taire, du moins jusqu’à ce que la grande révélation soit faite….

farao  farao  farao

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Dernière édition par Ange Gabriel-Dan le Mer 5 Avr - 18:50, édité 1 fois
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