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Ces messages que le CIEL nous transmet en urgence au travers de ses CHOISIS en nombre, va t-on les mépriser ?
L'immensité de l'Univers se trouve dans nos cœurs, nos prières… Les Anges les prennent dans leurs ailes, les mènent à Dieu, en offrant sur l'Autel d'Or JESUS et MARIE qui sont devant le Trône du PERE ETERNEL avec le parfum de nos prières. Et si notre prière est pure et acceptable devant Dieu, le Seigneur envoi tout de suite un ange pour la prendre dans son encensoir et la faire monter comme l'odeur d'encens vers LUI…
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 15:09
Les mensonges de Maître Hawass sont nombreux :
le 14 Avril 1996, il a lui-même annoncé à la presse égyptienne qu’il y avait des tunnels cachés sous le Sphinx et autour des pyramides.
Selon lui, ces passages révèlent de nombreux secrets sur la construction des pyramides.
Mais la perfidie est extrême lorsqu’on constate, que simultanément à la construction d’un mur de béton de 8 km., des forages ont été faits pour permettre de pomper l’eau d’un vaste lac souterrain et assurer l’accès à quelques privilégiés aux souterrains et salles !!!!
6 - La découverte du grand Labyrinthe, est tenue sécrète et cachées ...!
Dans le livre « Message au Sphinx » Graham Hancock et Robert Bauval se plaignaient des interdits de fouille du gouvernement Égyptien et Américain concernant la zone du Sphinx pour que personne n’explore les cavités souterraines de la zone du Sphinx…
Si beaucoup étaient certains que les anciens égyptiens ne pouvaient qu’être les créateurs de cette mythique bibliothèque des Connaissances, d’autres - convaincus de son existence - pensaient plutôt que les concepteurs d’origine serait une civilisation beaucoup plus ancienne qui précédait les anciens Égyptiens...
Cette incroyable bibliothèque souterraine pourrait facilement être ce qui a été désigné sous le nom de bibliothèque des connaissances par Hérodote (cfr § 7) ...
Découverte en 2008 par un groupe de chercheurs belges et égyptiens, le réseau souterrain se compose de plus de 3000 salles qui sont remplies de hiéroglyphes et de peintures incroyables, le complexe souterrain énigmatique est situé à moins de 100 kilomètres du Caire à Hawara, pas loin de la pyramide d'Amenemhat III. (région du lac Moeris)
Pour d’étranges raisons de sécurité un interdit des autorités a immédiatement interrompu les recherches, lesquelles ont fait l’objet d’une très brèves publications en 2008 dans la revue scientifique du NRIAG avec une courte vidéo
Le 28 novembre 2010, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen dit à un auditoire :
« ..il pourrait y avoir une théorie comme quoi les extraterrestre ont aidé les anciens Égyptiens à construire la plus ancienne des pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh. »
A la question : « .. est ce que la pyramide pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI ? »
Le Dr Shaheen, a répondu :
« Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui n’est pas de ce monde ».
Pour bien saisir les subtilités de la Bible, il est important de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines avec les équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des Pyramides.
Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements de l’École de Mystères.
Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières années le confirment.
Le district de l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les “maîtres des chasses royales”, pêchaient et chassaient au boomerang.
La dimension de ce complexe exclu que ce soit les égyptiens qui puissent en avoir été les concepteurs, il est de plus en plus évident qu’une civilisation terrestre disparue serait à l’origine de ce complexe qui s’avère plus important que les 3 pyramides réunies…
Hérodote l’avait relaté, les Séismographes l’ont confirmé...
Le Lac Moeris avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme “une infinie merveille”.
Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer.
Selon les prêtres du Labyrinthe, “les passages étaient déroutants et complexes”, destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les salles souterraines. Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérencielle :
Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours.
Il est difficile de croire qu’ils étaient l’œuvre d’hommes. Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour - construite en marbre blanc de façon exquise - était entourée de colonnades Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de grands portraits sculptés d’ animaux dont l’entrée s’effectuait par un souterrain.
J’appris de source très sûre que les salles et les passages souterrains la reliaient aux pyramides de Memphis. (celle de Gizeh qui s’appelait Memphis) “Gizeh anciennement Memphis”, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Égypte et Nubie, 1757, page 152.
Hérodote affirme encore que les prêtres égyptiens lui avaient expliqué leur antique tradition de “l’organisation de salles souterraines” par les créateurs originels de Memphis.
Le grand labyrinthe de Hawara a deux étages de constructions, la coloration en rouge étant la plus ancienne, certaine des 3000 pièces ont la dimension d’un terrain de football...!
Les travaux de Carmen Boulter nous ont révélé des dimensions hors du commun sur deux étages avec tunnel d’accès... *
Ceux qui ont conçu cet ensemble ne pouvaient être les Égyptiens avec leurs outils rudimentaires, c’est à l’évidence une civilisation disparue dans un lointain passé au lendemain de séismes telluriques..., peut être plusieurs...!
https://www.youtube.com/watch?v=QsqG8DKq8vA
Voici une projection 3D des deux niveaux de constructions à 20 et à 45 mètres de profondeur....
Les sondages sismographes sur Gizeh donnent le même type de profil..., il y avait donc toute une vie souterraine à une époque aussi ou plus reculée que celle du pliocène du Grand Sphinx.
Sur base des données sismographe de 2008, une animation fictive a été montée en décembre 2010 pour donner une perspective de ce qui nous attend lorsque le voile du secret sera levé...................
https://www.youtube.com/watch?v=a9B...
Le Labyrinthe est en vis à vis de la pyramide d'Amenemhat III, c’est certainement la plus importante découverte de l’Égypte antique. Hérodote évoquait douze séries de salles sous terre avec accès en profondeur à un étage d’une même dimension… Il y avait en tout 1500 chambres ou salles par niveau…La spectrométrie des sols a confirmé les écrits d’Hérodote….
La dalle de surface trouvée par Petrie fait 304 sur 244 mètres, elle pourrait être en béton polymère….
Les dimensions des 32 pièces du 1er niveau laissent rêveur, la plus petite pièce fait 130 m2, tandis que la plus grande fait 1.969 m2….
Le premier niveau fait 17.102 m2…La taille moyenne d’une pièce est de 583 m2…
7 - Le sous sol de Gizeh livrera son mystère d’ici peu... (EN 2017........ ENCORE RIEN.....!!!)
Les plus anciennes hiéroglyphes suggèrent aussi qu’il existerait une sorte de complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993.
Le complexe de Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.
Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.
Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.
Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.
Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.
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Dernière édition par Ange Gabriel-Dan le Mer 5 Avr - 20:25, édité 9 fois
Ange Gabriel-Dan Admin
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 15:36
8 - Le Tombeau d’Osiris…, la Bible et la Torah..!
Il existe un passage souterrain qui a été utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Égyptiens.
Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren.
A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, à de petites pièces et salles latérales successives à l’intérieur à des niveaux variés grâce aux souterrains.
On dit qu’il y avait différentes pièces à la fin de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé représenté par ce que nous appelons maintenant la Chambre du Roi.
En 1935, les découvertes archéologiques faites par l’équipe du Dr Selim Hassan confirmèrent les traditions des Écoles des Mystères, et il fut établi et publié alors par Hamilton M. Wright, qu’il existait une connexion souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le Temple du Sphinx).
« Il existe un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, à de petites pièces et salles latérales. »
Le souterrain et ses salles adjacentes furent excavés dans le massif rocheux ; une prouesse extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut construit il y a des milliers d’années…
Bien que je doute que le réseau souterrain aurait été conçu initialement pour le transport d’eau ( pourquoi faire des salles et des étages pour le transport d’eau ?)
les vidéos de Brien Foerster pemettent de constater que tout a été creusé dans le substratum rocheux, ce qui impose une technologie.
https://www.youtube.com/watch?v=Ba6G9vyhVFU
https://www.youtube.com/watch?v=vihLxTVGJ3Y
Il y a davantage à ajouter à l’histoire des salles souterraines de Gizeh, car les bulletins de presse décrivirent la découverte d’un passage souterrain entre le Temple des hommes-du-Soleil sur le plateau et le Temple du Sphinx dans la vallée.
Au même moment une autre découverte majeure, à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khephren on découvrit quatre énormes puits verticaux de 3 m2, conduisant tout droit au fond du massif calcaire. Ces puits portent le nom de “Tombeau de Campbell”, sur les cartes maçonniques et rosicruciennes...
...et “ce complexe”, dit le Dr Selim Hassan, “se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres.”
Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut et dans l’une des sept chambre, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc.
Elle fut appelée “Tombeau d’Osiris” et présentée par un montage documentaire télévisé de Mars 1999 comme étant “ouverte pour la première fois”.
Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara :
Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds… Lors du déblaiement de la partie sud du souterrain, on a trouvé une très fine tête de statue, dont chaque détail rend le visage très expressif.
Selon un autre article de l’époque, la statue était un admirable buste sculpté de la Reine Néfertiti, décrite comme “un bel exemple d’un style artistique rare apparu sous le règne d’Amenhotep.” Aujourd’hui personne ne sait où se trouve cette statue.
L’article décrit aussi d’autres salles et chambres souterraines, toutes reliées par des passages secrets très décorés. Le Dr Selim Hassan révéla non seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une pièce, qu’il baptisa “Chapelle de l’Offrande”, creusée dans un énorme affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide.
Au centre de la chapelle, trois piliers verticaux décorés forment un triangle. Ces piliers sont des points d’une haute importance dans cette étude car la Bible signale leur existence.
On peut en conclure qu’Ezra, qui a compilé la Torah en 397 av. JC, connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh ou était en possession d’écrits plus anciens …
Ce modèle souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel central des loges maçonniques.
Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au premier siècle, écrivit qu’Enoch, figure de l’Ancien Testament, construisit un temple souterrain constitué de neuf salles. Dans un profond caveau à l’intérieur d’une des salles avec trois colonnes verticales, il plaça un lingot d’or de forme triangulaire portant l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu).
La description des salles d’Enoch était identique à la celle de la Chapelle de l’Offrande sous le sable, juste à l’est de la Grande Pyramide.
Une antichambre ressemblant beaucoup à une chambre funéraire, mais “sans l’ombre d’un doute une pièce d’initiation et de réception” fut découverte plus haut sur le plateau, plus près de la Grande Pyramide, à l’extrémité supérieure d’un passage en pente, taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de l’Offrande (entre la Chambre de l’Offrande et la Grande Pyramide).
Au centre de la salle se trouve un sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de Turah et une accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs sont admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).
On découvrit d’autres pièces souterraines, des salles, des temples et des couloirs, certains avec des colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de sculptures murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues
Le rapport du Dr Selim Hassan décrivait d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux splendides couleurs.
On prit des photos et un auteur et chercheur qui les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis se souvint qu’il fut “profondément impressionné” par les images. On ne sait pas où sont aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais selon la rumeur, des collectionneurs privés les passèrent en fraude hors d’Egypte.
Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes).
Cependant, il ne représente qu’un fragment des édifices présents sous le terrain des Pyramides.
Pendant la dernière année du désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus surprenante découverte qui fut relatée par les médias internationaux.
Les archéologues responsables de la découverte furent “déroutés” par ce qu’ils avaient sorti de terre :
« Une cité la plus merveilleusement organisée qu’ils eussent jamais vue. Elle est remplie de temples, de scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres bâtiments y compris un palais pourvu de voies navigables hydrauliques souterraines... Son parfait système de drainage rivalisant avec d’autres équipements modernes.»
L’intrigante question qui en découle est :
où est aujourd’hui cette cité ?
Son emplacement secret fut récemment révélé à un petit groupe de personnes qui obtint la permission d’explorer et de filmer la cité. Elle est située au coeur d’un immense réseau de cavernes naturelles du plateau de Gizeh s’étendant loin en direction de l’est sous le Caire. Son accès principal s’effectue par des escaliers taillés dans la roche à l’intérieur du Sphinx descendant jusqu’à la caverne sous le lit du Nil.
L’expédition fit descendre des groupes électrogènes et des radeaux pneumatiques et circula le long d’une rivière souterraine qui menait à un lac d’un kilomètre de large.
La cité, blottie sur les rives du lac, est en permanence éclairée par de larges sphères de cristal présentes aux murs et au plafond de la caverne.
On découvrit une seconde entrée de la cité au niveau de l’escalier qui mène aux fondations de l’Eglise Copte du vieux Caire.
D’après les récits d’habitants “vivant sous Terre”, relatés par les livres de la Genèse, d’Asher et d’Hénoch, il est possible que cette cité se soit anciennement nommée Gigal.
Un objet sphérique en cristal, à plusieurs facettes, de la taille d’une balle de base-ball, fut rapporté de la cité, et son caractère surnaturel fut prouvé lors d’une conférence récente en Australie. Profondément à l’intérieur de l’objet solide, divers hiéroglyphes tournent lentement comme les pages d’un livre quand celui qui tient l’objet en mains en fait mentalement la demande. Cet objet remarquable révéla une forme inconnue de technologie et fut récemment envoyé à la NASA aux USA à des fins d’analyse…
Des recherches historiques du 20ème siècle relatent que de stupéfiantes découvertes eurent lieu à Gizeh et dans le Sinaï, dont on ne parle plus aujourd’hui, et des rumeurs égyptiennes abondent au sujet de la découverte d’une autre cité souterraine dans un rayon de 45 km autour de la Grande Pyramide.
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Ange Gabriel-Dan Admin
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 15:42
9 - Un mur autour des pyramides.., à une cadence élevée de travail…
« En mars 2002, j’ai entendu pour la première fois parler qu’un mur serait construit autour du plateau des pyramides et le terrain environnant.
Des amis de retour d’Egypte, avaient vu les fondations ainsi que les premières parties du mur. Quand le petit groupe privé de touristes voulait suivre la ligne des fondations qui conduit jusqu’au désert, il en a été empêché par des gardiens armés. On leur a interdit de faire d’autres photos, ce qui nous a tous rendus encore plus curieux.
Qu’est-ce qui se passait ici ?
Apparemment, tout d’abord ce sont les fondations qui ont été érigées environ ½ mètre dans le sol, entremêlées d’une suite d’une double rangée de tiges en acier (avec tous les 10 cm deux des tiges en face).
Pourquoi ce mur en béton doit-il être tellement renforcé ? Et pourquoi sur une longueur de plusieurs kilomètres ? Et pourquoi les premières parties du mur, ont-elles été érigées à des angles très éloignés du plateau ou ni des touristes ni même les gens du pays se rendent ? Est-ce que l’on voulait cacher le plus longtemps possible ce que l’on recherche par ici ? »
La visite suivante en juillet 2002 montrait que le mur grandissait à une cadence alarmante. Ici, on travaillait 24 heures par jour ! Et au sommet du mur d’une hauteur d’environ 4 mètres, se dressaient des tiges en fer de 3 mètres.
Lors des visites en décembre 2002 et février 2003, on pouvait constater ce que cette construction signifiait : entre-temps le mur avait atteint le plateau des pyramides et sur les tiges en fer des grilles avaient été fixées.
En avril 2002 j’avais informé le chercheur bien connu, le professeur Jim Hurtak, de cette construction. A cette époque, il n’en avait pas encore entendu parler, mais il envoya un collaborateur qui confirma la chose et ramena de nombreuses photos. Sur son site web, le professeur Hurtak publia l’estimation que le terrain emmuré aurait une superficie d’environ 8 km2. De plus, il relata que « l’installation du mur est tellement gigantesque que dans ce but quelques bâtiments et logements de village ont certainement dû être démolis et enlevés. De ce fait, il faut supposer que ce n’est pas seulement l’intérêt des touristes qui est en jeu.
Ce que nous avons ici est un plan plus grand, bien réfléchi qui inclut également les sites environnants et doit sécuriser probablement des tombes souterraines, tunnels et couloirs…etc
Le financement de ce mur viendrait des USA, il est question, entre autre, de « Stanford University“
Quelles sont les motivations ?
On sait que pendant les dernières années, de nombreuses fouilles ont eu lieu sur le plateau de Gizeh. Ainsi, le sol a été « radiographié » par sonde acoustique et les pyramides étaient plusieurs fois fermées quelques mois.
En février 2003, les trois pyramides étaient fermées aux touristes. Pour des travaux de rénovation !
Serait-on en train de faire des recherches à l’intérieur ? Ou les rumeurs concernant des souterrains et espaces sous le plateau sont-elles fondées ?
Des fouilles sont-elles programmées dont le public ne doit rien savoir ?
Ce ne sont que des spéculations, mais en tout cas cela vaut la peine de garder sous surveillance cette région dans un proche avenir surtout par des chercheurs indépendants.
Armin Risi
Selon plusieurs témoins, depuis la construction du mur, les excavations en sous-sol vont bon train sur le site fermé et isolé des curieux, des bruits de grosses machineries sont également entendu, mais nul ne sait de quoi il s’agit réellement !
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Ange Gabriel-Dan Admin
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 15:53
10 - Thot, c’est Oudjat avec la victoire des forces de l’ordre...
Une zone ou personne n’avait accès jusqu’à présent, a été découverte également.......
les États-Unis exercent une surveillance accrue sur une structure interne de la pyramide.
La chose la plus étonnante est que dans cette salle découverte il y avait une signature thermique importante, de la chaleur … Et on mentionne la présence d’une «entité».
Des forces spéciales ont été déployées aux alentours, et aux environ des 22, 23 avril cette entité inconnue est apparut, très grande, et étant vêtue d’or, portant une coiffe d’oiseaux.
En consultant nos amis de la Géomatrix Gizeh, il semblerait que ce soit Thoth !
D’après la légende , Djedda aurait conduit le pharaon Kheops a l’emplacement où se trouvait caché des clés permettant d’accéder aux archives secrètes où ont été conservés les manuscrits .
On ne peut également s’empêcher de penser aux écrits et aux dires d’ Edgar Cayce !
Edgar Cayce, né en 1877 et mort en 1945, son œuvre est considérable. Elle se compose d’environ 14 256 lectures, c’est à dire, de consultations et d’analyses données au cours d’une sorte de sommeil très spécial, apparenté à une transe médiumnique.
Thot « Seigneur du temps » avec le retour de l’Ordre du Bien !
Dans la mythologie égyptienne, Thot est le dieu lunaire. Représenté comme un ibis au plumage blanc et noir ou comme un babouin, Thot capte la lumière de la lune, dont il régit les cycles, à tel point qu’il fut surnommé « le seigneur du temps ». Inventeur de l’écriture et du langage, il est la « langue d’Atoum » et le dieu des scribes. Incarnation de l’intelligence et de la parole, il connaît les formules magiques auxquelles les dieux ne peuvent résister. Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules magiques du Livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux. Le respect que Thot inspire lui vient de son savoir illimité. Toutes les sciences sont en sa possession : Il connaît tout et comprend tout. En tant que détenteur de la connaissance, il est chargé de la diffuser. C’est pourquoi il a inventé l’écriture. Les anciens égyptiens pensaient que le savoir et la connaissance leur avaient été transmis par des livres et des écrits que Thot avait volontairement abandonnés dans des temples.
Il préside à l’audition des morts au tribunal d’Osiris, et c’est Anubis qui pèse et juge les âmes en les comparant au poids d’une plume. Lors de son combat avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire de l’ordre (légitime, Horus étant l’héritier du défunt Osiris) sur le chaos (Seth, qui perturbe l’ordre dynastique, et par conséquent l’ordre du monde).
Un des textes antiques faisant le mieux référence a ces chambres secrètes est le Papyrus de Westcar datant de la 4ème dynastie pharaonique , lequel faisant référence a un sage dénommé Djedda évoquant ce qu’il nomme les chambres sacrées du livre de Thot .
D’après la légende , Djedda aurait conduit le pharaon Kheops a l’emplacement où se trouvait caché des clés permettant d’accéder aux archives secrètes où ont été conservés les manuscrits .
On ne peut également s’empêcher de re-penser aux écrits et aux dires d’ Edgar Cayce !
Edgar Cayce, né en 1877 et mort en 1945, son oeuvre est considérable. Elle se compose d’environ 14 256 lectures, c’est à dire, de consultations et d’analyses données au cours d’une sorte de sommeil très spécial, apparenté à une transe médiumnique.
« Bientôt viendra le temps des grands changements ; et dans trois endroits différents, on exhumera les archives atlantes. Le Temple de l’Atlantide surgira à nouveau. C’est alors qu’on mettra à jour le temple, ou plutôt la salle des archives en Égypte, ainsi que les archives qui avaient été cachées au cœur du pays atlante : elles pourront y être retrouvées (…) Ces archives forment un tout »
A propos de la découverte de cette salle des Archives en Égypte à Gizeh, Cayce dit encore
« En ce qui concerne les archives (géo)physiques, il sera nécessaire d’attendre que s’accomplisse le temps de la désintégration de ce qui a été fait par les volontés égoïstes du monde. Car rappelez-vous que ces archives ont été réunies dans l’optique des changements mondiaux ».
Tout semble lié au final, et tous les mystères et secrets qui nous entourent, aussi bien sur terre que sous terre, et même dans l’espace, seraient tous reliés par un fil mystérieux… Il n’est nul doute, que dans les pyramides, et sous ces pyramides, existent bel et bien des secrets cachés par les autorités, nous vivons dans un monde de mensonges constant, la vérité de notre monde, sur Terre, sous terre, et dans l’espace, est falsifiée et mensongère… Mais jusqu’à quand ?
11 - Un incroyable héritage divin...
Un peu dur pour que cela passe inaperçu et pourtant une sorte d'omerta consensuelle règne à ce sujet dans les milieux officiels préférant considérer cette lignée comme mythique ; le sujet est ainsi plus facile à éluder.
Pourtant 160 fragments de ce document ont été rapportés à Turin, par l'Italien Drovetti, consul de France en Égypte en 1822. Cependant comme par hasard il nous manque certains fragments correspondants au tout début de la liste.
Heureusement la stèle dite de Palerme cite également ces rois dits « mythiques », pré-dynastiques, remontant à des milliers d'années, mentionnant jusqu'à Horus lui-même qui aurait régné véritablement sur la terre d'Egypte.
Thot aurait régné environ de 8670 à 7100 ACN « après la nuit de la bataille » nous précise Manéthon. En écrivant sa « Théogamie », une généalogie des dynasties dites célestes qui auraient régné sur Terre, le grand historien grec Hésiode (8ème siècle avt JC), historien très sérieux, moralisateur, vivant au temps d'Homère, avait les Grands Prêtres égyptiens pour principale source d'information. Et le Grand Prêtre égyptien Manéthon (Ma-n-Thot) de Sebennnytos dans le delta, Maître des Secrets (3ème siècle avt JC) qui avait accès à la bibliothèque d'Alexandrie et qui écrivit pour pharaon une histoire de l'Egypte en grec et en 30 volumes « Aegiptiaca », cita aussi ces dynasties d'origine divine prédynastique.
Manéthon nous donne des détails fort intéressants sur les dynasties dites « divines » qu'il divise en trois sortes nommées « Les Dieux », « Les Héros », et les « Manès ». Ce qui est passionnant c'est qu'il avance que la catégorie des « Dieux » serait subdivisée en 7 sections avec à la tête de chacune un « Dieu », entre autres Horus, Anubis, Thot, Ptah, Osiris, Ra… , et que «
<== Le Papyrus de Turin Un peu dur pour que cela passe inaperçu et pourtant une sorte d'omerta consensuelle règne à ce sujet dans les milieux officiels préférant considérer cette lignée comme mythique ; le sujet est ainsi plus facile à éluder. Pourtant 160 fragments de ce document ont été rapportés à Turin, par l'Italien Drovetti, consul de France en Égypte en 1822. Cependant comme par hasard il nous manque certains fragments correspondants au tout début de la liste.
Heureusement la stèle dite de Palerme cite également ces rois dits « mythiques », pré-dynastiques, remontant à des milliers d'années, mentionnant jusqu'à Horus lui-même qui aurait régné véritablement sur la terre d'Egypte.
Thot aurait régné environ de 8670 à 7100 ACN « après la nuit de la bataille » nous précise Manéthon. En écrivant sa « Théogamie », une généalogie des dynasties dites célestes qui auraient régné sur Terre, le grand historien grec Hésiode (8ème siècle ACN), historien très sérieux, moralisateur, vivant au temps d'Homère, avait les Grands Prêtres égyptiens pour principale source d'information. Et le Grand Prêtre égyptien Manéthon (Ma-n-Thot) de Sebennnytos dans le delta, Maître des Secrets (3ème siècle ACN) qui avait accès à la bibliothèque d'Alexandrie et qui écrivit pour pharaon une histoire de l'Egypte en grec et en 30 volumes « Aegiptiaca », cita aussi ces dynasties d'origine divine pré-dynastique.
Manéthon nous donne des détails fort intéressants sur les dynasties dites « divines » qu'il divise en trois sortes nommées « Les Dieux », « Les Héros », et les « Manès ». Ce qui est passionnant c'est qu'il avance que la catégorie des « Dieux » serait subdivisée en 7 sections avec à la tête de chacune un « Dieu », entre autres Horus, Anubis, Thot, Ptah, Osiris, Ra… , et que
« ces Dieux seraient originaires de la Terre » puis seraient devenus ensuite « célestes, astronomiques en gagnant les cieux ».
(Vous avez bien lu : « originaires de la Terre ». Il y a sans doute beaucoup à découvrir dans les royaumes souterrains de notre planète.)
Ensuite viennent les « Héros », des êtres aux pouvoirs terrestres surnaturels, et enfin « Les Manès », des êtres glorieux (appelés aussi « Khus ») correspondant à des esprits d'ancêtres gouvernants ailleurs. C'est d'ailleurs Osiris lui-même qui dit dans le « Livre du sortir au jour » : « Les tunnels de la Terre m'ont donné la naissance ».
Et selon Plutarque qui a écrit un ouvrage très savant sur le culte rendu à Isis et Osiris :
« Ra partit dans les cieux et Osiris devint pharaon d'Egypte avec Isis et ils construisirent Thèbes [la Luxor actuelle] ».
Il existe enfin de nombreuses généalogies pré-dynastiques citées par de nombreux chercheurs sérieux du début de notre ère, comme celle d'Eusebius, évêque de Césarée en Palestine ou celle du plus important chroniqueur byzantin Syncellus, résidant en Palestine aussi.
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 16:14
12 - Les traces matérielles avérées:
le peuple ANU
Penchons nous d'abord sur les travaux d'un ancien égyptologue français, Emile Amelineau (1850-1915) qui se consacra aux premières dynasties et qui excava pour la première fois des tombes de pharaons de la première dynastie (officielle).
Amélineau au fur et à mesure de ses excavations dans le sud de l'Egypte découvrit des preuves de l'existence d'un peuple déjà avancé avant les pharaons de la première dynastie.
Il découvrit notamment le peuple de race noire « les ANU » (parfois nommés « aunu » - rien à voir avec les Annunaki, ce n'est pas parce qu'il existe la même sonorité de mot en plusieurs langues qu'il désigne la même chose), qui faisait de l'élevage et de l'agriculture extensive tout le long du Nil et qui s'enfermaient à l'intérieur des murailles défensives de citées qu'ils construisaient.
On constate qu'ils avaient fondé les villes d'Esna (Anutseni), d'Erment (Anu Menti), de Qush, de Gebelein (Anti) et même d'Héliopolis (qui se nommait à l'origine « Anu »), car ces villes comportent toutes dans leurs noms écrits les signes caractéristiques désignant le peuple Anu, les trois colonnes.
Et selon bien des chercheurs (Chandler, etc), les plus grandes figures de l'Egypte ancienne tel Osiris, Isis, Hermes, Horus viendraient de cette ancienne race Anu.
Je vous rappelle que selon les anciens textes, Osiris par exemple est dit « Fils de Geb et de Nut, né à Thèbes en Haute Egypte », lui conférant ainsi une réalité de vie historique (les textes mêmes racontent qu'il enseigna les arts de l'agriculture et installa des lois justes).
Pour ma part je ne suis pas tout à fait d'accord avec la thèse d'une appartenance exclusive aux Anu de ces personnages.
En tout cas, les Anu connaissaient l'utilisation des métaux, de l'ivoire, étaient très organisés et savaient écrire. Ceci fut prouvé par nombre d'artefacts provenant d'eux trouvés dans la région d'Abydos par Amélineau et décrits dans ses « Fouilles d'Abydos ».
L'archéologue précise « Si Osiris bien que né à Thèbes était d'origine nubienne [de la race noire du Soudan], il serait facile alors de comprendre pourquoi la lutte entre Osiris et Seth prit place en Nubie. ». (« Prolégomènes » p.124/123).
Il fait remarquer aussi qu'Osiris semblait avoir « un épithète ethnique désignant son origine nubienne ».
N'oublions pas que selon des chercheurs, Anu est un terme appliqué à Osiris lui-même et Amélineau cite le passage du chapitre XV du dit « Livre des morts » (véritable traduction du titre « Livre de la sortie à la Lumière ») :
« Ô Toi Dieu Anu dans la terre montagneuse d'Antem! Ô Grand Dieu de la double montagne solaire! ».
Or c'était le nom d'Osiris dans son rôle de 4ème Pharaon sur Terre que les Grecs ont traduit par Onnuphris, c'est à dire « Le Bon ».
Nous avons un document pré-dynastique Anu extraordinaire trouvé cette fois par le grand égyptologue anglais Flinders Petrie (1853-1942) à Abydos. Il s'agit d'une tuile inscrite déterrée sous le temple dynastique. L'inscription comporte le portrait en faïence vernissée du chef ANU Tera-neter. Il y a même son adresse inscrite au dessus « Palais des ANU à Ermant, Tera–neter ».
http://www.gigalresearch.com/public...
qui nous oblige à constater qu’il existait dans l’Égypte antique une harmonie respectueuse de tous qui a permis l’édification d’une très grande civilisation…
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13 - En guise de conclusion provisoire
L’objet de cet article visait essentiellement une datation d’âge pour le Grand Sphinx… Pour ma part je crois que l’approche rigoureuse de Geoarcheology & Archaeomineralogy d’Ukraine apporte suffisamment de données vérifiées perqui nous oblige à constater qu’il existait dans l’Égypte antique une harmonie respectueuse de tous qui a permis l’édification d’une très grande civilisation… bien là, cela n’excluant que son âge puisse être bien plus ancien… C’est que l’approche de l’anthropologue G. Delaage évoquait plusieurs millions d’années, ce qui me semble parfaitement plausible aussi...
La Civilisation Atlante -
https://www.youtube.com/watch?v=O-6...
Je crois aussi que le génie d’IMOTEP est une réalité qui nous oblige à constater qu’il existait dans l’Egypte antique une harmonie respectueuse de tous qui a permis l’édification d’une très grande civilisation…Il serait temps d’en prendre la graine...
Secondairement, je constate que les quelques références des anciens scribes évoquent :
« ..une œuvre des Dieux immortels. », que le sage Djedda de la 4 ème dynastie faisait état de chambres sacrées des connaissances du livre de Thot ou les archives du savoir sont conservées…
Nous ne connaissons pas encore le contenu des 3000 salles du Labyrinthe de HAWARA et les fouilles sur le site de Gizeh sont strictement secrètes...
Il s’en suit que la construction brutale de l’enceinte de confinement d’une zone de 8 km 2 confirme que la suite des événements va nous apporter d’importantes révélations qui vont nous être distillées au compte goutte sauf s’ils sont dépassé par l’ampleur des découvertes..
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Pour beaucoup de raisons qui sont liées à la terrible expérience d’un vécu qui m’a confronté - pendant 42 années - à l’horreur d’une justice belge gangrenée aux vicissitudes des intérêts, j’ai la conviction que le message d’élévation spirituelle attribué aux anciens Atlantes ou à E. Cayce sera la seule voie de salut pour surpasser les épreuves naturelles qui nous attendent.
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Puissions nous avoir la sagesse de le réaliser avant qu’il ne soit trop tard....
Avec tout mon amour pour ceux qui vivent la bonne voie...!
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 20:49
LES DERNIERS SECRETS DU SPHINX
par Antoine Gigal
Bien des personnes pensent tout savoir sur le sphinx du plateau de Giza et l’on ne peut imaginer les trois pyramides voisines de Chéops, Chéphren et Mykhérinos sans le sphinx tellement celui-ci est devenu indispensable à l’harmonie visuelle du plateau.
Ceci n’est pas étonnant car le sphinx est placé exactement où il faut dans une conception basée sur des principes géométriques de la section d’or.
Le nombre d’or est en relation avec une série de nombres: la suite de Fibonacci (0,1,1,2,3,5,8,13,21,34,55,89,…) et l’archéologue égyptien et le Professeur Emeritus Alexander Badawy (1913-1986) ont prouvé dans l' étude de plus de 50 temples au bord du Nil que les anciens égyptiens avaient bien utilisé cette série de nombres à dessein démontrant une fois de plus leur grande connaissances et sophistication en matière architecturale.
Or je vais vous démontrer dans cet article que le sphinx recèle bien des secrets encore méconnus pour la plupart et que notre vision actuelle est bien déformée par rapport à son aspect originel.
L’inscription méconnue de la patte gauche du sphinx
En 1817 Gianbattista Caviglia**(1770-1845) nettoie le devant du sphinx, chose qui n’avait pas été faite depuis la chute de l’Empire Romain. Il trouva en premier lieu un morceau de la barbe tombée du sphinx (aujourd’hui au British Museum !).
Puis en désensablant un orteil de la patte gauche du sphinx, il trouve une inscription:
un texte de 13 lignes en Grec, gravé bien visiblement avec une mention comme quoi il s’agit d’un texte officiel datant de 166 Après JC sous le règne de Marc-Aurèle pour commémorer la restauration des murs entourant le sphinx par les romains. Ce texte est passionnant et vous n’aurez pourtant aucune chance de l’apercevoir aujourd’hui sur le sphinx tellement les restaurations successives et surtout les dernières, ont recouvert de couches incroyablement épaisses et souvent défigurantes les contours de notre sphinx comme sous les bandelettes étouffantes d’une momification.
Ecrite en Grec donc, et en lettres capitales, il n’y a que je sache que trois traductions existantes en anglais et une en latin de ce texte. Une à partir de la copie faite par Henry Salt (1780-1827) consul général britannique au Caire en 1815, grand collectionneur d’Antiquités égyptiennes qui avait payé Caviglia en 1817 pour explorer le sphinx et qui fit publier sa retranscription dans la: « Quarterly Review » Vol 19) en 1818 traduite par le Dr Yong en anglais et latin lequel s’employa même à remplacer certains mots effacés à jamais, une autre du très grand archéologue égyptien Selim Hassan*(1893-1961) le premier égyptien à occuper une chaire d’égyptologie, et enfin : une par le Révérend Coleridge d’Eton publiée dans: « Opérations menées à la pyramide de Giza par le colonel Vyse » en 1842.
Je vais vous livrer ici ma propre traduction de cette inscription: j’ai essayé d’être la plus fidèle possible à la grammaire du Grec ancien et de ne pas inventer les mots manquants:
« Cette structure est l’œuvre des Dieux immortels.
Placée de façon à dominer le sol de cette Terre de récolte, Erigée au centre d’une cavitée dont ils ont retiré le sable, Comme une île de pierres au voisinage des pyramides, Pour que nous puissions le voir, Non pas comme le sphinx tué par Œdipe, Mais comme un servant sacré de Leto, Qui garde avec vigilance, Le Guide Sacré de la Terre d’Egypte.»
La référence à Leto*** ici se comprend car à l’époque où les pharaons Ptolémés d’origine Grecque régnaient sur l’Egypte, Giza se trouvait dans un district administratif appellé : « Letopolitain ».
Le texte est signé Arrianos, sans doute l’historien et philosophe romain d’origine Grec qui écrivit la vie d’Alexandre le Grand (« Anabase d’Alexandre »).
Donc outre la référence aux Dieux Immortels comme créateurs de ce sphinx qui est intéressante, nous y reviendrons, nous voyons bien par ce texte lui-même que le sphinx était considéré comme une île.
Ceci est tout nouveau pour certains d’entre-vous.
Leto
Un lion qui était un chien et l’île du sphinx
Or le savant Robert Temple et sa femme Olivia viennent de publier un livre de 565 pages en anglais intitulé: « The sphinx Mystery, the forgotten origins of the sanctuary of Anubis »(« Le Mystère du sphinx, les origines oubliées du sanctuaire d’Anubis ») fort bien documenté avec bien des éléments exhumés de l’oubli ou de multiples collections dispersées inaccessibles au public, dans lequel il nous dit:
« Les douves du sphinx dans l’Ancien Empire étaient connues dans les Textes des Pyramides comme le lac du chacal, le canal du Dieu, le canal d’Anubis, le Lac de Vie… »
Or on trouve beaucoup de références à cela dans toute la littérature égyptienne Antique : par exemple sur les autels dans la tombe de Tutankhamon à propos de Rostau (Giza) on dit que sa topographie est celle d’une citée d’eau et on parle de: « La maison du lac » à propos de l’île du sphinx. Même Auguste Mariette qui creusa autour du sphinx en 1858 admet que l’enclos du sphinx avait dû contenir de l’eau du Nil dans l’Antiquité (voir références).
Dans les Textes des Sarcophages on nous parle du bassin lustral, du lac du chacal. Pourquoi? Tout simplement parce que l’universitaire Temple avance l’assertion que le sphinx à l’origine aurait été fait à l’image d’Anubis (« chacal » est une mauvaise dénomination des traducteurs car il n’y a jamais eu de chacals en Basse Egypte mais bien plutôt des chiens sauvages) le gardien du site par excellence et il le prouve avec force analyses, photos et recherches.
Le sphinx serait devenu léonin vers la IV ème dynastie où les lions étaient fort à la mode dans toutes les représentations, puis au Moyen Empire Amenemhat II lui aurait apposé son visage (et non pas Chéops).
Mais je ne vais pas entrer trop dans les détails de l’œuvre de Temple ici, seulement en évoquer quelques points et d’autres d’ailleurs. Le fait qu’à l’origine le sphinx ait pu être la représentation d’Anubis est quelque chose que j’annonce depuis des années devant le sphinx lui-même aux personnes qui m’accompagnent dans mes voyages en montrant: « in situ » l’inclinaison du dos, la queue, les traces d’érosion par l’eau dans les douves.
Il faut comprendre que depuis l’Antiquité le sphinx à subi de multiples restaurations qui surtout pendant les dernières consistaient en rajouts d’épaisses couches de briques de pierres aussi laides qu’inutiles ne faisant que rendre « pataudes » les lignes du sphinx qui sont en dessous d’une grande finesse. C’est très visible aujourd’hui pour les pattes qui ressemblent maintenant à d’immenses barres de carton-pâte. Nous avons des clichés du début du 19ème siècle et beaucoup de photos ensuite nous permettant après une analyse minutieuse de voir déjà de grosses différences pendant les restaurations « modernes » et les désensablements successifs. Dans le Texte des « Sarcophages » non seulement on parle du lac du « chacal » (Anubis) mais on dit:
« Son nom est face de chien, sa taille est grande » (versets 1165-1185), deux fois dans le Texte des « Pyramides » on cite Anubis comme celui de « la Hauteur de l’Ouest » ( la seule hauteur centrale en Basse Egypte c’est le plateau de Giza ) et le lac du « chacal » est aussi cité dans le livre « des Cavernes ».
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 20:55
Le remarquable chercheur Terence Du Quesne à dénombré beaucoup de références à Anubis:
« Seigneur de Rostau (Giza) » dans des inscriptions et sur des murs, il a listé notamment dix sources publiées de ce titre précis à ce jour.
Ce n’est qu’après la cinquième dynastie que le titre:
« Seigneur de Rostau »est donné à Osiris.
Rappelons qu’Anubis en égyptien c’est: « Inpou », « celui qui a la forme du chien », il est aussi dénommé: « L’Ouvreur de chemin » et guide les âmes et il est représenté aussi sous le nom d’ « Upuaout, ouvreur de chemin », à Abydos dans le sud. Il est aussi: « Seigneur du Pays de l’aurore »et comme l’écrit l’excellent René Lachaud: « (…)Il fait surgir la lumière anubienne de l’initiation qui correspond à ce moment ambigu, «entre chien et loup» où jour et nuit s’interpénètrent ». Et dans : « Le Livre de la sortie au jour »(qui est le véritable titre du Livre dit « des morts »): Oh ! Anubis qui est sur ses secrets. Seigneur des secrets de l’Occident. Seigneur de ce qui est caché. »
Eh oui qu’Anubis préside sur le plateau de Giza n’est guère étonnant car à Giza/Rostau nous sommes au carrefour des plus grands mystères. Vous allez vite comprendre pourquoi.
On ne vous parle jamais du « Livre de la Construction » qui se trouve gravé dans l’enclos du temple d’Horus le faucon à Edfu dans le sud de l’Egypte. Or quand vous lisez sur place celui-ci, il y a dedans des références à d’autres textes perdus comme : « Les Livres Sacré des Temples » qui rassemblent une description de l’histoire des lieux de pèlerinage le long du Nil.
Et que dit ce texte?
IL dit que ces lieux furent établis par un groupe « d’entités créatrices » les « Shebtiw » associés à Thot. Il est dit que ceux-ci que l’on appelle aussi les « Ainés », les « Faucons », se sont installés dans un premier endroit sur Terre et que ce premier endroit est…Rostau ! C’est à dire Giza !
Toujours selon ce texte, les livres sacrés et objets de pouvoir furent scellés dans une place secrète sous terre par les « Shebtiw » et ils construisirent au dessus une immense enceinte et des pilliers pour le protéger.
Ce lieu s’appelle: Bw-Hmr, la place du trône de l’âme.
Note de Miléna:
Ce nom Bw-Hmr, me fait aussitôt penser à Bou ‘Hamor ou Bo ‘Hamor, et je pressens que sa signification véritable est « père de l’âne », l’âne étant le Noùs ou Tzelem ; ou également « l’âne à-venir »…. Ce qui revient à dire que la communication des Hathor représentant le Sphinx avec la tête de Medusa dont les cheveux auraient été tressés en 12 pointes, correspond exactement à cette définition.
L’âne représente le Noùs, appelé tzelem en hébreu. Cette configuration octogonale dont parles les Hathor et qui est en fait la Ressemblance d’Adam, l’univers miroir où résident les puissances qui est Médusa, lorsqu’il n’est pas encore maîtrisé par l’homme adamique.
Les tresses sont le travail que nous faisons sur les 3 éléments : l’eau, le feu et l’air afin d’ancrer notre pouvoir co-créateur sur la terre. C’est le grand secret des tresses du pain de shabbat. Le travail de ligature du Féminin Sacré dont on dit qu’il fut l’apanage de l’Ordre des Madeleines…
D’autre part toujours dans ce texte il nous est suggéré que le monde souterrain de Giza est un modèle microcosmique du passage du temps et du processus de la première création dans notre univers physique…
Vous comprenez mieux maintenant sur quoi le sphinx veille , ce n’est pas rien !
Les anciens Egyptiens nommaient aussi Giza/Rostau dans leurs descriptions:
La Splendide Place du Premier Temps » et : « La Place secrète »
et il est vrai que tout le plateau de Giza que je parcours depuis 20 ans mètre par mètre est bien truffé de milliers d’entrées souterraines, de cheminées d’aération, de puits sans fond. Tout cela prouve la présence d’un réseau souterrain impressionnant dont j’aurai l’occasion dans d’autres articles de vous parler davantage.
En tout cas c’est seulement au Moyen Empire (époque où depuis un long moment déjà le sphinx n’avait plus sa tête d’Anubis selon Temple) qu’apparaît pour la première fois dans les hiéroglyphes le nom:
« Sphinx »: « Sheshep » qui se traduit littéralement par « image » ou « statue ».
Le nom entier du Sphinx alors est: « Sheshep-Ankh »: la « statue vivante ».
Ce sphinx est un symbole vivant représentant bien des choses de l’invisible terrestre et céleste. Dans la langue copte, la plus ancienne langue de l’Egypte parlé encore actuellement, le sphinx se dit: « bel-hit »: « le Gardien ». Et juste après l’an mille on nomme le sphinx: « Twtw »: « Je suis image » que les Grecs retranscrivent en Tithoes et l’assimilent à Cronos le Dieu du temps.
Et ce qui est intéressant aussi c’est que citant Manéthon, Pline prècise que Tithoes faisait partie des rois mytiques des toutes premières dynasties ou plutôt comme on dit maintenant de la fameuse dynastie zéro (car on a fait démarrer la première dynastie à Ménes (2920-2770 Avant J.C.) et cependant dans plusieurs documents sont cités des pharaons précédents mais leurs qualifications de dieux ou demie-dieux est dérangeante pour le conscensus universitaire) pourtant bien inscrite dans le papyrus de Turin (Le canon de Turin) et l’auteur latin précise bien que Tithoes succéda au dieu Amon et qu’il serait le tout premier constructeur du labyrinthe de Fayoum (à 120 km au sud du Caire au bord du lac Fayoum), le plus ancien labyrinthe de toute l’Antiquité que les gens venaient visiter alors du monde entier. Et qui est en ruines aujourd’hui au pied de la pyramide d’Hawara site que je fait visiter régulièrement…
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 20:58
En 1858 notre extraordinaire Auguste Mariette est chargé par le duc de Luynes de vérifier les propos de Pline l’Ancien selon lesquels le Sphinx serait construit et non monolithique. Il ouvre un chantier non loin de la pyramide attribuée à Chéops ( régna de 2551-2528 av.J.C. 4ème dynastie)t dans un sanctuaire d’Isis tout proche il trouva la stèle dite de « l’Inventaire »dans laquelle on raconte ni plus ni moins que le sphinx et la grande pyramide existaient bien avant le règne des dirigeants de la 4ème dynastie donc bien avant 2575 av J.C.. Le texte précise que: « Durant le… règne de Chéops celui-ci ordonna la construction d’un monument le long du sphinx ». En toute logique cela implique que le sphinx était déjà là avant Or s’il était déjà là du temps de Chéops, cela signifie que contrairement à ce que le « mainstream » affirme, à fortiori il n’a pas pu être construit sur ordre de Chéphren son successeur sur le trône ! Il faut dire que la théorie disant que le sphinx a été construit par Chéphren juste parce que la chaussée sur son côté sud mène aux pieds de la pyramide de Chéphren a été lancée sans aucune preuve ni connaissance par Caviglia qui n’était encore qu’un capitaine au long cours payé pour faire déblayer le sable du sphinx !! Aucune inscription ne confirme sa thèse lancée bien légèrement. Il existe aussi d’autres documents prouvant que le temple adjacent au Sphinx et qui possède exactement les mêmes marques d’érosion que celui-ci existait avant le règne de Chéops. Dans une inscription qui était conservée au musée de Boulak, le scribe royal du pharaon Chéops note une dédicace qu’il a a lui-même relevée sur un document antérieur. Cette dédicace prétend que le soleil en personne présida à la gigantesque construction, dont « l’origine se perdait dans la nuit des Temps ». Le Sphinx en position sur le plateau avec au fond la pyramide de Chéops Or si l’on prend en compte ceci, c’est toute la datation chronologique actuelle en cours en égyptologie qu’il faudrait revoir ! Un peu trop pour certains… C’est pourquoi la majorité des égyptologues actuels se détourne de cette stèle dite de l’inventaire, car elle remet en question trop d’acquis pour eux. Certains préfèrent d’ailleurs affirmer que cette stèle faisant la liste de l’inventaire du temple d’Isis remonterait seulement à la 26 ème dynastie. Peut-être mais Auguste Mariette le découvreur, qui a passé plus de dix ans à fouiller le plateau de Giza a toujours affirmé lui, que la stèle fut érigée par Chéops lui-même. Quant à la supposée ressemblance de la tête du sphinx avec Chéphren lui-même, cette théorie a été invalidée depuis 30 ans par le Directeur du service de médecine légale de la police de New-York expert en morphologie faciale Dr Franck Domingo. Après avoir photographié le sphinx sous plusieurs angles et lumières puis la statue de Chéphren au musée du Caire il compara avec sa méthode scientifique, il conclut sans appel qu’il s’agissait bien de deux personnes différentes.. Robert Temple lui, prouve d’ailleurs grâce à l’étude de la coiffe et de certains traits et aussi à cause de l’obsession du pharaon pour les sphinxs qu’il s’agit en fait d’ Amenemhat II (1929-1892 Avant J.C.). En tout cas si à l’origine le sphinx avait bien une tête d’Anubis et que bien plus tard il comporta la tête de ce pharaon on pourrait penser également que d’autres avant Amenemhat II ont pu y apposer leur face également, la tête du sphinx comportant beaucoup de traces de multiples réfections et la tête actuelle étant fort disproportionnée par rapport au corps. On trouve également un texte du pharaon Amenhotep II (1448/1420 Avant J.C.)comportant une mention du sphinx en tant que: « plus ancien que les Pyramides ». Puis nous avons la fameuse stèle de Tutmosis IV qui a donné lieu à mes recherches sur le deuxième sphinx. A la recherche du deuxième sphinx Il était généralement admis pendant de longues périodes chez les Anciens Egyptiens que le Sphinx était recouvert par les sables, sauf la tête jusqu’à ce que le pharaon Tutmosis IV (18ème dynastie: 1420-1411 av. J.C.) ne le désensable. Et nous avons le merveilleux récit de Tutmosis IV gravé pour l’éternité sur une stèle de granit rose et érigée entre les pattes du Sphinx : c’est la stèle dite de Tutmosis IV. Ce pharaon qui n’était alors qu’un prince, n’appartenant même pas à la lignée principale de succession pharaonique, vint se reposer après une chasse à l’ombre de la tête seule apparente alors, et s’endormit. Là il rêva que le Sphinx lui parlait dans son sommeil, le suppliant de le débarasser de ses souffrances car il ne supportait plus les brûlures du sable du désert le recouvrant. En échange, il lui donnerait le pouvoir et la fortune. Tutmosis à son réveil décida de s’exécuter et devint en peu de temps pharaon ainsi que très fortuné. Ce qui est particulièrement intéressant par rapport à cette stèle de Tutmosis IV c’est la représentation qui est faite du sphinx. Regardez bien, il y a deux sphinxs ! Et se tournant le dos ce qui ne veux pas dire d’aileurs, et pour des questions de règles anciennes de perspectives que dans une réalité, les deux sphinxs se tournent véritablement le dos. De plus ils sont allongés sur des structures avec portes indiquant par là que les sphinxs donnent accès à un ailleurs, un complexe souterrain. Mais où donc est passé le deuxième sphinx dessiné sur cette stèle ? Ce qui est bien curieux c’est que très peu de gens se sont mis à chercher les réponses…
Dans la fameuse stèle de l’inventaire conservée au musée du Caire, il est fait mention qu’un éclair aurait foudroyé la coiffe du deuxième sphinx entraînant sa destruction ainsi que celle d’un sycomore, arbre sacré à l’époque, qui fut brûlé aussi par la foudre. Pour l’archéologue Michael Poe qui se réfère à des fragments de papyrus du Moyen Empire ce deuxième sphinx aurait été détruit par une crue du Nil particulièrement violente environ 1000 ans après J.C. Les villageois auraient alors prélevé les pierres pour reconstruire leur village. C’est alors que je me suis mise à chercher en Egypte et grâce à mes connaissances d’Arabe classique j’ai vite trouvé des textes confirmant l’existence de deux sphinxs. Ainsi dans ses deux encyclopédies géographiques (Kitab al Mamalik, al-Mamsalik et Kitab al Jujori le grand géographe et savant arabe Al-Idrisi (1099-1166), mentionne bien la présence de deux sphinxs à Giza, l’un est en très mauvais état, il est atteint par les eaux du Nil et de nombreuses pierres manquent. D’autres auteurs mentionnent également l’existence de deux sphinxs : Ainsi l’historien célèbre Musabbihi écrit au sujet d’un : « sphinx plus petit que l’autre » de l’autre côté du Nil, en très mauvais état, composé de briques et de pierres (Annales de Rabi II,vers 1024). C’est pourquoi je recherche inlassablement depuis des années l’emplacement du second sphinx. La tâche est très difficile car toute la rive opposée du Nil est couverte des buildings de la mégalopole du Caire et de ses banlieues gigantesques. Comment trouver l’emplacement d’un sphinx disparu ? Et c’est là qu’intervint une de mes cartes, celle de l’analyse par satellite minutieuse dont je suis spécialiste, couplée à une étude sur le terrain du moindre des détails. J’ai après avoir sillonné des milliers de ruelles déterminé deux endroits possibles (Voir photo sat du Nil). C’est alors que le grand géologue et archéologue égyptien Dr Barakat m’a fait l’honneur de me contacter en me disant, après avoir lu un de mes articles sur ce sujet en anglais qu’il appréciait beaucoup mon travail et était arrivé aux mêmes conclusions que moi, ce qui me conforte comme vous pouvez l’imaginer dans la continuation de cette recherche. Je vais m’y consacrer cet été et rencontrer le géologue lors d’entretiens qui promettent beaucoup et dont je vous ferait part ultérieurement. D’autre part à l’instar des historiens arabes qui l’ont vu à leur époque, nous avançons l’hypothèse que l’un des deux sphinxs devaient être féminin. Al Idrisi dit clairement que le second sphinx était féminin et situé sur la rive Est du Nil faisant face au sphinx mâle celui que nous connaissons tous. N’oublions pas également que le nom Grec : « Sphinx » du verbe « sphingô » veux dire étrangler. Les deux sphinxs face à face de chaque côté du Nil formait comme un goulot d’étranglement, comme une surveillance sur les navires provenant de Haute Egypte ou descendant au Sud… L’emplacement du second sphinx pourrait receler de nombreux secrets des temps préhistoriques même, beaucoup de choses dans le sous-sol. Ce sera dans le futur sans nul doute un projet archéologique colossal dans le futur comme le dit le Dr Barakat. Je vous dirais aussi et je ne suis pas la seule, que les deux sphinxs sont similaires aux deux piliers d’Hercule, l’un indiquant le pouvoir matériel s’impliquant vers le haut dans le pouvoir spirituel (le sphinx féminin) et l’autre (l’actuel), le pouvoir spirituel s’impliquant dans le monde matériel souterrain mais c’est là le sujet d’un de mes livres en cours… En tout cas pour boucler la boucle momentanément et pour apporter ma pierre à l’œuvre de Temple même s’il ne parle pas du tout de deuxième sphinx, j’ai découvert récemment qu’il y avait bien dans le passé deux Upuaout (Anubis)/ Sur la stèle JE 47381 aux trois registres sont bien figurés un: « Upuaout de Haute Egypte, controleur des deux Terres »(« Wp-wAwt smaw aba-Tawy ») et dans le registre du millieu on voit celui-ci accompagné de: « Wepwawet de Basse Egypte » (« Wp-wAwt mttyt ») Donc les deux sphinxs tout à fait à l’origine aurait bien pu représenter deux Anubis…
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 21:00
2ème partie
L’incubation des rêves et le Sphinx
Dans mon article précédent je vous ai démontré que le sphinx recelait encore bien des secrets parfaitement méconnus en vous parlant, entre autres, de l’inscription mystérieuse en grec retrouvée sur le sphinx en 1817 (puis occultée par un recouvrement) qui considérait bien le sphinx comme une île entourée d’eau et remontant :
« aux Dieux immortels ». Puis je vous ai parlé d’évidences indiquant que le sphinx, bien plus ancien qu’on ne le pense, était en sa lointaine origine une représentation d’Anubis comme le confirme le dernier ouvrage monumental (560 p !) du très sérieux chercheur et professeur anglais Robert Temple.
Aujourd’hui je vais m’attarder sur l’utilisation qui a été faite, du moins a certaines époques du Sphinx en tant que : « Sheshep-Ankh » : « La statue de vie » comme on la nommait au Moyen Empire.
Pour cela il faut tout d’abord que je vous fasse l’état des lieux très exact de ce que contient le sphinx (je ne parlerais pas ici des toutes petites anomalies détectées par radar dans le sol autour du sphinx qui pour l’instant n’ont données lieu à aucune fouille) et ceci sans spéculations comme il en a été trop l’habitude dans de multiples écrits. Et vous allez être surpris ! En effet la réalité est tout simplement incroyable et vous constaterez avec moi qu’elle est parfaitement méconnue car un fatras d’informations approximatives et de désinformations recouvrent le sphinx depuis fort longtemps. En fait si on fait une enquête poussée, rendue difficile par le fait que beaucoup de documents sérieux passent inaperçus comme ensevelis dans le silence, comme si une volonté de ne pas montrer la vérité existait, on s’aperçoit que des découvertes importantes ont été faites dont on n’entend plus jamais parler ensuite. Ainsi, certainement, très peu d’entre vous savez par exemple qu’il y a exactement trois tunnels-puits dans le sphinx. Vous avez le tunnel creusé à l’arrière du sphinx même qui est le plus connu, celui creusé derrière la tête et enfin le plus méconnu : celui se trouvant sur le flanc nord du sphinx.
Sphinx enclosure
Je vais commencer par celui-ci qui illustre bien les non-dits au sujet du monument. Le tunnel se trouvant sur le flanc nord du sphinx au niveau du sol, a été ouvert en 1926 par Emile Baraize qui finit par le sceller avec des blocs de ciment. Il y avait même l’encadrure d’une porte que Baraize mura avec des pierres qu’il trouva à l’époque dans le voisinage. Ce qui est incroyable c’est que Baraize ne laissa aucun récit de ce qu’il trouva et explora dans ce tunnel tellement il était pris par son travail de nettoyage et restauration du sphinx. Pourtant deux photos prises par Pierre Lacau en 1926 existent ( aux archives du centre Golenischeff à Paris) de l’intérieur de ce tunnel, mais même un chercheur comme Temple n’eut pas le droit de les voir ! Tout ce que l’on sait c’est que ce tunnel est très ancien car son entrée est obstruée par des pierres de recouvrement (sous les pierres de Baraize) de la phase de restauration la plus ancienne. Le Sphinx a subi en effet bien des restaurations par le passé, sous les différents pharaons. Et on se demande alors pourquoi on n’ouvre pas de nouveau ce passage pour voir où il mène et l’explorer comme il se doit? Un grand mystère de plus! Le puit creusé derrière la tête du sphinx et mesurant 6m et à été, il semble, creusé au 19ème siècle pour essayer d’explorer l’intérieur du sphinx et il se termine en cul de sac. Il nous reste le tunnel à l’arrière du sphinx qui est celui qui nous intéresse particulièrement aujourd’hui et qu’Henry Vyse trouva en 1881 mais que bien des voyageurs dans passé plus lointain avaient déjà mentionné. Ainsi le voyageur Guido Pancirolli (1523-1599) l’avait détaillé dans son livre publié en 1599 : « L’histoire de choses mémorables perdues ». On voit au passage que déjà en 1599 il y avait des découvertes sur le sphinx dont on avait tout oublié ! Or ce tunnel, selon une publication de 1994 passée inaperçue d’Hawass : le dirigeant du Conseil suprême des Antiquités, ne fut réouvert et exploré qu’en 1979. Pourquoi avoir attendu plus de 15 ans pour en parler alors que c’est une découverte d’importance ? Ce tunnel très étroit ( de la place pour une seule personne assez mince) et nu dans lequel on entre par une toute petite ouverture au ras du sol à l’arrière du sphinx, fait d’abord verticalement 6m en descente., Une échelle de fer apposée récemment vous permet d’y tenir en équilibre. Le problème c’est qu’aujourd’hui cet espace est plein de détritus et de gravats et qu’une poutre en fer de soutien y prend beaucoup de place. Puis le tunnel remonte sur 8m, renforcé par des poutres de bois jusqu’à l’endroit où Baraize (encore lui )avait coulé du ciment en 1926 au niveau des hanches du sphinx car une faille importante y existait. Mais tout laisse penser que le tunnel continue vers la tête du sphinx. Il est bien regrettable qu’on ne puisse savoir comment cela se poursuit au delà du ciment ! Mais ce que l’on constate dans la partie encore visible, c’est qu’un espace arrondi y est creusé permettant à une personne de s’y allonger parfaitement. Et c’est de l’usage probablement thérapeutique de cette mystérieuse cavité, dont je souhaite vous entretenir aujourd’hui. Avant de vous en parler je dois vous citer tout de même les deux autres cavités existantes:
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 21:01
Il y avait un trou conique et irrégulier de 2m de profondeur sur le sommet de la tête (cimenté depuis) que Coutelle avait déjà observé pendant l’expédition de Napoléon en 1798 qui avait du enserrer d’autres éléments de la coiffure du sphinx. Et puis il y a une cavité intéressante dont l’entrée est recouverte par une plaque de métal (moderne) et se trouve entre les deux pattes du sphinx. Elle-ci mène à une petite chambre souterraine à la verticale, où Henry Salt aurait muré (lui aussi !) une entrée de souterrain en 1817. Encore un tunnel dont on ne sait au jour d’aujourd’hui où il va ! Beaucoup de chercheurs pensent que cette cavité était utilisée par un prêtre pour qu’il puisse parler sans être vu à la foule et donner ainsi des oracles à la place du sphinx. Une telle pratique des oracles était répandue à l’époque tardive des Ptolémées où l’on essayait de remotiver la foi de la population et on trouve entre autres à Fayoum (l’oasis fertile des pharaons à 100km au sud du Caire) bon nombre d’autels avec des pièces secrètes à l’intérieur pour cet usage. On a peut-être une piste comme le souligne Temple avec le témoignage d’un voyageur de 1579 :Johannes Heffrich qui dit que cette chambre est un passage secret pour qu’un prêtre sans être vu puisse monter par un tunnel dans la tête du sphinx et parler à la foule sans être vu…Nous voyons bien de toutes façons que le Sphinx a bon nombre de secrets à nous livrer encore malgré les moyens modernes d’aujourd’hui.
Fissure hanches du sphinx cimentée par Baraize
point jaune à l’arrière du sphinx le ciment de Baraize Je viens donc de vous énumérer les cavités connues déjà explorées dans le sphinx, mais avant de retourner à celle qui nous intéresse aujourd’hui, pour bien en comprendre l’éventuelle fonction, il faut que je vous parle tout d’abord de l’origine des thérapies et de la médecine en Egypte et surtout du personnage phare : l’incontournable Imhotep, celui dont on dit qu’il construisit la pyramide du pharaon Djoser à Saqqara vers 2600 Avant JC. Non seulement Imhotep dont le nom veux dire : « Celui qui est venu en paix », était le premier ministre de Djoser, le grand architecte du royaume, Grand prêtre d’Heliopolis, Grand Mage, chef de tous les prêtres de l’Egypte du nord mais il était aussi un très grand médecin, sans doute le premier, avec son école de médecine et son temple. Ces bâtiments se trouvaient autour du complexe souterrain du Serapeum au nord de Saqqara même. On vient de découvrir d’ailleurs le mois passé, de très anciens instruments de chirurgie à Saqqara. Plus de 2200 avant la naissance d’Hippocrate en Grèce pourtant renommé comme le père de notre médecine, Imhotep, lui, en Egypte, savait déjà diagnostiquer et soigner plus de 200 maladies, utilisait des termes de divisions anatomiques, pratiquait des actes de chirurgie. Nous en avons des traces d’ailleurs dans le fameux papyrus dit d’Edwin Smith. Le grand égyptologue James Henry Breasted nous dit d’Himotep : « En sagesse de prêtrise, en magie, en formulation de proverbes sages, en médecine, en architecture, la remarquable figure du règne de Djoser a laissé une telle réputation notable que son nom n’a jamais été oublié. ». Dans le Canon royal de Turin reconnu par Jean-François Champollion comme un document historique d’importance,( « papyrus de Turin » écrit en hiératique, trouvé en 1822 à Thèbes, dont il nous reste 160 fragments qui forment un papyrus de 170cm de large et 41cm de haut, est aujourd’hui dans la collection du Musée de Turin) qui est une liste comportant les noms des prédécesseurs de Ramsès II, dont le nom des Dieux supposés avoir gouverné en Egypte avant les pharaons mêmes, on trouve le nom d’Imhotep qui y est désigné en tant que : « fils du dieu Ptah ». Avec Amenhotep, il est le seul égyptien mortel mais demi-dieu quand même, par sa filiation donc, qui parvint à récupérer la position plénière d’un dieu. Or, ce qui est intéressant ici, c’est que plus tard, les Grecs installés en Egypte, assimilèrent Imhotep l’égyptien à leur Dieu : Esculape : Asclépios le dieu de la médecine et appelèrent son école de médecine Asklépieion. Il est fort possible d’ailleurs qu’à l’origine Asclépios et Imhotep soient une seule et même personne comme nous allons le voir et comme le clament déjà bon nombre de chercheurs… Qu’avons nous sur Asclépios ? On nous dit qu’il est le fils du divin Apollon et d’une nymphe :Arsinoé-Koronis (Arsinoé est aussi un nom de lieu se trouvant au sud du confin sud du plateau de Giza à Fayum) par conséquent nous avons à faire aussi à un demi-dieu. On nous dit qu’il fut élevé par le centaure Chiron ( le dernier centaure sur Terre dans l’Antiquité disent les Grecs) dans une grotte souterraine et qu’il lui enseigna toute la médecine et plus encore…car Asclépios ne semblait pas seulement guérir mais il ressuscitait les morts. Le dieu Zeus inquiet du zèle d’Asclépios à immortaliser les terriens et ainsi déranger l’ordre établi des choses finit par le foudroyer et le transforma en la constellation du Serpentaire (Ophiucus : « le porteur de serpents »)…or c’est un enseignement des anciens égyptiens que d’affirmer que les dieux à leur mort se transformaient en constellation ou étoile…Le fait est qu’on assimile souvent Ptah à Zeus et à la foudre.
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 21:02
Mais ce qui est très important de retenir ici c’est comment Asclépios soignait . Et la plupart du temps c’était par le moyen de « l’incubation » qui est la pratique courante alors de dormir toute une nuit ou plusieurs nuits dans l’enceinte d’un temple sacré afin de provoquer un rêve riche de signification et par conséquent guérisseur. Soit : Asclépios apparaissait en songe aux prêtres et leur révélait ainsi les remèdes de leurs malades ou les patients eux-mêmes le recevaient en rêve et guérissaient. Asclépios était représenté avec un bâton sur lequel s’enroulait un serpent, symbole de la médecine (à ne pas confondre avec le caducée de Mercure, lui avec deux serpents, symbolisant le commerce et la communication). Un serpent, car les fonctions oraculaires et médicale de cette médecine se faisait aussi grâce à la présence d’une source d’eau sacrée comme nous allons le voir, grâce à l’eau sortant de terre dont : « le lent cheminement dans les profondeurs du sol lui a permis d’apprendre ce qui a été, ce qui sera» comme nous dit René Ginouvès dans son remarquable ouvrage et qui est symbolisé donc par le « serpentement » du serpent. Asclépios eut trois garçons et six filles dont : Hygiène, Panacée et Meditina. Soulignons que notre Hippocrate ( le père de notre médecine celui sur lequel nos médecins font leurs serments) est admis comme descendant d’Asclépios par son côté paternel…Même si c’est à lui que l’on doit les mots : chronique, endémique, épidémique, convalescence, paroxysme…etc, et bien que la médecine occidentale officielle se réclame de lui, en réalité sa conception de la médecine était vraiment différente de la nôtre. Le Dr Houdant nous dit par exemple que le traitement : « Hippocratique est bien plutôt une méditation sur la mort ». N’oublions pas qu’Hippocrates alla en Egypte pour étudier la médecine chez les grands prêtres et il connu l’aspect initiatique de la médecine pharaonique. En fait, la médecine d’Hippocrates était la copie conforme de celle d’Asclépios et se pratiquait un peu partout dans les temples .Ces lieux de guérison devaient comporter un temple-sanatorium en surface, des grottes souterraines et une source d’eau souterraine. Vous pouvez toujours voir le sanctuaire d’Asclépios aujourd’hui sur le flanc sud de l’acropole, sous le Parthénon d’Athènes avec sa source et sa grotte aujourd’hui transformée en chapelle orthodoxe. Vous avez la même chose avec le temple d’Epidaure en Grèce et à Pergame. Or à Sakkara nous savons qu’Imhotep avait un temple consacré à la médecine et les grottes et souterrains du Serapeum et une source à disposition. C’est en tout cas exactement comme Asclépios qu’Imhotep procédait dans les parages du Serapeum avec ses malades. A part être le fils de : « Ptah », Imhotep avait une mère mortelle : Kheredu-Ankh qui fut élevée au rang de semi divine (comme la mère d’Asclépios !) car elle clamait que son père à elle était le dieu bélier de la fécondité : Banebdjedet considéré par les anciens égyptiens comme un des Grands Ancêtres, que plus tard les grecs appelèrent : Pan. D’autre part n’oublions pas que les anciens Grecs se disputaient déjà au sujet d’Asclépios en disant qu’il était beaucoup plus ancien que la datation officielle voulait bien le dire déjà à l’époque et que des linguistes avancent la thèse selon laquelle le véritable sens du mot : « Asclépios » serait étymologiquement : « le héros du tertre » qui est un titre purement égyptien. Les présomptions sont donc de plus en plus fortes pour faire d’Imhotep et d’Esculape une seule et même personne… Les Grecs étaient fascinés par la science égyptienne et Homère (dans l’Odyssée) nous fait savoir : « L’Egypte est le pays des médecins les plus savants du monde ». La médecine n’y était pas considérée comme uniquement une accumulation de savoir et d’observations mais également comme un travail sur soi destiné à transformer l’être en véritable canal. En dehors des traitements complexes de plantes, de la chirurgie, des réductions de fractures, voici en quoi consistait l’essentiel de leur médecine : ils faisaient boire l’eau de la source souterraine et prendre des bains à leurs patients car pour eux il était indéniable que cette eau charriait les pouvoirs de guérison des esprits de la Terre. Ensuite ils ne soignaient que ceux qui avaient assez de courage et de détermination pour subir les traitements. Les patients devaient être en état de jeûne, faire de multiples ablutions dans l’enceinte sacrée de ce qu’on appelait l’abaton, c’est à dire à la fois dans le temple, les cavernes et les souterrains en dessous, où nul autre n’était autorisé à entrer. Puis ils faisaient dormir les malades dans les dortoirs collectifs de l’Abaton pour qu’ils rêvent. Il y avait de véritables rituels d’incubation des rêves où la connaissance la plus profonde de la Terre mère était censée vous envoyer des rêves indicatifs sur la raison de votre maladie et comment la soigner. Le lendemain on racontait son rêve aux prêtres qui ensuite vous prescrivaient un traitement. On disait aussi que la première image venant à l’esprit du dormeur devenait un esprit protecteur et ne le quittait plus. L’enseignement que l’on retirait de l’étude des rêves était très sophistiqué. On ne pratiquait pas une généralisation de l’nterprétation des songes, on considérait que pour une même personne l’interprétation d’un symbole rêvé donnait lieu à une interprétation différente selon les personnes. Chaque personne était considérée comme ayant son propre langage onirique et tout un travail se faisait sur les images et émotions du patient. Cette science est celle que l’on appelle l’incubation iatromantique. La différence entre un rêve classique et un songe iatromantique est que ce dernier est envoyé dans un but précis par un dieu médecin dans un lieu sacré conçu pour cela et qu’il doit contenir des éléments indicatifs pour le diagnostic et (ou) le traitement. Ainsi pour donner un exemple qui nous est resté :un homme souffrant de l’estomac vint dans le temple d’Asklépios pour faire un rêve inspiré par le dieu. Il rêva que le dieu lui tendait sa main droite et lui donnait sa main à manger. Le lendemain les prêtres interprétèrent son rêve et lui dirent qu’il fallait qu’il mange cinq dattes car les dattes portaient le nom de : « doigts divins » à l’époque, et il guérit…
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Mer 5 Avr - 21:06
Le travail de guérison par les rêves était donc bien connu des anciens égyptiens et pour cela il me faut vous parler un instant également de Bès. Auguste Mariette avait bien trouvé une statue de Bès à proximité de l’entrée du serapeum. En effet ce génie révéré pour ses oracles à Abydos dans le sud de l’Egypte était connu par ailleurs pour être oniromancien. C’est à dire qu’il était connu également pour susciter des rêves que l’on interprétait ensuite. Les égyptiens plaçaient souvent sa représentation dans la chambre à coucher pour que leur sommeil soit peuplé de riches songes. A l’époque les rêves étaient considérés comme un moyen thérapeutique vraiment très important. C’est pourquoi toute une caste de médecins-prêtres « les Wab » en dehors des généralistes laïques (« les soundu ») qui couraient la campagne , vivaient dans les Maisons de vie : Per-Ankh, dans le temple pour remplir leur double fonction sacerdotale et médicale. La plupart du temps ils étaient des prêtres médecin de la déesse-lionne Sekhmet et ils soignaient dans les sanatorium des temples en pratiquant entre autres l’incubation iatromantique sur leurs patients. La maladie pour eux n’était pas du tout envisagée comme une punition divine mais bien plutôt comme une rupture d’harmonie entre l’homme et le cosmos. Il s’agissait de redonner au patient ses liens avec la nature et une harmonie bien représentée par la déesse Mâat. L’harmonie représentait une valeur capitale de la pensée égyptienne, celle qui s’imposait sur les forces négatives, le mensonge, l’injustice et sur le chaos originel d’où le monde était né. Elle était la garante de l’équité et de l’équilibre global du monde et son enseignement était prodigué dans les temples par des instructions. Mais une autre déesse était impliquée fortement dans le rétablissement de la santé des patients et c’est Isis. Le philosophe Diodore de Sicile nous en laisse témoignage : « Maintenant qu’elle a atteint l’immortalité, Isis prend plaisir à soigner les corps des hommes et à ceux qui souhaitent son aide, elle manifeste clairement sa présence dans leur sommeil et donne un soulagement réel et efficace à ceux qui l’appellent au secours» Ce texte indique clairement qu’à l’époque en Egypte on invoquait Isis pour obtenir une activité iatromantique. Or juste à côté du sphinx au nord–ouest, se trouvait un petit temple à Isis et nous avons des textes arabes égyptiens du Moyen-Age qui nomme le sphinx comme « l’idole d’Isis ». C’est pourquoi des chercheurs comme Temple sont persuadés que la cavité arrière du sphinx était conçue pour qu’un patient y passe la nuit afin d’obtenir un rêve de guérison. A l’instar du temple d’Asclépios en Grèce qui ne pouvait contenir qu’une douzaine de visiteurs en incubation à la fois, l’emplacement dans le sphinx n’aurait pu servir qu’à 365 privilégiés par an. D’autre part les cavités que l’on voit dans le rocher tout autour de l’enceinte du sphinx et qui sont de petites cellules auraient pu servir aussi pour des patients supplémentaires à l’incubation. A l’époque l’approche du sphinx étaient vraiment monumentale : un immense escalier existait alors (voire photo) et l’on faisait des offrandes sur un petit autel se trouvant entre ses pattes. Le fait de pouvoir dormir dans le corps même du sphinx devait être une expérience inoubliable et très impressionnante… Il y a aussi le fameux rêve que Tutmosis IV avait eût à un retour de chasse au pied du sphinx et qu’il fit inscrire sur la fameuse stèle du rêve qui se trouve toujours entre les patttes du sphinx où celui –ci lui demanda de le désensabler en échange de quoi le prince (pas encore pharaon) deviendrait un grant régnant sur l’Egypte… Comme je parcours sans cesse les lieux les plus sacrés d’Egypte j’ai voulu tester l’effet iatromantique de certains sites, poussée par ma grande curiosité et le profond respect que j’ai appris à avoir pour l’enseignement des Anciens Egyptiens et je dois dire que la surprise a été au rendez-vous… Comme il est interdit aujourd’hui de dormir sur la place même des anciens sanctuaires, j’ai dormi juste à côté après m’être imprégné du lieu, comme je n’étais pas malade mais que l’on a toujours quelque chose à parfaire je n’avait pas de demande précise sauf celle de recevoir en rêve un message quel qu’il soit. Comme je me rappelle rarement de mes rêves je craignais manquer cet épisode et ne pouvoir en avoir conscience. Mais je ne fut pas déçue : J’eut alors, même si très courts, les rêves les plus vivants et colorés que je n’ai jamais eût de ma vie !
J’ai essayé des sanctuaires différents et à chaque fois cela n’a pas manqué !
Ce sont des messages très personnels mais tout ce dont je peux témoigner c’est que dans un des rêves d’incubation, chose que je n’attendais absolument pas, j’eût la visite de l’oiseau sacré Bennu , l’oiseau d’Osiris, le phénix des Egyptiens qui me délivra un message d’importance pour mes recherches.
Il est certain que ma grande familiarisation avec l’Egypte doit y être pour quelque chose mais cela arriva également à plusieurs des personnes qui m’accompagnent dans mes voyages à Giza et dans le reste de l’Egypte.
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Ven 28 Juil - 15:29
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Jeu 3 Aoû - 15:52
200 000 ANS !!!! c'est bien çà ! Des EXTRATERRESTRES au crane allongé ont créés des hybrides... qui devaient cohabiter avec des GEANTS CYCLOPE.... ! Ceux là même qui transportaient des pierres de plusieurs tonnes.... Le DELUGE aura effacé cette histoire .... Ici, nous sommes avec 2 VRAIS chercheurs.... (qui méritent leur salaire...!) Malheureusement, Dailymotion se sert largement au passage et les histoires de couche-culotte toutes les 2 mn en pub .... sont particulièrement dérangeantes.... Pour ma part, je coupe le son à chaque fois.... ! ********************** 200 000 anni!!!! Questo è il modo in cui è! Extraterrestri con cranio allungato creato ibridi... che dovevano coesistere con giganti Ciclope....! Coloro che portavano pietre di diverse tonnellate.... Il diluvio avrà cancellato questa storia.... Qui siamo con 2 veri ricercatori.... (che meritano il loro stipendio...!) Purtroppo, Dailymotion è ampiamente usato per passare e storie pannolino ogni 2 mn in pub.... sono particolarmente inquietanti.... Per parte mia, ho tagliato il suono ogni volta....!
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Jeu 2 Nov - 19:18
Égypte :
une cavité grande comme un avion découverte dans la pyramide de Kheops
Une équipe internationale de scientifiques a annoncé jeudi avoir fait la découverte d'un espace vide de 30 m de long au sein de la célèbre pyramide de Kheops, sur le plateau de Gizeh, en Égypte.
Depuis 4 500 ans *, la pyramide de Kheops dissimulait une surprise de taille.
Des scientifiques ont annoncé jeudi 2 novembre avoir découvert une énorme cavité au milieu du monument funéraire du plateau de Gizeh, en Égypte.
Cette cavité est "tellement grande", c'est comme "un avion de 200 places en plein cœur de la pyramide", explique à l'AFP Mehdi Tayoubi, codirecteur du projet ScanPyramids, à l'origine de la découverte.
Un mystérieux trou au cœur de la grande pyramide de Gizeh
Des chercheurs français, égyptiens et japonais ont utilisé les rayons cosmiques pour sonder l'ouvrage monumental. Découvrant une cavité imposante jusque là inconnue au-dessus de la grande galerie.
C'est un trou qui risque de faire parler de lui pendant longtemps. Il faut dire que c'est un grand trou. Et qu'il ne se situe pas n'importe où. De la taille d'une (fine) cathédrale, il vient d'être découvert en plein cœur de la grande pyramide de Gizeh, le plus pharaonique des tombeaux égyptiens (aussi appelée pyramide de Kheops). «Nous ne connaissons pas encore exactement sa forme ou son orientation, et encore moins sa signification ou son utilité», détaille Mehdi Tayoubi, vice-président de l'innovation chez Dassault Systèmes et co-directeur de la mission scientifique ScanPyramids qui l'a mis au jour. La découverte extraordinaire est publiée ce jeudi dans la revue Nature. Depuis 2015, une cinquantaine de chercheurs s'affaire dans et autour de la grande pyramide pour en sonder les entrailles. Il est évidemment impossible de passer aux rayons X un objet aussi monumental (230 mètres de côté, 137 mètres de haut). Mais il existe une autre technique très astucieuse pour obtenir le même résultat: se servir des rayons cosmiques, des particules très énergétiques qui viennent frapper l'atmosphère et provoquent l'émission de gerbes de particules. Parmi elles, des muons, aussi appelés électrons lourds. «Ce sont des particules très pénétrantes», explique Sébastien Procureur, chercheur au CEA qui a mis au point l'une des trois techniques utilisées sur le site pour détecter ces particules. «Elles peuvent traverser plusieurs centaines de mètres de roche avant d'être arrêtées. Plus la matière est épaisse et dense, plus elle retient de muons. Mais s'il y a une cavité dans la direction d'observation, alors nous observons au contraire un excès de particules.» Les trois détecteurs utilisés fonctionnent sur des principes très différents. Les deux techniques japonaises (mises au point respectivement par l'université de Nagoya et le laboratoire KEK) ont été mises en œuvre à l'intérieur de la pyramide tandis que la troisième, française, fonctionne depuis l'extérieur. «Nous sommes arrivés plus tard sur le projet, en 2016, après avoir entendu parler de la mission dans les médias», raconte Sébastien Procureur. «À la base, nous avions mis au point notre technique pour étudier les chambres magmatiques des volcans. Nous avons trouvé cette application très intéressante.» Chacune des équipes a pu vérifier qu’elle «voyait» bien dans la pyramide la chambre du roi et la grande galerie, une pièce inclinée de plus de 8 mètres de haut, 47 mètres de long et un mètre de large environ dont le rôle reste mystérieux (elle aurait pu servir à la construction de la chambre du roi). C'est alors qu'ils ont découvert une vaste cavité située au-dessus de la grande galerie. «Sa taille est comparable, mais on ne sait pas si elle est parallèle», précise Mehdi Tayoubi. La triangulation n'est pas encore suffisamment bonne pour connaître sa position ou sa forme exacte. «Ces observations prennent du temps», explique Sébastien Procureur. «Il faut des temps de pose très longs, plusieurs semaines à quelques mois, pour voir se dessiner quelque chose.» Un étrange couloir Deux autres cavités, plus petites, de quelques mètres seulement, avaient déjà été découvertes en 2016. L'une est une petite grotte située sur l'arrête nord-est. L'autre est située derrière les chevrons monumentaux qui ornent la face nord (ces derniers étaient cachés par le revêtement de la pyramide et n'ont été mis au jour qu'au Moyen-Âge lorsqu'il fut retiré pour prélever des pierres pour la construction de bâtiments). Il semblerait que ce soit un couloir d'après les analyses complémentaires qui ont été effectuées depuis. «Il s'enfonce sur 5 mètres puis le signal s'estompe, car la masse de pierre qui le recouvre devient trop importante et absorbe de plus en plus les muons», ajoute Mehdi Tayoubi. «On ne sait pas où il va. Peut-être est-il relié à la grande cavité que nous venons de découvrir, nous ne le savons pas. Toutes ces structures sont situées dans un même plan. Cela ne semble pas fortuit, mais c'est tout ce que nous pouvons en dire pour le moment.» D'autres anomalies ont d'ores et déjà été observées, mais les chercheurs attendent encore confirmation avant d'annoncer la découverte d'autres cavités. Pourra-t-on un jour creuser les pyramides pour aller voir ce que dissimulent ces mystérieuses salles? Un jeune chercheur brillant en robotique de l'Inria, Jean-Baptiste Mouret, commence déjà à réfléchir aux solutions qui pourraient être déployées par une ouverture de 3cm de diamètre pour explorer ces volumes dans toute leur complexité. «Nous n'avons encore aucune autorisation, il est bien trop tôt pour y songer, mais un jour peut-être», envisage avec prudence Hany Helal, professeur à la Faculté des ingénieurs de l'université du Caire et co-directeur de la mission. «Pour l'instant, nous attendons que les archéologues et les égyptologues interprètent nos résultats. De notre côté, nous allons continuer nos analyses. Nous avons obtenu le droit de poursuivre nos travaux jusqu'à la fin de l'année 2018.»
* PLUS DE 4500 ANS !!!!! Avant le DELUGE.... Puisque cette construction a été voulue par les Atlantes pour être la mémoire de l'humanité !!!!
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Ange Gabriel-Dan Admin
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Jeu 18 Jan - 15:28
ben ! non... mon ptit gars ! Dame ! ce n'est pas les locaux qui ont apporté ici ces pierres de plusieurs tonnes !!! mais, plutôt des êtres aux technologies avançées !!! comme les pyramides.... Et les locaux s'en sont servi pour y placer leurs morts !
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Jeu 18 Jan - 15:48
Stephane Riaud :
La Roche-aux-Fées est un dolmen en forme d'allée couverte situé dans la commune d'Essé, dans le département français d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne. Son nom vient d'une légende prétendant que les pierres auraient été apportées par des fées, légende souvent à l'origine du nom de « roche aux fées » donné à des dolmens ou allées couvertes. L'époque exacte de la construction est inconnue, mais se situerait hypothétiquement au Néolithique final (soit entre 3 000 et 2 500 ans av. J.-C.4).
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Jeu 18 Jan - 21:25
Dommage qu'une route se trouve à proximité !!! perturbation humaine.... quand les énergies telluriques et cosmiques y abondent !!!
« La Roche-aux-Fées serait construite au centre magnétique, dans un carré magique, et aux intersections des lignes Hartmann, un réseau d'origine électrique et Curry, d'origine magnétique. Le célèbre mégalithe est bien plus célèbre que certains pensent, car il a été volontairement érigé à la période néolithique, il y a environ 5 500 ans, sur des lignes du réseau d'or rejoignant le Tibet, plein Est et un peu Sud. Pour les géobiologistes, la Roche-aux-Fées est vraiment une magie. »
Lorsque le soleil se lève le 21 décembre, le dolmen de la Roche-aux-Fées révèle toute sa magie. Chaque année, il rassemble le public matinal. Un spectacle millénaire y est célèbre. Parfois, ce phénomène devient rituel, car le site mégalithique offre aussi au solstice un moment pour se ressourcer et puiser les forces du soleil. Car il serait construit au centre magnétique dans un carré magique. En musique ! Cette année, le Myrdhin Run accompagnera le lever du soleil. « Avec cette musique qui vous prend la main et vous emmène voyager, danser et rêver, annoncent les responsables communautaires. C'est un croisement de cultures, et une musique actuelle d'inspiration traditionnelle, voire un mariage d'amour de la harpe celtique et de la voix avec la guitare basse, le hang et les percussions ethniques en mélodie. » Autour de ce concert, le site de la Roche-aux-Fées va être illuminé, mercredi 20 décembre, à partir de 18 h. Une visite guidée du dolmen est prévue, jeudi 21 décembre, à 9 h et 10 h 30. Parmi les visiteurs protégés du froid ou pluie, il y a aussi ceux qui viennent en groupe, de très loin parfois, puiser de nouvelles énergies. Adossés au dolmen, silencieux, face à l'Est, ils ne quittent pas des yeux les moindres rayons du lever solaire.
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Ven 19 Jan - 19:12
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Ven 19 Jan - 20:39
LE MEGALITHE DE LA ROCHE AUX FEES.... DATERAIT DE 5500 ANS ?????????
QUI EST NELLO NICOLOSI.... ????
Nello Nicolosi :
"Le Dr. Roberto Costello qui est le Secrétaire général et le fondateur national d'ufologie en Italie
Ici, avec moi dans une photo récente.
Il est un auteur prolifique de livres innombrables ainsi que de vulgarisations de sujets parfois à contre-courants de la pensée générale.
Lors de notre dernière réunion, nous avons eu à nous rappeler la fin de l'ingénieur Stefano Breccia, avec laquelle, il y a des années, sur la côte de l'ETNA (volcan de Sicile), nous avons tenu une conférence au nom de la Sicile.
Dans la très courte interview, j'ai eu le plaisir de confirmer notre complicité amicale, et que le phénomène de contact extraterrestre, dont les cas individuels ne sont pas identiques entre eux, devrait rester lié à l'expérience de ceux qui la vivent, parfois dans le respect de leur propre confidentialité et anonymat malgré l' échec de la propagation.
Tout cela sans préjudice du fait que la tâche des ufologues est de faire l'expérience des investigations, et d'essayer d'approfondir scientifiquement les cas liés à ce phénomène."
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NELLO NICOLOSI a été OFFICIER SUPERIEUR DE L'AERONAUTIQUE MILITAIRE EN ITALIE
UNE PERSONNE QUI NE MANQUE PAS DE RELATIONS SERIEUSES !
Alors, quand il affirme que LE MEGALITHE DE LA ROCHE AUX FEES EST ANTEDILUVIEN.... + de 12000 ans et d'origine extraterrestre.... Il est juste de le croire !!!
et c'est ce que je crois !
Alors... Pitié pour l'info locale dénaturée.... !!!!!
2500 AVANT J CH ...... NON !!!!!!!!!!!!!!
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Connaissez-vous le COEUR DE PIERRE D'URUGUAY ????
IL EST A L'ORIGINE DE LA CREATION DE L'HUMANITE TERRESTRE :
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Sam 20 Jan - 2:38
PARTAGE avec Nello Nicolosi
"A propos du livre "la civilisation perdue", récemment publié par le savant Graham Hancock (Université de Durham), il est à considérer que les archéologues les plus critiques devraient fonder leur thèse sur l'étude de la datation des trouvailles, et des monuments les plus anciens e utilisant les technologies d'aujourd'hui, telles que la luminescence, et l'analyse de l'énergie qu'ils émanent, par les mécanismes informatisés les plus récents, capables de plus mesurer d'une manière approximative et presque correct. Avec cela, vous pouvez découvrir que plusieurs objets et des structures anciennes, telles que les pyramides, les menhirs et les dolmens, en fait remontent à dix mille ans et au-delà. Puisqu'ils dégagent encore une certaine énergie, on ne peut pas manquer de convenir que ces structures pourraient correspondre (le conditionnel est un must) aux restes de vestiges de ce temps liés entre eux et appartenant à une civilisation ancienne, très avancée et perdue."
LA CIVILISATION PERDUE....
Nello Nicolosi :
"A proposito del libro "La civiltà perduta", pubblicato di recente dallo studioso Graham Hancock (Università di Durham), è da ritenere che gli archeologi più seri debbano basare le loro tesi sullo studio della datazione dei reperti, e dei più antichi monumenti, avvalendosi delle odierne tecnologie, come ad esempio la termoluminescenza, e sull'analisi dell'energia che essi emanano, attraverso i più recenti meccanismi computerizzati, in grado di misurarla non più in modo approssimativo e pressoché errato. Con ciò si potrà scoprire che parecchi oggetti e antiche strutture, come le piramidi, i menhir e i dolmen, in realtà risalgano a dodicimila anni fa ed oltre. Poiché emanano ancora una certa energia, non si potrà non convenire che queste strutture potrebbero corrispondere (il condizionale è d'obbligo) ai resti di apparecchiature, forse collegate fra loro, appartenute ad un'antichissima, ma avanzata, civiltà perduta."
PIER GIORGIO CARIA EN CONFERENCE....
Celui-ci accuse sur le silence des "officiels" qui nous cachent la vérité !!!
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Ven 2 Fév - 2:41
POUR REVENIR SUR LE DOLMEN DE LA ROCHE AUX FEES....
J'y suis retournée hier en promenant mon petit chien joyeux....
FASCINANT MONUMENT.... QUI GARDE ENCORE BIEN DES SECRETS ! J'avais oublié mon appareil photo !!! dommage... Une pierre couchée couverte de symboles anciens révélait ses messages sous la pluie !!!
"comment des blocs gigantesques furent élevés ainsi pour faire les pyramides ! ??? Je suis retournée aujourd'hui à la ROCHE AUX FEES près de Janzé en Bretagne !!! Des blocs énormes de plusieurs tonnes ont été posés sur des pierres, elles même énormes.... 50 hommes n'ont pu élever de telles masses !!! il faut une autre idée... ! des infos illustrées se trouvent sur les lieux expliquant que c'est les hommes préhistoriques qui ont fait ce chef d'œuvre !!! pauvres archéologues de paille !!! "
J'ai fait le tour du menhir couché du rond point de SUPER U de Janzé... Encore un qui n'est pas à sa place !!!!
vous avez remarqué la statue en métal ajoutée... une fée... sans doute !!!
par contre, sur internet, j'ai trouvé quelques photos sympas qui présentent un menhir que quelques bretons ont eu l'idée de redresser et +
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Ange Gabriel-Dan Admin
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Ven 16 Fév - 1:53
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Ven 16 Fév - 3:07
Un peu d'audace, les amis !
Les pistes de Nazca n'ont pu être conçues que depuis une distance élevée dans le ciel... Donc... la nécessité de posséder un véhicule qui se déplace dans l'espace !
Idem pour les menhirs.... et dolmens...
Au Mont St Michel... à l'origine se trouvait un monument mégalithique important au sommet !
A la ROCHE AUX FEES, au sud de Rennes en Bretagne, un remarquable dolmen est indiqué par les archéologues et les enseignants....qui l'étudient comme une construction de nos ancêtres tailleurs de pierres ! (https://www.facebook.com/paysdelarocheauxfees/videos/10157089579399848/) ...
La génération montante va-t-elle se laisser tromper encore longtemps ????
LA MAITRESSE, dans la vidéo : "Nos ancêtres... les tailleurs de pierre..." Pourquoi pas notre ami OBELIX .... tant qu'à faire !!!!
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Sujet: Re: LES EGYPTIENS NE SONT PAS LES BATISSEURS DES PYRAMIDES Ven 16 Fév - 3:13